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L'autopsie dans tous ses états.
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citation
"Au départ, l'autopsie est pratiquée pour trouver une réponse à une mort inexplicable maladie ou meurtre.
error, désolé
Ellipse
Bon conseiller
Ellipse
Dernière activité le 17/06/2019 à 20:09
Inscrit en 2012
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@ serena2416 : ailleurs je ne sais pas ce qui se fait illégalement. Là où je travaille, tout est géré selon la loi. Rien n'est fait sans le consentement de la famille.
Le don d'organes n'est pas décidé sur un coup de tête : l'organe prélevé n'est pas conservé. Il faut donc un receveur compatible génétiquement parlant avec le donneur. (Merci Mr HLA)
De plus, il faut aussi que le donneur ne soit pas atteint de maladies infectieuses( ex. HIV). Greffer un organe sous-entend d'être sûr que cet organe soit sain pour le receveur.
A chacun (-ne) de faire ses choix.
Utilisateur désinscrit
c'est un sujet qui demande beaucoup de réponses aux questions.moi la première.
j'ai également bien ri au com.de séréna.
et pour mon latin plutôt merdic.
clau84
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clau84
Dernière activité le 17/11/2024 à 17:09
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Bonjour,
Notre fille est décédée en 2015 de mort subite, l'urgentiste qui a constaté le décès à notre domicile, nous a refusé l'autopsie.
Bien sur que sur le moment nous avons été soulagé, car on ne touchait pas son corps, mais malheureusement presque trois ans après, nous sommes toujours et seront toujours dans l’interrogation de la cause de son décès.
Je pense qu'on devrait systématiquement faire une autopsie pour les jeunes adultes, pour protéger la famille et pour nous aider à faire le deuil.
Nous avons deux autres enfants.
Il est vrai que nous en voulons au médecin qui en t'en que professionnel aurait du réagir différemment, car il n'a pas pris le temps de discuter avec nous.
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clau84
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Utilisateur désinscrit
« La mort annoncée des autopsies médicales et scientifiques »
La journaliste relève ainsi que « notre pays est la lanterne rouge de l'autopsie médicale et scientifique en Europe et dans le monde. Telle est la conclusion d'une enquête originale menée par l'Académie nationale de médecine, qui a recensé le nombre d'actes de ce type menés pendant 8 mois en France métropolitaine, au cours de l'année 2013 ».
« Ce travail lui a permis de recenser seulement 588 autopsies médicales réalisées après le décès d'adultes, 433 chez des enfants et 6 541 actes de foetopathologie (examens des embryons, fœtus et placentas). Forte de ces informations, et après avoir recueilli les avis et les souhaits des professionnels, elle tire aujourd'hui la sonnette d'alarme », constate Anne Jeanblanc.
La journaliste souligne que « malgré les énormes progrès technologiques, les méthodes d'investigation et d'imagerie les plus modernes, les autopsies révèlent toujours un nombre non négligeable d'erreurs diagnostiques, parfois majeures et multiples, qui seraient autrement passées inaperçues. De plus, elles sont souvent indispensables au diagnostic de certaines maladies (et à ce titre utiles pour les familles ou les autres patients), à la prise de décisions de santé publique et à différentes recherches... ».
Anne Jeanblanc constate cependant que « ces actes se heurtent à une réglementation parfois mal adaptée, comme à des tabous sociologiques ou religieux. Ils sont aussi limités par des problèmes financiers. "Enfin et surtout, il y a de moins en moins de spécialistes de cette pratique qui n'est même pas incluse dans la formation médicale", déplore l'Académie ».
La journaliste relève que « la France n'est pas le seul pays à connaître une diminution de ce type de pratique, mais elle est particulièrement concernée. […] Pour tenter d'inverser la tendance nationale, les "Immortels" (!) recommandent notamment de pratiquer les autopsies dans les centres hospitaliers agréés en collaboration avec un réseau régional ou interrégional, d'assurer leur financement et de mettre en œuvre, lors de toute hospitalisation, la déclaration de la "personne de confiance" (ou du représentant légal pour ce qui concerne les mineurs), afin de faciliter une éventuelle demande d'autopsie ».
« Ils estiment également nécessaire de sensibiliser l'ensemble du personnel hospitalier, soignant et administratif à l'importance majeure de cet acte malgré les apports des techniques modernes d'investigation. Enfin, ils prônent le lancement de campagnes d'information sur l'utilité des autopsies en santé publique et pour la recherche scientifique », indique Anne Jeanblanc.