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La prévention, stratégie gagnante pour les maladies mentales aussi
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kikoulo
Bon conseiller
kikoulo
Dernière activité le 02/09/2024 à 01:58
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bonjour quesaquo et gram helas pour nous mettre dans un case!! et etre en bonne conscience avec eux meme ils savent
combien de fois m'a ton dit je sais que tu est folle!ou en parlant de ma psy 'ta folle de...."
je me pose la question
ne veulent ils pas , ne peuvent ils pas, ou on t'ils peur de la realité!!
il y un peu de tout cela!!!
il n'y a pas que les proches qui s éloignent les amies aussi
( je ne sais si c'est le sujet???)
bon courrage!! venez vers nous nous comprenons
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YLES56
GRAM84
Bon conseiller
GRAM84
Dernière activité le 28/09/2024 à 13:05
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Ami
merci Kikoulo comme tu dis c'est un peu de tout ça.
Quesaquo oui hélas, c'est comme ça. souvent sans être blessants nos proches sont souvent désarmés.
Une fois qu'on en a pris son parti c'est pas que ça va mieux, mais on en souffre moins.
Allez courage. Dans la plupart des cas cette maladie se soigne. et laisse dont dire, ou dis leur d'arrêter si tu peux. les psy n'on pas la baquette magique non plus mais ils ont fait des études pour.....et ont le mérite de ne pas prendre cette maladie à la légère. Pour les proches c'est une autre musique et quand on arrive à ce qu'ils nous fichent au moins la paix, c'est déjà beaucoup de gagné.
Je vous embrasse - Kikoulo mme si c'était hors sujet, ta présence nous fait du bien -
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gram
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Julien
Bon conseiller
Julien
Dernière activité le 12/06/2024 à 11:32
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Plus d’un Français sur deux déclare être concerné par les maladies mentales selon une enquête Ipsos-Fondamental-Klesia conduite pour la circonstance. « Le fardeau des maladies neuropsychiatriques, dépression, addictions, schizophrénie, bipolarité et troubles obsessionnels compulsifs, est en train de dépasser celui des cancers et des maladies cardiovasculaires », signale le Pr Marion Leboyer, directrice de la Fondation Fondamental. Et pourtant, les leviers de la prévention peuvent être mobilisés à tous les stades de l’évolution de ces maladies.
La prévention primaire d’abord, en empêchant l’entrée dans la maladie (entre l’âge de 15 et 25 ans habituellement) par la connaissance et le dépistage des sujets à risque (sur complications obstétricales, infections néonatales et périnatales, addiction cannabique, histoire familiale de maladies mentales, migration récente, etc.) : les maladies mentales naissant elles aussi de la rencontre de gènes de susceptibilité et de facteurs environnementaux.
L’intérêt des Centres Experts
Deuxième axe, la prévention secondaire. L’enjeu est de diagnostiquer et de soigner précocement. Mettre en place des stratégies thérapeutiques personnalisées est un facteur pronostique extrêmement favorable qui, en évitant les rechutes, ralentit l’évolution, limite le handicap et la stigmatisation. « Or, le retard au diagnostic de troubles bipolaires est de 10 ans…, regrette le Pr Leboyer, alors qu’il existe un stabilisateur de l’humeur efficace ».
La psychiatrie est aujourd’hui encore peu organisée et les Centres experts mis en place par la Fondation, plateformes de diagnostic et de recherche, constituent un modèle à généraliser dès que ceux-ci seront évalués et labellisés. Ces Centres experts, intégrés dans les parcours de soins spécialisés, aujourd’hui à disposition pour les troubles bipolaires, la dépression résistante, le syndrome d’Asperger ou la schizophrénie, permettent, après deux jours d’un bilan complet par une équipe multidisciplinaire, d’explorer toutes les facettes de la prévention. Ils sont aussi une excellente occasion de promouvoir et conduire des travaux de recherche.
Enfin, la prévention tertiaire est, elle aussi indispensable : elle consiste à choisir la psychothérapie la plus adaptée, à proposer une psychoéducation pour, retarder, voire éviter, la rechute. « Dix séances de 2 heures, en groupe, diminuent de moitié le taux de rechutes », rapporte-t-elle.
LeQuotidiendumédecin.fr