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La contraception masculine, utopie ou réalité ?
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merci HOBIT (je comprend ce que vous voulez faire passer ..non pas simple de se montrer mais
voila nous le faisons )
surement un jour cela changera ..
Utilisateur désinscrit
L'égoïsme masculin ...utopie ou réalité ?
scoobidoo
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scoobidoo
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Il y a des hommes égoïstes et des femmes aussi, c'est aussi partagé que les autres défauts !
Il ne faut jamais généraliser.
Francine
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La vie est belle si on ne lui demande pas plus que ce qu'elle peut donner.
Utilisateur désinscrit
Oui je confirme. L égoïsme va pour les deux
Utilisateur désinscrit
Je vous suis la dessus
scoobidoo
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Dans l'inconscient, la vasectomie est associée à la castration. Elle évoque le castra de l'opéra ou le veau qui devient boeuf au lieu de taureau.
C'est une mutilation, comme la ligature des trompes.
Je me souviens qu'il fallait que je fasse opérer mon petit-fils suite à une infection sous le prépuce. J'ai dit à un ami que j'allais le faire circoncire, Sa réaction a été tellement vive qu'elle m'a interloquée : " Vous les femmes, il faut toujours que vous vouliez nous couper, comme Dalila avec Samson! ". J'ai été très surprise et interpelée. J'ai demandé au chirurgien de ne pas lui enlever le prépuce, il a fait une sale tête ! C'est beaucoup plus de travail, vous allez le faire souffrir inutilement.....
Quand il a été grand, je lui ai expliqué et il m'a remerciée.
Bonne soirée
Francine
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La vie est belle si on ne lui demande pas plus que ce qu'elle peut donner.
Utilisateur désinscrit
Dieu , combien je le comprends , vous avez été une mère exemplaire sur ce coup la
scoobidoo
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scoobidoo
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AÏE, AÏE, AÏE, J'ai mal aux chevilles ! ! !
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La vie est belle si on ne lui demande pas plus que ce qu'elle peut donner.
Utilisateur désinscrit
Encore une preuve que les hommes ont vraiment du mal des qu'il s'agit de toucher à leur précieux objet ...la circoncision est pourtant très répandue et n'est plus qu'une affaire de religion .Certains,non musulmans ,le font pour des raisons d'hygiène voire d'esthétique .
La femme ,elle,n'a pas le choix quand il s'agit d ' épisiotomie et en mettant au monde un enfant,elle sait très bien qu'elle pourra être mutilée .
Utilisateur désinscrit
Je sais , cette pratique est très répandue au Etats Unis , il le font dès la naissance , mais , ici , ce n'est pas entré dans les moeurs et puis , le prépuce reçoit des informations agréable , ce serait dommage de ne plus l'avoir
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Julien
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Julien
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Les pouvoirs publics devraient une nouvelle fois s'adresser principalement aux femmes lors de la Journée mondiale de la contraception qui se déroule ce vendredi. Et les hommes dans tout ça? Éclairage avec Cécile Ventola, doctorante en santé publique à l'Inserm, auteur d'une thèse intitulée "Contraception masculine et système de soins: une comparaison franco-britannique".
Pourquoi la contraception est-elle considérée comme une affaire de femmes ?
Cécile Ventola : Historiquement, la recherche reproductive s'est concentrée sur les femmes. Dans les représentations liées au genre dans la société et dans le corps médical, l'appareil génital féminin était considéré comme source de pathologies, contrairement à celui des hommes. C'est notamment pour cela que jusque dans les années 60, on n'imaginait pas que les problèmes de stérilité pouvaient venir des hommes. Actuellement en France, les méthodes masculines sont peu évoquées par manque de formation. De manière générale, la contraception est un peu le parent pauvre de la médecine: pendant longtemps, les généralistes pouvaient sortir de l'école de médecine en n'ayant eu 4 heures de cours en tout et pour tout le sujet. Enfin, il faut se souvenir que l'idée de la pilule a été lancée par Margaret Sanger, une militante féministe et qu'il n'y a pas eu de mobilisation masculine équivalente pour obtenir un contraceptif.
Et la contraception masculine, c'est une utopie ou une réalité ?
Cela dépend des pays et des méthodes : en France, on n'en parle pas ou de façon hypothétique. Chez nos voisins britanniques, en revanche, 21% des hommes optent pour la solution irréversible qu'est la vasectomie, contre 0,2% des hommes en France! Alors qu'il s'agit d'une chirurgie d'une quinzaine de minutes, non invasive et sous anesthésie locale. J'ai lu de nombreux témoignages d'hommes en France qui racontent avoir des difficultés pour trouver un urologue pratiquant cette intervention. Notre héritage nataliste explique en partie cette réticence vis-à-vis des méthodes définitives.
Il existe aussi d'autres méthodes de contraception masculine, qui elles, ne sont pas définitives...
Oui, bien sûr. Le préservatif est le 3e moyen de contraception en France, même s'il peut être considéré comme une méthode collaborative. Les autres sont extrêmement marginales: il existe une contraception hormonale qui consiste en une injection hebdomadaire, ce qui est assez contraignant. Une autre dispositif, thermique, celui-ci, consiste à porter un dispositif 12 heures par jour, qui rapproche les testicules du corps pour les réchauffer. En faisant passer leur température de 35° à 37°, on bloque la spermatogénèse.
Pourquoi d'autres méthodes n'émergent-elle pas? Les laboratoires pharmaceutiques n'ont-ils pas intérêt à se pencher sur la question ?
Non, ils se trouvent dans le statut quo le plus intéressant qu'il soit financièrement parlant grâce à la pilule quotidienne qui leur rapporte de l'argent. En outre, la recherche contraceptive coûte cher en termes d'assurance, car les utilisateurs sont des sujets en bonne santé, sans besoin thérapeutique. En cas de problème, les préjudices sont perçus comme plus graves devant les tribunaux. Les innovations contraceptives actuelles ont été développées par des organismes publics ou des ONG, et non pas par des laboratoires. C'est le cas du Vasalgel (ndlr: une injection indolore dans le canal déférent sous forme de gel pour bloquer les spermatozoïdes).
D'autres recherches sont-elles en cours ?
Oui, le site américain newmalcontraception.org liste de nombreuses pistes, des ultrasons aux crèmes à base de plantes mais les projets évoqués ne dépassent jamais les essais cliniques finaux de phase trois. Il y a un manque de moyens mais aussi d'envie dans le monde médical: la recherche sur la contraception est perçue comme beaucoup moins héroïque que celles sur le cancer ou les problèmes cardiaques.
L'Express.fr