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Grippe : pourquoi 70 % des Français ne veulent pas se faire vacciner
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Clemence91
Bon conseiller
Clemence91
Dernière activité le 03/07/2024 à 23:30
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L'hiver approche et la vaccination contre la grippe revient à l'ordre du jour ; pour moi cela fait 10 ans que je prends le traitement homéopathique INFLUAZINUM (1 tubex2semaines). Jamais eu de grippe. Par contre mon medecin me conseille de ne pas l'acheter avant novembre car d'après lui les pharmacies (ou labo) ecoulent d'abord les stocks de l'année précédente.
Bon hiver à tous
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Clémence91
ithrysun
ithrysun
Dernière activité le 12/09/2023 à 12:29
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4 commentaires postés | 1 dans le groupe Revue de presse
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BONJOUR
POUR MOI JE SUIS CONTRE C'EST PUR COMMERCIAL
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Moi, je me fais vacciner depuis 5 ans, car immuno-déprimé, donc j'attrape tout, en plus je travaille en milieu hospitalier, donc encore plus de risque d'attraper la grippe, et la direction nous conseille fortement ( les soignants) de se faire vacciner. Malgré le vaccin je suis malade chaque hiver, mais sans je le serai encore plus, la première fois que j'ai eu la grippe j'étais dans un tel état que je me suis juré de ma faire vacciner, chaque année des gens fragiles meurent de la grippe. Donc cette année encore je me fais vacciner et mon médecin m'a rajouté 2 autres vaccins cette année prévenar et pneumo 23 à prendre à 1 mois d'intervalle chacun. Ce serait quand même dommage de mourir de la grippe !!! chacun son avis, ça c'est le mien à chacun de prendre sa décision.
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18300 mort de la grippe en 2015
Utilisateur désinscrit
En France?
Utilisateur désinscrit
La grippe a entraîné une surmortalité de 18 300 décès lors de l’hiver 2015
Le Monde.fr avec AFP | 22.05.2015 à 20h54 • Mis à jour le 19.01.2016 à 11h07
image: http://s2.lemde.fr/image/2015/05/22/534x0/4639098_6_4db1_2015-05-22-8797908-7748-u2sut9_d0592c246a2ab41be44b608b7c583527.jpg
L'épidémie de grippe de « forte ampleur », qui a durement frappé les personnes âgées, a entraîné une surmortalité hivernale record de 18 300 décès en France, selon le bilan définitif de l'Institut de veille sanitaire (INVS), publié vendredi 22 mai.
Il s'agit de l'excès de mortalité le plus élevé depuis la mise en place du système d'évaluation de l'excès de décès hivernal, c'est-à-dire depuis l'hiver 2006-2007. Dominée par des virus A/H3N2 (dont une partie n'était pas couverte par le vaccin), l'épidémie a conduit 2,9 millions de personnes à consulter pour syndrome grippal.
Lire le décryptage : Grippe : pourquoi les chiffres de mortalité sont à prendre avec précaution
Les plus de 65 ans représentent 90 % de cette surmortalité
En première ligne des victimes, les plus de 65 ans, qui représentent 90 % de cette surmortalité record, toutes causes confondues, enregistrée durant les neuf semaines de l'épidémie (entre les semaines du 12-18 janvier et du 9-15 mars 2015).
« La grippe, c'est une maladie grave chez les personnes âgées », rappelle le docteur François Bourdillon, directeur général de l'INVS. L'épidémie a eu un « impact important » : près 30 000 passages aux urgences, ayant entraîné 3 133 hospitalisations, dont 47 % chez les plus 65 ans. Cette année,
« Avec le virus H3N2, les épidémies sont plus graves et donnent plus de complications chez les personnes âgées, notamment chez celles souffrant déjà d'autres maladies. Selon une modélisation INVS, sur la période 2000-2009, en épidémie normale, si l'on avait 75 % de vaccinés chez les plus de 65 ans, on éviterait 3 000 décès sur la mortalité hivernale ».
La précédente évaluation (de 12 300 décès) de l'INVS pour cette épidémie n'englobait pas 100 % de la mortalité à l'échelle nationale.
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/sante/article/2015/05/22/la-grippe-a-entraine-une-surmortalite-de-18-300-deces-cet-hiver_4639099_1651302.html#cfSmwP9yiyGtk4X8.99
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Julien
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Julien
Dernière activité le 12/06/2024 à 11:32
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70 % des Français ne comptent pas se faire vacciner contre la grippe lors de la saison 2015-2016. En revanche, les personnes âgées adhèrent plus à ce geste protecteur.
Les Français ne sont visiblement pas fans de la vaccination antigrippale. Alors que la campagne démarre ce 12 octobre, un sondage Ifop réalisé pour le groupe de pharmaciens PHR (1) révèle qu’une minorité de la population compte se protéger. L’adhésion est plus forte chez les personnes âgées, qui sont aussi plus fragiles face au virus de la grippe.
La peur des risques
La surveillance de l’activité grippale a repris à l’Institut de Veille Sanitaire (InVS) depuis le 7 octobre. En une semaine, 4 souches de type A ont été signalées aux différents réseaux. Et pourtant, seuls 30 % des Français envisagent de se faire vacciner, selon le sondage.
Interrogés sur les raisons de leurs réticences, les sondés se répartissent en plusieurs groupes. Il y a d’abord ceux qui ne voient pas l’utilité d’un vaccin contre la grippe saisonnière, et ce sont les plus nombreux : ils sont 52 %. Cependant, leur part est en recul par rapport au sondage précédent (- 8 points). La surmortalité observée lors de la saison 2014-2015 – 18 000 décès toutes causes confondues – explique peut être ce léger repli.
Parmi les hésitants, 22 % évoquent les risques liés à la vaccination antigrippale. Il est vrai que des effets secondaires peuvent survenir. Les plus courants se présentent sous la forme d’une réaction locale, comme une douleur, une rougeur ou un gonflement, mais aussi sous celle d’une fièvre modérée. Les effets indésirables plus graves peuvent être signalés auprès de l’Agence de sécurité du médicament. 13 % expliquent tout simplement que s’ils n’ont pas choisi de se protéger… c’est parce que leur médecin ne leur a pas proposé. Une attitude rationnelle à laquelle il est difficile de s’opposer, et qui souligne le rôle crucial du généraliste dans ce dossier.
La peur de l’aiguille
Il y a enfin les réponses plus marginales, mais aussi plus originales : ceux qui ne se vaccinent pas par manque de temps (3 %), par manque d’argent (2 %) - alors que la dose ne coûte que 6 euros et qu’elle est prise en charge à 65 % par l’Assurance maladie, et, bien plus excusable, par peur de l’aiguille (2 %).
Fort heureusement, les personnes de plus de 65 ans se montrent assez proactives : 68 % d’entre elles comptent se faire vacciner contre la grippe cette année. C’est une progression de 15 points par rapport à l’année précédente, et surtout la première hausse depuis 2012. Or, les personnes âgées sont les premières visées par la campagne de vaccination, car particulièrement fragiles face au virus.
Cette donnée est d’autant plus rassurante que les taux d’adhésion sont en chute libre depuis 2012. Alors que l’objectif fixé est de 75 %, la couverture ne cesse de descendre. En 2012, elle peinait à atteindre 50,1 %. La campagne 2014 a franchi le plancher de 46,1 %. L’avenir dira si celle de 2015 aura su convaincre davantage.
Qui est visé par la campagne de vaccination ?
La campagne de vaccination contre la grippe saisonnière a commencé ce 12 octobre. Elle s’adresse en priorité aux personnes considérées « à risque », c’est-à-dire celles pouvant développer des complications de la grippe. Ce sont les personnes âgées de 65 ans et plus, les personnes atteintes des affections de longue durée et les femmes enceintes.
La vaccination peut être réalisée en cabinet médical, en centre de vaccination ou dans un centre de santé. Active plusieurs mois, elle permet une protection dès le début de l’épidémie et pendant la période de risque. Cependant, sa capacité de défense n’est pas toujours totale, car les souches incluses dans le vaccin sont prévues dès le mois de février. Sur la saison 2015-2016, les experts misent sur une efficacité de 60 %.
(1) Sondage Ifop pour PHR réalisé auprès de 990 personnes de plus de 18 ans représentatives de la population française, par un questionnaire en ligne.
Pourquoidocteur.fr