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Douleurs neuropathiques ou inflammatoires : les distinguer pour mieux les soulager
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Danone 16
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Danone 16
Dernière activité le 23/11/2024 à 13:42
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Ami
En effet , j’ai eu la même réflexion , mais c’est le neurologue qui va m’expliquer le pourquoi et le comment !! Il y a sûrement dans ce medicament quelque chose qui fait que c’est le seul qui peut soigner et atténuer les douleurs . J’attends un rdv ... je raconterai , ensuite , ce que j’en pense avec les explications du praticien ... une belle journée à vous !! ( pas facile cette sacrée maladie ) Danone 16
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danone16
yinyang
Membre AmbassadeurBon conseiller
yinyang
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Dernière activité le 14/11/2024 à 16:49
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Ami
Bonjour,
En effet le Laroxil est un antidépresseur, mais il ralenti aussi l’infus nerveux , donc la sensation de douleurs.
Ma neurologue m'en avait prescrit au début de ma maladie (SEP), j'avais des douleurs dans les jambes pas très fortes mais lancinantes , 3 gouttes le matin , 2 jours après, moi qui suis assez bienveillante d'ordinaire je ne pouvais plus supporter les clientes du magasin ou je travaillais !!!! J'ai arrête tout de suite et tout est rentré dans l'ordre.
J'ai de la chances mes douleurs ne sont pas fortes et intermittentes, donc je peu me permettre de ne plus rien prendre. quand elles surviennes comme en ce moment, je peu attendre qu'elles passent.
Mais ce médicament, comme bien d'autres ne fait pas le même effet sur tout le monde,donc à voir avec "prudence "et le neurologue .
Bonne journée
Marie
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yinyang
Danone 16
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Danone 16
Dernière activité le 23/11/2024 à 13:42
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Ami
Merci ... de vos lumières! J’attends le rdv chez le neurologue afin de voir comment gérer !! Mais je ne voudrai pas continuer à prendre laroxil, afin de m’y habituer ... compliqué .... tout ça !!( avec les douleurs ... les decharges électriques c’est difficiles , limite supportables !!!) .... bonne journée !!
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danone16
docyle
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docyle
Dernière activité le 22/10/2021 à 14:15
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Ami
Merci pour les infos !!! On m as conseiller Capsaicine en creme , je vais essayer ca Pour moi tout est a suivre Bonne chance a vous pour la suite des choses !!
Nathali57
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Nathali57
Dernière activité le 22/11/2024 à 21:50
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@mariebleu bonjour
moi aussi Laroxyl contre tremblements d une jambe...
+ Tegretol pour douleurs du trijumeau
L acupan nous a été prescrit en cas de crise aiguë, de douleurs intenses quand un ttt habituel n a pas le temps d agir . Fausse crise cardiaque pour ma sep ou douleurs neuropathiques pour Mr (nerf touché lors d une opération) C est à prendre sur un sucre.
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🌈
sacapuces
sacapuces
Dernière activité le 08/06/2024 à 11:46
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sac a puce
merçide tout ces renseignements
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decorbie gerard
dauphin76
dauphin76
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pour mes brulures aux intestins, j'ai pris Deux seresta l'apm et mes brûlures ont disparues.aucun des 4 médecins que j'ai vue n'a su diagnostiquer ce que j'avais ni me donner le bon traitement. c'est moi même qui est pensé que c'était neurologique et donc pensé à prendre du seresta.
natachou
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natachou
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Ami
Merci poyr les infos ,,, on est vite "perdu" surtoyt qd on est hachée en douleur...apres c aussi difficiles d'associer les TT et aussi de ne pas oublier qu'il faut attendre un delai de prise et penser sur 24h...
moi ça m'arrive encore de me planter! de me surdoser en prenant un TT a 23h et ensuite à 3h!!! ou d'oublier pk je dors !!! être régulier et cohérent c pas évident...
Merci pour les infos
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🐈
12byron
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12byron
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Dernière activité le 23/11/2024 à 12:55
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Ami
hachée par la douleur , voilà le vrai bon terme. chaque nuit, une jambe ou l'autre, ou les 2, un jour un pied, le lendemain l'autre, ou les 2.en attendant la consultation, je fais chauffer une bopuillote et ça me calme, mais quand c'est 5 fois dans la nuit , je suis HS
je dois prendre rdv chez un neurologue pour un examen, mais de plus en plus dur, des nuits terribles, réveillée toute les heures
nuits difficiles j'attend la suite
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12 Byron
docyle
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Ami
Ces nuits a esseyer de comprendre !!! Pourquoi ces douleurs et surtout a se demander ??? pourquoi la médecine est presque indiférente ou absente face a la douleur ?? On se demande meme si on est prise au sérieux ou cru par le médecin qui écoute notre histoire !! On devrait y investir du temps et de l argent pour améliorer la qualité de vie de ceux qui souffre , avec elle il n a plus de paix et de repos , elle prend toute la place .. Il faut le vivre pour le comprendre ... Je symphatise avec tout ceux qui la subissent , en espérant qu un jour on seras capable de rendre la vie des souffrants acceptable.......
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Louise
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Louise
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Dernière activité le 06/10/2020 à 12:05
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Ami
Les douleurs neuropathiques sont provoquées par une atteinte des nerfs tandis que les douleurs inflammatoires, les plus fréquentes, sont dues à une lésion des tissus (piqûre, infection...).
Chacun d’entre nous l’a ressenti au moins un jour dans sa chair et son esprit : la douleur recouvre différentes sensations, les unes physiques, les autres mentales. En le formulant autrement, ressentir une douleur, "c’est avoir mal au corps, mais c’est aussi en souffrir émotionnellement", expliquait récemment Françoise Laroche, rhumatologue à l’hôpital Saint-Antoine (Paris).
Or, dans la composante du corps en souffrance, on distingue deux mécanismes : une lésion des chairs, et l’on parle alors d’une douleur inflammatoire, ou bien d’une atteinte des nerfs, ce qui vaut alors à la douleur d’être qualifiée de neuropathique. Les distinguer revêt une grande importance. Car l’une et l’autre douleurs ne répondent pas aux mêmes traitements.
La douleur inflammatoire
La première, de loin la plus fréquente, est désignée par les spécialistes sous le nom de "douleur nociceptive", du nom des récepteurs qui tapissent en densité variable la peau, les articulations, les muscles, les viscères. Un coup, un pincement, une piqûre, une morsure, le chaud et le froid, une substance toxique, l’inflammation induite par une infection… Tout cela va activer les récepteurs de la douleur, qui se présentent sous la forme de terminaisons nerveuses.
Bien sûr, ils ne réagissent que si la stimulation dépasse un certain seuil, et que l’intégrité des tissus qu’ils sont chargés de surveiller est menacée. Leur rôle consiste à en informer le cerveau : un signal d’alerte est ainsi transmis par les nerfs jusqu’aux différentes structures cérébrales chargées de le décrypter. S’ensuit alors une cascade de réactions corporelles et psychiques, et notamment, la libération d’endorphines, des hormones ayant le même effet que la morphine pour calmer la douleur.
Douleur neuropathique : privilégier les traitements locaux
C’est pourquoi la morphine est un médicament utilisé quand la douleur inflammatoire devient aiguë. Mais elle n’est pas d’une grande aide pour soulager l’autre douleur, la neuropathique. "Pour que la morphine soit efficace dans ces cas, il faudrait l’administrer à fortes doses, ce qui va de pair avec de nombreux effets secondaires, dont certains très dangereux, précise le Dr Didier Bouhassira, neurologue à l’hôpital Ambroise-Paré. L’aspirine et les anti-inflammatoires prescrits quand une douleur est inflammatoire n’auront guère d’effet si la douleur est neuropathique. Car elle n’est pas déclenchée par les mêmes mécanismes, puisqu’elle est issue de lésions nerveuses.
Comme l’explique le Pr Serge Perrot, rhumatologue et responsable du centre de la douleur de l’hôpital Cochin (Paris), la douleur neuropathique peut être établie "quand un nerf est abîmé par de la chirurgie, du zona, une amputation, une tumeur…". Que faire dans ces cas ? Il faut privilégier des traitements locaux avec des patches anesthésiques, ou de la capsaïcine, composant actif du piment, qui détruit les petits nerfs, ou encore des traitements électriques transcutanés.
Mais une douleur neuropathique peut également se révéler plus diffuse, lorsqu’elle provient d’une atteinte du système nerveux central, et il faut alors se tourner vers d’autres traitements : des antidépresseurs ou des antiépileptiques, même s’il n’y a ni dépression, ni épilepsie, pour moduler les voies de la douleur. Et de fait, souligne le Pr Perrot, "on n’aura recours à la morphine ou à ses dérivés qu’en troisième intention".
-> 7% de la population souffre de douleurs neuropathiques
Concrètement, la douleur neuropathique se manifeste de façon très différente de la nociceptive, ce qui facilite le diagnostic. Brûlures, décharges électriques, démangeaisons, picotements en sont la signature, souvent associés à d’autres symptômes, troubles du sommeil, fatigue, anxiété, dépression et hypersensibilité, ou, au contraire, hyposensibilité. Ces symptômes sont loin d’être rares, si l’on en croit les chiffres divulgués par le livre blanc de la douleur, que vient de publier la Société française d’études du traitement de la douleur (Sfetd). On y apprend que 7 % de la population se plaint de douleurs neuropathiques. Mais aussi que celles-ci concernent 3 à 10 % des malades traités pour un cancer, et qu’elles surviennent une fois sur deux après une intervention chirurgicale.
Le Figaro Santé