- Accueil
- Échanger
- Forum
- Forums généraux
- Revue de presse
- Douleurs neuropathiques ou inflammatoires : les distinguer pour mieux les soulager
Douleurs neuropathiques ou inflammatoires : les distinguer pour mieux les soulager
- 5 588 vues
- 40 soutiens
- 180 commentaires
Tous les commentaires
Aller au dernier commentaire
AnnBell
AnnBell
Dernière activité le 17/07/2020 à 14:09
Inscrit en 2017
14 commentaires postés | 2 dans le groupe Revue de presse
Récompenses
-
Contributeur
-
Explorateur
-
Evaluateur
Je suis infirmière liberale... encore moins facile lorsque l'on est à son compte. Je suis suivie par un rhumato et un neurologue De plus j'ai un bon médecin traitant mais avec deux pathologies c'est complexe..
Voir la signature
Ann
Danone 16
Bon conseiller
Danone 16
Dernière activité le 23/11/2024 à 13:42
Inscrit en 2015
8 609 commentaires postés | 29 dans le groupe Revue de presse
705 de ses réponses ont été utiles pour les membres
Récompenses
-
Bon conseiller
-
Contributeur
-
Engagé
-
Explorateur
-
Evaluateur
-
Ami
bien sur ? tout le monde s'en fout ! j'ai arrété laroxyl , car les effets secondaires sont inacceptables ! en effet, il nous faut une medecine pour nos douleurs, mais on doit forcer les portes, car personne ne nous aide, et nous écoute! dans les démarches! chacun doit se dém....... ! il y a des jours, ou je baisse les bras ... c'est lassant !!!!!!!!! au moment des douleurs, on aurait envie d'hurler ..........
Voir la signature
danone16
Danone 16
Bon conseiller
Danone 16
Dernière activité le 23/11/2024 à 13:42
Inscrit en 2015
8 609 commentaires postés | 29 dans le groupe Revue de presse
705 de ses réponses ont été utiles pour les membres
Récompenses
-
Bon conseiller
-
Contributeur
-
Engagé
-
Explorateur
-
Evaluateur
-
Ami
il ne faut pas rester assise ou posée, trop longtemps, car , pour marcher, c'est , au début difficile ! se forcer ! et beaucoup de volonté , jusqu'à quand??????
Voir la signature
danone16
espoir864
Bon conseiller
espoir864
Dernière activité le 15/09/2024 à 00:11
Inscrit en 2016
59 commentaires postés | 17 dans le groupe Revue de presse
1 de ses réponses a été utile pour les membres
Récompenses
-
Bon conseiller
-
Contributeur
-
Engagé
-
Explorateur
-
Evaluateur
@Elodie Merci Élodie pour vos conseils alimentaires ! Mais.... Chaque corps est différent et je ne peux suivre les vôtres car j'ai des soucis intestinaux qui nécessitent un régime strict. Bonne journée !
Zenoujawhara
Zenoujawhara
Dernière activité le 04/06/2018 à 11:35
Inscrit en 2018
1 commentaire posté | 1 dans le groupe Revue de presse
Récompenses
-
Explorateur
Article très intéressant,merci.
enfin!!
Bon conseiller
enfin!!
Dernière activité le 22/07/2020 à 13:42
Inscrit en 2018
85 commentaires postés | 18 dans le groupe Revue de presse
1 de ses réponses a été utile pour les membres
Récompenses
-
Bon conseiller
-
Contributeur
-
Messager
-
Explorateur
-
Evaluateur
-
Ami
@Danone 16 @Danone 16
Oui tout le monde sans tape !! les effets secondaires ! mon dieu !
personne ne peu comprendre notre vécu, notre quotidien ! souffrir du matin au soir. Moi aussi je force les portes comme tous les malades..
Il y a des jours ou je me demande pourquoi continuer ? la volonté et le courage, nous savons de quoi nous parlons.
Échanger avec vous tous me fait beaucoup de bien, je me sens moins seule. J'en est marre de me battre contre des moulins à vent "Don Quichotte" !!
Voir la signature
Dis ce que tu penses, crie ce que ressens, c'est ta vie à toi !
Danone 16
Bon conseiller
Danone 16
Dernière activité le 23/11/2024 à 13:42
Inscrit en 2015
8 609 commentaires postés | 29 dans le groupe Revue de presse
705 de ses réponses ont été utiles pour les membres
Récompenses
-
Bon conseiller
-
Contributeur
-
Engagé
-
Explorateur
-
Evaluateur
-
Ami
Je pense que mes souffrances sont de type neuropathie et inflammatoires... car les brûlures ressenties aux jambes , sont terribles ... et voir un neurologue ... délai ... six mois ... pas mal !! J’ai une lettre de mon médecin mais , je galère ... autrement pour un rendez vous !!!
Voir la signature
danone16
docyle
Bon conseiller
docyle
Dernière activité le 22/10/2021 à 14:15
Inscrit en 2018
39 commentaires postés | 15 dans le groupe Revue de presse
Récompenses
-
Bon conseiller
-
Contributeur
-
Explorateur
-
Ami
Partager ensemble nous fait se sentir moins seul , nous avons tous un point en commun et c est la souffrance..... Hier j ai reçu une infiltration à la cortisone qui m a fait très mal à l’injection et qui s est aggravé par la suite ..... Réaction inflammatoire m a t on dit. J en ai pleuré une parti de la nuit ...... Quelle affaire moi qui avait un peu d espoirs , C est à suivre ......... Que cette journée soit moin lourde que celle d hier. A vous tous , et toutes ,,,,,,,,,,,
lau123
Bon conseiller
lau123
Dernière activité le 18/11/2024 à 08:08
Inscrit en 2014
41 commentaires postés | 17 dans le groupe Revue de presse
1 de ses réponses a été utile pour les membres
Récompenses
-
Bon conseiller
-
Contributeur
-
Engagé
-
Explorateur
-
Ami
Je suis d'accord avec vous partager ensemble fait se sentir moins seul.
L'inflammation qui vous a fait souffrir après l'injection prouve que votre corps réagit.
En ce moment penser à nos morts qui ne souffrent plus mais ne sont plus parmi nous est une souffrance pire pour moi.
Bonne journée
dauphin76
dauphin76
Dernière activité le 17/11/2024 à 10:36
Inscrit en 2014
12 commentaires postés | 3 dans le groupe Revue de presse
Récompenses
-
Contributeur
-
Engagé
-
Explorateur
-
Evaluateur
moi j'ai eu des brûlures aux intestins à partir de 17 h jusqu’à minuit; ça a duré 5 mois, j'ai vu deux gastro-gastro-entérologues, un médecin des urgences et mon médecin traitant, aucun n'a été capable de me dire ce que c'était, pour tout traitement gaviscon pour l'estomac (hic) et du doliprane. et puis j'ai réfléchi, si ça pouvait être psychologique? j'ai donc décidé de prendre 2 seresta l'après midi, bingo, mes douleurs ont disparues étonnant non.
et les médecins incapables de trouver cette solution.
Donnez votre avis
Articles à découvrir...
23/11/2024 | Actualités
18/11/2024 | Actualités
Médicaments et libido : les traitements qui peuvent affecter votre désir sexuel ?
16/11/2024 | Actualités
Troubles de l’attachement : quelles conséquences sur nos relations interpersonnelles ?
08/11/2024 | Conseils
La procrastination : mauvaise habitude ou stratégie secrète pour prendre soin de soi ?
09/01/2019 | Nutrition
14/02/2019 | Conseils
La vie amoureuse à l’épreuve de la maladie : comment faire face ?
15/04/2019 | Conseils
S'abonner
Vous souhaitez être alerté des nouveaux commentaires
Votre abonnement a bien été pris en compte
Louise
Animatrice de communautéBon conseiller
Louise
Animatrice de communauté
Dernière activité le 06/10/2020 à 12:05
Inscrit en 2017
1 216 commentaires postés | 118 dans le groupe Revue de presse
1 de ses réponses a été utile pour les membres
Récompenses
Bon conseiller
Contributeur
Engagé
Explorateur
Evaluateur
Ami
Les douleurs neuropathiques sont provoquées par une atteinte des nerfs tandis que les douleurs inflammatoires, les plus fréquentes, sont dues à une lésion des tissus (piqûre, infection...).
Chacun d’entre nous l’a ressenti au moins un jour dans sa chair et son esprit : la douleur recouvre différentes sensations, les unes physiques, les autres mentales. En le formulant autrement, ressentir une douleur, "c’est avoir mal au corps, mais c’est aussi en souffrir émotionnellement", expliquait récemment Françoise Laroche, rhumatologue à l’hôpital Saint-Antoine (Paris).
Or, dans la composante du corps en souffrance, on distingue deux mécanismes : une lésion des chairs, et l’on parle alors d’une douleur inflammatoire, ou bien d’une atteinte des nerfs, ce qui vaut alors à la douleur d’être qualifiée de neuropathique. Les distinguer revêt une grande importance. Car l’une et l’autre douleurs ne répondent pas aux mêmes traitements.
La douleur inflammatoire
La première, de loin la plus fréquente, est désignée par les spécialistes sous le nom de "douleur nociceptive", du nom des récepteurs qui tapissent en densité variable la peau, les articulations, les muscles, les viscères. Un coup, un pincement, une piqûre, une morsure, le chaud et le froid, une substance toxique, l’inflammation induite par une infection… Tout cela va activer les récepteurs de la douleur, qui se présentent sous la forme de terminaisons nerveuses.
Bien sûr, ils ne réagissent que si la stimulation dépasse un certain seuil, et que l’intégrité des tissus qu’ils sont chargés de surveiller est menacée. Leur rôle consiste à en informer le cerveau : un signal d’alerte est ainsi transmis par les nerfs jusqu’aux différentes structures cérébrales chargées de le décrypter. S’ensuit alors une cascade de réactions corporelles et psychiques, et notamment, la libération d’endorphines, des hormones ayant le même effet que la morphine pour calmer la douleur.
Douleur neuropathique : privilégier les traitements locaux
C’est pourquoi la morphine est un médicament utilisé quand la douleur inflammatoire devient aiguë. Mais elle n’est pas d’une grande aide pour soulager l’autre douleur, la neuropathique. "Pour que la morphine soit efficace dans ces cas, il faudrait l’administrer à fortes doses, ce qui va de pair avec de nombreux effets secondaires, dont certains très dangereux, précise le Dr Didier Bouhassira, neurologue à l’hôpital Ambroise-Paré. L’aspirine et les anti-inflammatoires prescrits quand une douleur est inflammatoire n’auront guère d’effet si la douleur est neuropathique. Car elle n’est pas déclenchée par les mêmes mécanismes, puisqu’elle est issue de lésions nerveuses.
Comme l’explique le Pr Serge Perrot, rhumatologue et responsable du centre de la douleur de l’hôpital Cochin (Paris), la douleur neuropathique peut être établie "quand un nerf est abîmé par de la chirurgie, du zona, une amputation, une tumeur…". Que faire dans ces cas ? Il faut privilégier des traitements locaux avec des patches anesthésiques, ou de la capsaïcine, composant actif du piment, qui détruit les petits nerfs, ou encore des traitements électriques transcutanés.
Mais une douleur neuropathique peut également se révéler plus diffuse, lorsqu’elle provient d’une atteinte du système nerveux central, et il faut alors se tourner vers d’autres traitements : des antidépresseurs ou des antiépileptiques, même s’il n’y a ni dépression, ni épilepsie, pour moduler les voies de la douleur. Et de fait, souligne le Pr Perrot, "on n’aura recours à la morphine ou à ses dérivés qu’en troisième intention".
-> 7% de la population souffre de douleurs neuropathiques
Concrètement, la douleur neuropathique se manifeste de façon très différente de la nociceptive, ce qui facilite le diagnostic. Brûlures, décharges électriques, démangeaisons, picotements en sont la signature, souvent associés à d’autres symptômes, troubles du sommeil, fatigue, anxiété, dépression et hypersensibilité, ou, au contraire, hyposensibilité. Ces symptômes sont loin d’être rares, si l’on en croit les chiffres divulgués par le livre blanc de la douleur, que vient de publier la Société française d’études du traitement de la douleur (Sfetd). On y apprend que 7 % de la population se plaint de douleurs neuropathiques. Mais aussi que celles-ci concernent 3 à 10 % des malades traités pour un cancer, et qu’elles surviennent une fois sur deux après une intervention chirurgicale.
Le Figaro Santé