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Dépénalisation du cannabis : l'avis d'un psychologue
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jmams33160
Bon conseiller
jmams33160
Dernière activité le 28/05/2021 à 18:09
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Ami
Comme tu la dit, les médicaments qu'ont ingurgites m'ont donné une dépendance severe. J'ai tenté d’arrêté le valdoxan. J'ai cru que j'allé finir a l'hosto tellement j'étais en manque. Le sevrage m'a été impossible tellement je suis cachetonné. Ça me fais peur d’arrêté si un jour je dois arrêter. Dite moi si quelqu'un a déjà vécu cela? et comment a t il géré cette situation
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Mr Traoré
titims
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Dernière activité le 24/04/2020 à 10:18
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Disons qu il y a certains medicaments qu il faut arreter progressivement on ne peut pas arreter d un coup sinon oui il y a un etat de manque ! Il faut diminuer les doses mais c est a voir avec le medecin !!
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Titims
MIMINE
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Dernière activité le 02/04/2020 à 20:49
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vive l'opium
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marie brigitte prouvost
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Dernière activité le 24/04/2020 à 10:18
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Ami
Chacun voit la vie comme il l entend!! Mais se detruire un peu plus alors que la maladie s en charge ce n est pas ma conception des choses!!
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Titims
laruns
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Dernière activité le 21/08/2024 à 21:03
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je pense que tous les malades quelque soit leurs pathologies deviennent accros à leurs ordonnances
cachet antidouleur somnifère d'un côté cela soigne de l'autre nous devenons tous des droguaient
mes amies pathologie la fibromyalgies ces la morphine
doit ont balayer tous ces traitements (revenir en arrière )
alors cela sert à quoi que les chercheurs ont travaillaient trouvaient le SATIVEX antidouleur pour la sclérose en plaques qui j'espère serviras pour d'autre pathologie
pour le moment les gros bonnets essayaient dans tiraient un MAX d'argent raison pour la quelle faut aller en Espagne pour l'avoir
?????????????
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laruns
gringo
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gringo
Dernière activité le 24/10/2024 à 16:42
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Bonjour à tous
Effectivement l'on se rend vite compte que les médicament quel qu'il soit nous rende accroc à leur substance,fut un temps le neurologue qui me suivait me donnait du Rivotril , donc 5 gouttes au début pour éviter la spasticité,j'ai fini avec 15 gouttes,eh bien lorsque celui ci m'a été retirer pour du Dantrium,il m'a fallut environ 5 mois pour me déshabituerà l'effet du produit j'étais devenu complètement accroc à ce produit.
Cordialement
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Gérard
Goldsurfer
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Dernière activité le 26/10/2024 à 23:21
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J'utilise le cannabis depuis plusieur années pour compléter mon traitement de Parkinson.
Uniquement le soir pour favoriser le sommeil, je peux m'arrêter une semaine , aucune dépendance.
Prendre un cannabis avec un ratio CBD/THC 50/50.
Wilfred
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Wilfred
Dernière activité le 25/04/2016 à 20:45
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Je n'en cultive pas mais d'autres oui,
vive le commerce équitable....
Après,
il faut cesser de confondre fumeur occasionnel et junkie tout comme moi,
ne qualifie pas d'alcoolique celui qui aime se boire une p'tite mousse de temps en temps....
Ayons l'esprit plus ouvert qu'a la prohibition.......
Elonine
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Elonine
Dernière activité le 23/04/2021 à 12:51
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Ami
Je suis pour avec un encadrement: la morphine ronge le cœur, mais c'est légal. Je ne parle pas de "shit", je parle de la plante. Je n'ai pas fumé, je ne fume pas. Cependant, entre moins souffrir et mourir d'un arrêt cardiaque... De plus, lisez, bien les notices: tous nos médocs sont des "drugs". Dans les pays anglo- saxons, pas de médicaments, que des "drugs": aspirine, tramadol... Nous sommes des junkies légaux. Je vous choque: je me regarde dans le miroir et même en respectant les doses, les dégâts sont là. La maladie + les médicaments. J'arrête de me voiler la face et de me dire que ce n'est que pour mon bien. La maladie est "inconnue" des chercheurs, je suis dingue et je suis une cassos. Qui n'a pas entendu ces paroles me jette une pierre. Je me considère comme un cobaye et j'espère que dans le futur, les malades seront soignés. Et pas simplement endormis par une substance ou une autre
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Elonine
gisela
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gisela
Dernière activité le 14/01/2024 à 08:11
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quand on nous fait prendre de la cortisone on nous dit pas attention sur la duree ca peut provoquer l osteonecrose
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gislaine
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lailaine
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lailaine
Dernière activité le 06/09/2024 à 18:20
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"Le cannabis entraîne une dépendance, un trouble des fonctions exécutives chez les adolescents. Il altère la concentration, la mémoire, la prise de décisions, l'analyse des situations. Chez des personnalités prédisposées, il peut avoir un impact sur le déclenchement d'une maladie psychiatrique. Enfin, comme pour toute substance psychotrope, il peut favoriser la survenue d'accidents de la circulation, une perte de contrôle", explique le psychologue.
Sur la question de la dépénalisation, Jean-Pierre Couteron estime qu'il faut trouver un "système intermédiaire" car "la prohibition qu'on voudrait nous imposer, coûte très cher et n'a pas apporté de résultats [...] quant à la libéralisation absolue, ce serait une catastrophe assez évidente pour tout le monde".
Le spécialiste évoque trois approches très différentes de la consommation de cannabis. L'exemple "libéral" du Colorado aux Etats-Unis où le cannabis est devenu un produit de consommation courante. Le cas de l'Uruguay où l'on a un "monopole d'Etat". Les consommateurs se déclarent auprès de l'Etat et doivent respecter des règles d'usage en échange de cet accès. Enfin, le système portugais basé sur une "dépénalisation" dans le sens où l'usager simple n'est pas sanctionné. En revanche, les mineurs, eux, sont orientés vers des dispositifs de soins pour limiter les risques de dérives.