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Accès aux soins : une dégradation spectaculaire en 4 ans
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senioriales
senioriales
Dernière activité le 15/11/2023 à 16:54
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Ami
comment expliquez vous le refus de soins ?, à c
le département où j'habite est plus que moyennageux ! ! les infirmiers (es) donnent leur dikta... il faut leur plaire... sinon ils ne viennent pas ! c'est scandaleux !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
j'ai failli le payer de ma vie ! ! ! , NON ASSISTANCE A PERSONNE EN DANGER, vous connaissez ?
Utilisateur désinscrit
Oui moi j'ai des amis d'un age certain opération de la cataracte, le chirurgien pour faire l'opération rapidement 2 semaines 300 euros en liquide sinon sur la liste d'attente 6 mois minimum le médecin anesthésiste ne voulant pas être lésé 150 euros les gens ont opté pour cette formule et bien circulé il n'y a rien à voir belle mentalité ce ne sont pas les gens qui ont les moyens qui vont se plaindre? évidement en liquide il n'y a pas de trace?
Utilisateur désinscrit
Bonjour,
A la question "Est-t-il facile à trouver un spécialiste de secteur 1 dans votre ville" mon épouse confrontée à ce problème pour sa surveillance gynécologique (frotti+ analyse) avait beaucoup de difficulté à trouver un nouveau gynécologue après le départ en retraite de son précédent en ville, elle ignorait que les sages-femmes assuraient cette mission avec compétence et en plus l'une d'elle habitait notre agglomération, aussitôt lu, aussitôt fait.
Les sages-femmes en libéral ont plusieurs spécialités, leur site d'infos (dans notre département, je ne sais si ailleurs c'est OK également) est intéressant à consulter avec leurs spécialités et leurs localisations géographiques, pour exemple dans la spécialité concernant mon épouse satisfaite de la prestation de la sage-femme consultée, je cite un extrait "La consultation gynécologique accompagne la femme de la puberté jusqu'à la ménopause pour la prévention et la contraception. En cas de problème de santé associé (ce n'est pas le cas de mon épouse), la consultation gynécologique devra se faire chez un médecin. Sans prescription médicale ces consultations sont remboursées par les caisses de sécurité sociale et mutuelles (cela a été effectivement le cas pour mon épouse, remboursement intégral (un acte + une visite + analyse par régime de base et complémentaire).
Jolepotager
Utilisateur désinscrit
Pour ne pas répondre? est ce que les handicapés que vous être regardent leur petite personne ou n'avez-vous pas de d'idée sur le sujet car vous êtes royalement bien servi dans votre secteur avec aucun manque, sachez quand zone rurale ou beaucoup d'entre vous y ont des origines il n'y a plus un médecin à l'horizon, moi je viens cher une amie à Orléans elle me prend rendez-vous je viens la veille et là je me fais soigner enfin presque car même dans des villes de moyennes importances le compte n'y aie pas? mais moins catastrophique que dans la brousse.
charly5360
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charly5360
Dernière activité le 12/08/2019 à 07:18
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Ami
Michel, on n' habite l’Yonne, une petite ville charmante joigny, mais comme désert médical on ne fait pas mieux , ma compagne, Nelly, c'est retrouve avec un problème auditif, une surdité des 2 oreilles après avoir mis des bouchons d'oreille , une surdité partielle , mais embêtante rien de grave , mais cela a durait une semaine , des bouchons de cérumen, impossible de trouver un médecin pour une consultation , avant, puis attendre pour aller chez l'orl , les gouttes pour les oreilles que lui avait conseille le pharmacien n'avait rien donné , on nous avait conseille les urgences de l’hôpital , mais si cela avait été plus grave, on peut sourire, mais on comprend mieux aujourd'hui les gens qui souffrent de surdité , je ne pouvais presque pas laisser Nelly seul, elle n'entendait pas certain sons , timbre de la porte, sonnerie de téléphone , et aussi déchiffrait mal les conversations , et heureusement pour elles pas de problème visuel , elle n'entendait pas non plus les voitures, les gens s' énervaient s'il elles leur demandaient de parler plus fort, je sais il y a des problèmes plus graves, mais Nelly et moi souhaitons que cela n'arrive a personne, vous aller me dire pourquoi ne pas aller pour ce qui connaisse un peu notre région a sens ou a Auxerre , on a essayé confronté au même problème , idem pour une consultation avec un autre spécialiste, moi diabétique de type 2 je dois attendre le mois d'octobre pour une consultation avec un cardiologue , effarant, effrayant et si vous décider de changer de région pour consulter , notre secu rétorque que si ce n'est pas pour une urgence, je vous laisse deviner la suite
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michel servais
NAD22110
NAD22110
Dernière activité le 23/02/2022 à 17:58
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J'habite dans le centre Bretagne, 15 jours pour avoir un RDV avec mon médecin référant . Aucun médecin ne souhaite s'installer dans notre secteur, et ceux qui tentent de s'installer, tiennent environ 1 an car personne ne veut les voir ( incompétents ). J'ai une BPCO, si crise je dois aller aux urgences ( minimun 32 km )
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NADINE LE QUERE
philippe666
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philippe666
Dernière activité le 12/10/2023 à 12:08
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Ami
même sans manque de médecins, beaucoup sont soit incompétents soit juste intéressé par le fric. les années ne s'achètent pas comme une "consultation " médicale avec un trop gros dossier qui sert à rien.
secteur 2 ou 1 c'est un faux débat. certains sont aussi nul en secteur 2.
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Utilisateur désinscrit
Il y a déjà bien longtemps q'Edouard L avait demandait l'autorisation de vendre de la pharmacie en plus de la parapharmacie cela à toujours été refusé par l'administration quand aux médecins les quotas sont trop étroit pour remplacer ceux qui partent en retraite mais la encore les politiques n'augmentent peu les quotas. Vous n'avez eut être pas remarquez qu'il y a des hobby en France on n'appartient pas à cette dernière bien amicalement
charly5360
Bon conseiller
charly5360
Dernière activité le 12/08/2019 à 07:18
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Ami
Michel, joigny, dans l’Yonne , diabète de type 2 , je me réveille vendredi matin avec un mal de dents , quoi de plus banal, je me fais des bains de bouche, je prend du paracétamol, j'ai perdu un plombage, samedi matin, après une nuit blanche, mal de dent, mal d'amour, je pense que je vais avoir un abcès, mon dentiste est absent jusqu'au 22 août , j'ai terriblement mal, les urgences pour un mal de dent , même un abcès , pas de dentiste d’urgence de garde, pourquoi ?je décide donc de consulter, heureusement pour moi , mon cabinet médical, qui ne prends plus de consultation libre , mais qui est ouvert le samedi matin, mon médecin traitant est en vacance, pas de remplaçant , la secrétaire me fait savoir qu'il y a bien un médecin mais qu'il ne prend que les urgences , après d’âpre négociation ,le médecin accepte de me recevoir, ouf, le médecin qui est la me demande et surement pas très au courant pourquoi je n'ai pas consulté mon dentiste ou le dentiste de garde , bon passons , enfin, j'ai des antibiotiques, des anti-inflammatoire et des calmants , mais toujours pas de dentiste, les uns sont en vacances et les autres ne prennent pas de nouveau patients, galère, galère
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michel servais
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Utilisateur désinscrit
La désertification médicale et le dépassement d'honoraires sont à l'origine d'une « fracture sanitaire », selon une étude de l'association UFC-Que Choisir.
En seulement quatre ans, il est devenu plus difficile pour les Français de se soigner. C'est le constat fait par UFC-Que Choisir, qui, comme en 2012, a évalué le degré d'accès à quatre spécialités médicales -généralistes, pédiatres, ophtalmologistes et gynécologues- dans l'ensemble des communes françaises. L'étude, réalisée à partir des données de l'Assurance maladie, a été publiée mercredi sur le site de l'association, accompagnée d'une carte de France interactive de l'accès aux soins.
«La fracture sanitaire s'aggrave!», écrit UFC-Que choisir dans son communiqué. Une fracture d'abord géographique. En effet, selon l'association, jusqu'à 20 millions de personnes vivent actuellement dans des territoires où l'offre libérale de soins est insuffisante, principalement dans les zones rurales et montagneuses. Parmi elles, près de 15 millions sont en difficulté pour consulter un médecin généraliste à moins de 30 minutes de route de leur domicile. Concernant l'accès aux trois spécialités, la situation est encore plus préoccupante: 21,1 millions de Français, soit un tiers de la population, peinent à consulter un pédiatre à moins de 45 minutes de leur domicile, tandis que 19,1 millions de personnes ont un accès restreint aux gynécologues, et 17,7 millions aux ophtalmologistes.
Désert des villes, désert des champs
Mais il n'y a pas que les habitants des campagnes qui subissent un accès aux soins dégradé, puisque les problèmes d'accès sont aussi financiers. Avec l'augmentation du nombre de spécialistes pratiquant les dépassements d'honoraires, l'offre au tarif de la Sécurité sociale est actuellement très insuffisante pour couvrir les besoins, souligne UFC-Que Choisir. En conséquence, les personnes sans complémentaire santé ou mal couvertes par celle-ci peuvent difficilement consulter les spécialistes en ville. Au total, 80% de la population vit dans une zone déficitaire en ophtalmologistes ou gynécologues de secteur 1. En parallèle, le montant moyen des dépassements d'honoraires des trois spécialités a progressé en quatre ans. De 5% pour les gynécologues à 8% pour les pédiatres, élevant le tarif moyen des consultations à des sommes dépassant de loin celui de la Sécurité sociale.
Pour UFC-Que Choisir, ce déclin national de l'accès aux soins est l'expression de l'échec des politiques d'incitations financières accordées aux médecins pour les convaincre de s'installer dans les zones fragiles. Mais il montre également l'échec du Contrat d'accès aux soins (CAS), un dispositif mis en place en 2012 par lequel les médecins s'engagent à ne pas augmenter le taux moyen de leurs dépassements d'honoraires et à ne pas diminuer la part des actes effectués sans dépassement, en échange d'avantages telle que la prise en charge des cotisations sociales par l'Assurance maladie. «En réalité, en 2014, il aura permis d'éviter 59 millions d'euros de dépassements, quand, dans le même temps, les contreparties accordées aux médecins se seront élevées à 470 millions d'euros, soit 8 fois plus», souligne l'association.
Face à ce «double constat d'échec, dans la lutte contre les dépassements d'honoraires comme contre les déserts médicaux», l'association propose des solutions concrètes: interdire l'accès au secteur 2 (honoraires libres) à de nouveaux médecins, rendre obligatoire le CAS et enfin obliger les médecins souhaitant s'installer dans une zone où l'offre est abondante à adopter le secteur 1 (tarif de la Sécurité sociale).
Source : FigaroSanté
Que pensez-vous de l'accès aux soins ? Est-t-il facile à trouver un spécialiste de secteur 1 dans votre ville ?