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Les droits des aidants et des proches
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kristian
Bon conseiller
kristian
Dernière activité le 28/06/2021 à 23:47
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112 commentaires postés | 5 dans le groupe Droits et démarches - Maladies chroniques
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Ami
Et quel soutien pour le conjoint retraité qui s'épuise moralement et physiquement ?
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Kristian
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pepejm
pepejm
Dernière activité le 20/06/2021 à 12:06
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13 commentaires postés | 1 dans le groupe Droits et démarches - Maladies chroniques
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Ami
C'est une manque appréciation excessive pour ceux qui accompagne les membres de leur famille en fin de vie. Si il s’agissait d'un etranger qui les prenait en charge, payés etc. il y a du recognition de le travail, et, sans doute, des aides psychologique disponible.
C'est si injuste!
Hookette
Membre AmbassadeurBon conseiller
Hookette
Membre Ambassadeur
Dernière activité le 29/11/2024 à 20:23
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26 851 commentaires postés | 132 dans le groupe Droits et démarches - Maladies chroniques
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Aidant n'est pas reconnus par la société à 100%
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MC - 💕 Nous avons des merveilles à échanger - 💕
domi191
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domi191
Dernière activité le 08/10/2022 à 20:50
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149 commentaires postés | 1 dans le groupe Droits et démarches - Maladies chroniques
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Je suis aidante informelle depuis 8 ans ,je me suis occupé de maman à domicile et aujourd'hui Maman a du être placé la maladie ayant beaucoup évoluée , c est terrible à accepter maman était choyer , on s occupait d elle 24/24h , même la nuit , Maman à le syndrome de palilalie (répétition en continu du même mot à longueur de journée), très destructeur et c est surtout à cause de cela aussi qu on avait peur de craquer , on a été au bout de nos possibilités , on faisait tout nous même , juste 6 mois avant on avait obtenu de l aide pour la toilette , aujourd'hui Maman ne parle plus du tout , est en fauteuil roulant en permanence , ne mange plus seule, et très difficilement ,c est très douloureux à vivre , je pleure souvent , je vie très mal ce placement , j aimerais avoir des témoignages de solidarité , que pensez vous des Epahd , là où est Maman c est beau , propre , mais le personnel travail comme des machines, je sens Maman très malheureuse , j aimerais pouvoir la reprendre , cela fait 1ans que maman est dans cette structure , je m ens voudrais jusqu'à la fin de n avoir pas pu la garder chez elle , après j ai beaucoup de problèmes de santé , je vais évidemment la voir régulièrement (heureusement ), elle ne reste pas un seul jour sans visite , je fais un roulement avec mes frères , mais ça reste très dur moralement . avez vous vous aussi ce sentiment d abandon .
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domi191
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SI
Voltarene
Voltarene
Dernière activité le 24/09/2022 à 17:48
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1 commentaire posté | 1 dans le groupe Droits et démarches - Maladies chroniques
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Bonjour, je m'occupe de mon épouse depuis 25 ans. Nous avons tous les deux 67 ans aujourd'hui. Je suis persuadé que sans moi, elle serait morte depuis longtemps, au minimum intoxiquée par les médicaments. Elle a fait de très courts séjours en hospitalisation ce qui a amplifié immédiatement le risque de dénutrition et d'escarre.
À l'heure actuelle, aucune proposition d'aide ou de soutien ne me paraît correspondre à mes besoins. J'appréhende d'ailleurs une aide extérieure car à chaque fois « on sait ce qui est bien pour elle et pour moi ». Avec la tierce personne, je peux me payer six heures d'aide par jour pendant lesquelles, tout en étant à la retraite, je pars…
Pour le reste du temps, je suis seul à assumer et je préfère cette situation à celle d'un placement en établissement dans lequel, connaissant ma femme, je serais obligé de passer des jours entiers sans jamais pouvoir discuter d'égal à égal avec le personnel soignant et les médecins.
Il est encore loin le jour où les professionnels parleront des aidants sans condescendance ou suspicion. On pourra alors parler sérieusement des parcours de soins qui pour moi n'ont de sens que si notre liberté est préservée.
Évidemment, j'ai encore cent trucs à dire sur le sujet
Bien à vous
kristian
Bon conseiller
kristian
Dernière activité le 28/06/2021 à 23:47
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112 commentaires postés | 5 dans le groupe Droits et démarches - Maladies chroniques
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Ami
Bonjour à tous,
Nous avons 67 et 68 ans, voila 7 ans que je m'occupe de plus en plus activement de mon mari de plus en plus handicapé par sa Bpco. Je confirme les observations de Voltarene. Aucune solution d'aide efficace à l'horizon. On se sent bien seul et isolé. Il faut presque se battre avec le corps médical ,subir le scepticisme voire des moqueries quand on essaye de rapporter des effets indésirables ou des aggravations. Mon mari est atteint de comorbidites majeures. Mais faire en sorte que les différents spécialistes se concertent représente une vraie gageure.
Le fournisseur d'oxygène nous répète qu'il n'y a aucun problème d'approvisionnement mais les techniciens sont incapables d'appréhender les problèmes rencontrés en cas de brusque pénurie.
Bref, moi aussi j'aurais mille choses à dire. Heureusement que je suis quelqu'un de volontaire . Et je pense aussi que si je n'étais pas à ses côtés à tout gérer mon époux nous aurait probablement déjà quitté.
J'ai un peu vidé mon sac. Cela fait du bien.
Bien à vous. Prenez soin de vous
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Kristian
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laberle25
laberle25
Dernière activité le 21/04/2020 à 17:20
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3 commentaires postés | 1 dans le groupe Droits et démarches - Maladies chroniques
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On ne peut pas savoir à l'avance si on pourras gérer tout seul cette maladie et les traitements avec les effets secondaires.
je suis convaincu que la sociabilisation à petite dose, et un ou deux aidants avec qui on peut aborder tous les sujets sont du bonheur....
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Utilisateur désinscrit
La maladie chronique peut induire une perte d’autonomie. Les premières personnes à venir en aide à une personne malade sont généralement ses proches : conjoint, enfants, frères et sœurs… Cet engagement peut être lourd à porter au quotidien, c’est pourquoi l’implication des proches aidants est de plus en plus reconnue et soutenue. Certains aidants peuvent, sous certaines conditions, être salariés ou dédommagés par la personne à laquelle ils apportent une aide. D’autres peuvent bénéficier de congés. De nombreuses actions d’information, de soutien, de formation, sont également proposées. Ces soutiens varient selon l’âge, le lien familial ainsi que la situation familiale, sociale, professionnelle de l’aidant et de la personne aidée.
Etre informé, soutenu et conseillé
Certains Centres locaux d’information et de coordination gérontologique, caisses de retraite, conseils départementaux et communes, des associations, des plateformes d’accompagnement et de répit, soutiennent ou organisent des actions d’information, de soutien et/ou formation destinées aux proches des personnes malades, en situation de handicap ou de perte d’autonomie.
L’association française des aidants organise des Cafés des aidants dans toute la France. C’est l’occasion d’échanger avec d’autres aidants et de trouver du soutien.
Aucun dispositif n’étant à ce jour généralisé, renseignez-vous auprès de ces organismes dans votre région ou votre département.
Les droits
L’affiliation gratuite à l’assurance vieillesse
L’affiliation à l’assurance vieillesse permet à l’aidant familial de valider des trimestres pour sa retraite pendant toute la période durant laquelle il s’occupe de la personne en situation de handicap ou malade sans qu’il ait besoin de verser des cotisations auprès de sa caisse de retraite.
Les bénéfices de la carte d’invalidité
Si la personne aidée est titulaire de la carte d’invalidité et que vous l’accompagnez dans ses déplacements, vous bénéficiez des mêmes avantages.
Un droit au chômage
L’aidant familial qui n’était pas salarié avant de s’occuper d’un proche peut acquérir un droit au chômage s’il a établi un contrat de travail avec la personne aidée et s’il remplit les conditions requises (durée de cotisation, inscription comme demandeur d’emploi).
Si le parent dépendant est hébergé chez l’aidant et déclaré fiscalement comme personne à charge, aucun contrat de travail n’est reconnu entre les deux (circulaire Unedic n° 2006-03 du 24 janvier 2006). Un parent qui démissionne pour s’occuper d’un proche n’a pas droit au chômage. Cependant, après quatre mois, il peut demander le réexamen de son dossier.
La possibilité d’aménager son temps de travail
L’aidant familial d’une personne en situation de handicap, qu’il soit salarié du secteur privé ou de la fonction publique, peut demander à travailler à temps partiel ou à adapter ses horaires de travail pour pouvoir remplir son rôle d’aidant. Ces aménagements doivent être discutés avec l’employeur, qui peut les refuser s’il estime qu’ils ne sont pas compatibles avec le poste du salarié.
Les congés
La maladie, le handicap ou la dépendance d’un membre de la famille peut donner droit à des congés spécifiques.
- Le congé de soutien familial pour les salariés du secteur privé .Le congé de proche aidant (ex congé de soutien familial) permet à toute personne, sous certaines conditions, d’interrompre ou de réduire son activité professionnelle afin de s’occuper d’un membre de sa famille ou d’un proche en situation de handicap ou de perte d’autonomie d’une certaine gravité (GIR 1 à 3).
- La disponibilité et le temps partiel pour les fonctionnaires. Les fonctionnaires peuvent bénéficier de deux dispositifs proches du congé de soutien familial.
- Le congé de solidarité familiale. Le congé de solidarité familiale permet d’assister, sous conditions, un proche en fin de vie. Les bénéficiaires de ce congé ouvrent droit, pour une partie de sa durée, à l’allocation journalière d’accompagnement d’une personne en fin de vie.
- Le congé de présence parentale. Le congé de présence parentale permet de bénéficier d’une réserve de jours de congé utilisée par le salarié pour s’occuper d’un enfant à charge atteint d’une maladie, d’un handicap ou victime d’un accident d’une particulière gravité rendant indispensables une présence soutenue et des soins contraignants.
Certaines conventions et accords collectifs peuvent prévoir des dispositions plus favorables. Renseignez-vous auprès de votre employeur.
Source : http://social-sante.gouv.fr/