- Accueil
- Échanger
- Forum
- Forums généraux
- Vivre avec le SIDA - VIH
- Clichés envers les personnes séropositives
Clichés envers les personnes séropositives
- 72 vues
- 0 soutien
- 5 commentaires
Tous les commentaires
Julien
Bon conseiller
Julien
Dernière activité le 12/06/2024 à 11:32
Inscrit en 2012
10 075 commentaires postés | 158 dans le groupe Vivre avec le SIDA - VIH
25 de ses réponses ont été utiles pour les membres
Récompenses
-
Bon conseiller
-
Contributeur
-
Messager
-
Engagé
-
Explorateur
-
Evaluateur
Je relance ce sujet !
Voir la signature
Julien
Utilisateur désinscrit
Outre l'inquiétude de mes parents à l'annonce, d'autant que ce fut dans le cadre d'une hospitalisation en HP, mon entourage (qui est assez restreint) à accueilli la nouvelle avec bienveillance. On en est plus à l'hécatombe des années 80 et ça c'est bien ancré dans les esprits d'aujourd'hui. Après, à part a un ami médecin dans le cadre de ma profession, je n'ai jamais abordé la question avec mes autres collègues, cela ne les regarde pas spécialement car j'ai la même vie que les séroneg.
Julien
Bon conseiller
Julien
Dernière activité le 12/06/2024 à 11:32
Inscrit en 2012
10 075 commentaires postés | 158 dans le groupe Vivre avec le SIDA - VIH
25 de ses réponses ont été utiles pour les membres
Récompenses
-
Bon conseiller
-
Contributeur
-
Messager
-
Engagé
-
Explorateur
-
Evaluateur
Bonjour,
N'hésitez pas à participer à cette conversation !
Julien
Voir la signature
Julien
chachoune63
chachoune63
Dernière activité le 13/11/2019 à 14:50
Inscrit en 2016
17 commentaires postés | 4 dans le groupe Vivre avec le SIDA - VIH
1 de ses réponses a été utile pour les membres
Récompenses
-
Ami
Bonsoir moi c'est charlene j'ai 26ans et se la fait 3 ans que je sais que je suis séropositive et j'ai était très choquer et c'est vrai qu'au début j'ai eu très peur surtout envers mon copain peur qu'il me quitte mais pas du tout il ma aide dans les moment très difficile il a était la quand j'ai voulu tout arrêter et surtout il ne ma pas juger mes parents nos plus ne m'ont pas juger mais c vrai qu'il ne son pas trop la pour en parler , c'est aussi pour sa que je suis sur se site pour parler avec des personne qui vie ce que je vie .
kivivra
Bon conseiller
kivivra
Dernière activité le 06/11/2024 à 16:42
Inscrit en 2013
62 commentaires postés | 19 dans le groupe Vivre avec le SIDA - VIH
3 de ses réponses ont été utiles pour les membres
Récompenses
-
Bon conseiller
-
Contributeur
-
Engagé
-
Explorateur
-
Evaluateur
-
Ami
J’ai découvert ma séropositivité en 1992. Je ne connaissais personne dans le milieu associatif et je n’évoluais que dans le milieu médical. Mon histoire avec Sidaction a commencé avec l’émission télévisée de 1994, que j’ai vécue comme téléspectateur. Cela a été un élément déclencheur. Moi qui avais tout caché, j’ai compris que je n’étais pas seul, que je pouvais en parler. Que malgré tout, il y avait la vie. Que des personnes, séropositives ou séronégatives, nous ouvraient les bras et s’occupaient de nous. La démarche de Sidaction, au-delà de collecter de l’argent, permet de donner un visage à la maladie. C’est essentiel pour les malades, pour faire reculer les stigmatisations, mais aussi en termes de prévention, pour que chacun comprenne qu’il peut être concerné. Dans cette association, j’ai rencontré des mains tendues et de la solidarité.
Puis par la suite, alors que j’étais hospitalisé, j’ai accepté de répondre à une demande de témoignage dont j’avais eu connaissance. C’est de cette manière que j’ai réellement rencontré Sidaction. Et j’ai alors appris que l’association était aussi investie auprès des chercheurs, et dans les pays en voie de développement, où l’épidémie est terrible, où des centaines de milliers d’enfants naissent avec le virus chaque année. Malgré toutes les difficultés, malgré les épreuves, les drames, j’ai découvert qu’il y avait de l’espoir. Des murs très hauts, mais de l’espoir. J’ai fait mon annonce à mes proches en 1998, quand la maladie m’a rattrapé. Coma, et 45 jours d’arrêt. Nous avons trouvé une quadrithérapie qui fonctionnait en 1999. J’étais sauvé. Le virus était toujours là, mais maîtrisé.
À partir de là, j’ai témoigné à visage découvert et multiplié les interventions, notamment au sein du Patchwork des noms, où Bruno-Pascal Chevalier me répétait sans cesse qu’il fallait se battre pour soi, mais aussi pour les autres. Ainsi, dès qu’il y avait quelque chose à faire, je le faisais. Je parlais de Sidaction en tant qu’association de terrain, de partage de fonds et de prévention. C’est une grande histoire d’amour avec Sidaction, qui dure encore aujourd’hui. Il y a une grande confiance entre nous. J’ai confiance en eux, pour ce qui est de l’utilisation de mon image et du respect de mon témoignage ; ils ont confiance en moi, quant à ma fidélité et au contenu de mon message.
C’est un très bon souvenir pour moi et de très bonnes années, car cela m’a permis de continuer à lutter et de passer à travers les épreuves, accompagné par ce public qui ne nous rejette plus et qui est avec nous dans le combat. L’individu qui accepte de donner, de participer au combat contre le sida, est une pierre supplémentaire à l’édifice. Pierre Bergé m’a donné cette force lorsque je l’ai rencontré, même si ce fut bref ! Il m’a dit : « Dans cette bataille, nous ne pouvons être que plus forts ensemble. Si un élément se désolidarise, cela retombe. » C’est une chaîne d’action, de solidarité, tous ces médias qui unissent leurs forces au service de la lutte, les partenaires, les bénévoles, les donateurs. C’est un beau moment de combat et d’humanité !
Il faut lutter contre ceux qui pensent que Sidaction est une machine financière. Les exemples témoignant de son utilité sont si nombreux… Prenez les avancées de la recherche : je suis passé de 47 gélules à 16 ! C’est géant. Sans Sidaction, cela aurait été impossible. Le résultat est là : nous sommes vivants, nous pouvons compter sur eux. C’est très important pour la reconstruction sociale. Le plus fort pour moi, c’est l’humanité. Les équipes de l’association m’ont montré que je n’étais pas un monstre. J’avais besoin de cela, de voir que, dans les yeux des autres, j’étais simplement Joël. Ma maman m’a dit un jour : « Quoi qu’il arrive, tu restes mon fils. » À l’association, la perception est identique. On y trouve la volonté de nous percevoir comme un être humain, et non comme une maladie.
Donnez votre avis
Articles à découvrir...
25/11/2024 | Actualités
Pourquoi ronflons-nous ? Les causes, les solutions et les conseils pour réduire le ronflement ?
23/11/2024 | Actualités
18/11/2024 | Actualités
Médicaments et libido : les traitements qui peuvent affecter votre désir sexuel ?
16/11/2024 | Actualités
Troubles de l’attachement : quelles conséquences sur nos relations interpersonnelles ?
09/01/2019 | Nutrition
14/02/2019 | Conseils
La vie amoureuse à l’épreuve de la maladie : comment faire face ?
15/04/2019 | Conseils
S'abonner
Vous souhaitez être alerté des nouveaux commentaires
Votre abonnement a bien été pris en compte
Julien
Bon conseiller
Julien
Dernière activité le 12/06/2024 à 11:32
Inscrit en 2012
10 075 commentaires postés | 158 dans le groupe Vivre avec le SIDA - VIH
25 de ses réponses ont été utiles pour les membres
Récompenses
Bon conseiller
Contributeur
Messager
Engagé
Explorateur
Evaluateur
Avez-vous été victime de clichés du fait de votre séropositivité dans votre vie quotidienne ? Comment avez-vous réagi ? Merci pour votre témoignage.