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Patients Douleurs chroniques
Interdire le cannabis thérapeutique, un refus de soins ?
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KaraMell
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KaraMell
Dernière activité le 22/10/2023 à 20:26
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19 commentaires postés | 8 dans le forum Douleurs chroniques
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Oui bien sur des qu il sera légalisé je m en ferais prescrire
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Kara Mell
fadada
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fadada
Dernière activité le 23/11/2024 à 10:50
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oui aussi
tout doit bien être encadré et transparant
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fadada
Motimas
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Motimas
Dernière activité le 15/02/2019 à 10:15
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223 commentaires postés | 1 dans le forum Douleurs chroniques
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Personnellement je n'ai pas attendu qu'on me donne le droit. C'est un décontractant musculaire, ça soulage et ça aide à l'endormissement.
Le lamaline et le tramadol sont des drogues avec dépendances.
On est pas des ados qui se cherchent en quête de sensations fortes, on est des adultes qui souffrons et que la médecine n'arrive pas à soulager.
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Lucie
omega67
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omega67
Dernière activité le 20/04/2022 à 09:41
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il n'y a pas que les seniors qui souffrent de graves maladies , d'où la nécessité d'un encadrement strict. On a déjà vu des malades échanger leur drogues , genre Lamaline contre des substances plus dures .
Par ailleurs j'ai connu un ancien danseur atteint de parkinson, retrouver une certaine aisance grace au cannabis !!ça lui a permis de tenir le coup plus longtemps, dans le bonheur d'exercer son art , et le cannabis n'était pas en vente facile !!
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omega67 Claire
Ledav33
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Ledav33
Dernière activité le 29/05/2023 à 21:35
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J'ai de très nombreux avis favorable concernant le cannabis, cependant, je tiens a différencier le cannabis médical du reste afin de ne pas faire d'amalgamme. DAns le cannabis il y a deux éléments : THC et CBD;
Le THC, est l'élément récréatif, c'est un excitant qui favorise par exemple la schizophrénie et je me refuse à entrer dans le débat d'une légalisation.
Le CBD lui par contre, calme et est bénéfique contre, la sclérose en plaque, parkinson, et les effets du cancer, tri thérapie, favorise le sommeil (ce que je cherche), donne de l'appetit (que je cherche aussi). A voir si la bi-polarité est une maladie mortelle et sinon, comment expliquer le suicide de nombreuses personnes atteinte en disant qu'elle ne l'est pas.
Je suis CONTRE le fait que cela soit dispensé dans des pharmacies, cela voudrait dire qu'il faudrait avoir un médecin qui soit formé à prescrire ce genre de "médicament" et cela demanderai beaucoup trop de temps, ce que les malades n'ont souvent plus. Les medecins & les pharmacies, prescrivent les médicaments des "grands groupes pharmaceutique" avec tous les travers qu'on leur connait car la recherche francaise est totalement a l'arret.
Ma compagne est atteinte d'une charcot marie touth (qui n'est pas considéré comme une maladie mortelle) , le cbd la soulage considérable de ses douleurs et selon ce qui est écrit, n'aurai pas le droit d'en avoir. Si la prescription s'adresse à un nombre infiniement petit de patients, cela ne sert à rien du tout.
ajout : si l'on met le cannabis thérapeutique en vente dans les pharmacies cela entrainera un commerce parallèle par effet de ricoché. On trouve suffisement de médicaments avec prescription vendu à la sauvette au coin des rue ou sur le net, vous ne trouvez pas ? Se posera aussi la question du remboursement ? CQ ? Complémentaire ?
Je me vois assez mal dire à ma complémentaire santé : J'ai acheté 100g de cannabis médical, la note est de 800€, vous participez ? Car sans remboursement, cela devient un médicament de confort ! Est-ce que dire à un quelqu'un qui souffre de parkinson " c'est un médicament de confort " bref - continuez a trembler - est-ce déontologique ?
maribel
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maribel
Dernière activité le 04/02/2021 à 14:37
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Lamaline est prescrit alors que c'est de l'opium... on est shooté grave avec, mais, c'est pas grave, ça enrichi l'industrie pharmaceutique ! Le cannabis permet d'atténuer sensiblement les douleurs, redonne de l'appétit, détend tout cela en gardant l'esprit clair par rapport à Lamaline. Alors entre drogue dure : Lamaline ou Cannabis : drogue douce ?? D'autant que s'il était possible de cultiver une certaine quantité, cela permettrait d'avoir un médicament pas cher ! Ce serait bien ! Pour !! Et s'il pouvait y avoir une accélération du processus, cela serait parfait pour les personnes qui souffrent et qui ne veulent pas être stone en prenant de la poudre d'opium !!! Le cannabis médical est retiré de la pharmacopée française depuis 1953 (wikipédia)
Choupinettedoud
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Choupinettedoud
Dernière activité le 30/07/2021 à 16:04
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Oui, bien sur je suis prête à essayer.
Sincèrement, il serait temps !!
cali29s
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cali29s
Dernière activité le 10/10/2024 à 22:43
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oui et j'ai hâte bien sûr dommage que ça traîne autant à cause de nos ministres de la santé trop frileuses !!!!!!!!!!!!!!!!!!
mais leur famille de doit pas être touchée ou et ont des moyens financiers élevés et vont le chercher à l'étranger
comme des médecins qui ne s'en cachent pas (magasine de la santé sur la 5)
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cali29s
Louise
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Louise
Dernière activité le 11/06/2021 à 09:00
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Le Comité Scientifique Spécialisé Temporaire de l'Agence du Médicament s'est exprimé aujourd'hui en faveur d'une évolution de la législation concernant le cannabis médical. Ce n'est pas encore une conclusion définitive.
Plus d'infos :
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Louise de l'équipe Carenity
Chanila
Chanila
Dernière activité le 11/04/2023 à 23:46
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Ami
Oui bien sur j'accepterai d'utiliser du cannabis s'il y a un encadrement strict.
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Ric.spa
Compte tenu des différents symptômes de la maladie, j’ai essayé de catégoriser les traitements possibles selon les atteintes.
💊 Médicaments sur ordonnance : en cas de poussée, et peu importe la localisation, il existe plusieurs type de médicaments pour soulager la douleur :
- Antalgiques : du type paracétamol ou paracétamol codéiné (selon l’intensité de la crise)
- Anti-inflammatoires + oméprazole : afin de soulager ponctuellement à l’inflammation
- Anti-dépresseurs : certains médicaments comme l’amitriptyline (Laroxyl) sont prescrits pour rendre la douleur « plus supportable » psychologiquement.
Pour tous ces médicaments, il convient de consulter votre rhumatologue et d’adapter le traitement selon votre sensibilité et vos besoins.
🏊🏻♂️ Physiothérapie : le sport est d’importance primordiale pour réduire les douleurs axiales. Encore faut-il choisir prudemment l’activité pour ne pas créer l’effet inverse. A ce stade, je recommande deux sports :
- La natation : deux nages idéales dans ce cas, le crawl et le dos crawlé.
- La kinésithérapie : je vous conseille de consulter un kinésithérapeute du sport qui saura vous construire un programme adapté à vos besoins et à l’état actuel de votre spondylarthrite.
La maladie étant imprévisible, la pratique du sport peut donner lieu à des scénarios très différents : vous pouvez avoir mal durant l’entraînement et ne plus avoir mal après, ne pas avoir mal avant mais avoir mal pendant, avoir mal avant mais ne pas avoir mal pendant etc… Il est donc essentiel d’écouter son corps. Si une légère douleur pendant l’entraînement peut être acceptable, vous devez cependant mettre une limite et cesser votre séance si la douleur est insupportable.
🧴 Crèmes : plusieurs crèmes sans ordonnance peuvent être pertinentes pour remédier aux douleurs, notamment périphériques (genoux, talons etc…) :
- Baume du tigre rouge : naturel et agréable avec son effet chauffant, il a cependant l’inconvénient de tâcher vos vêtements à cause de sa couleur.
- Voltaren Actigo.
🧊 Douches froides : certes peu agréables sur le moment, elles peuvent cependant casser la douleur inflammatoire. Pour maximiser les effets, je vous recommande d’en prendre une par jour pendant 1 mois. Pour qu’elles soient plus supportables, il est préférable de les prendre l’après-midi ou le soir et de privilégier les mois chauds.
💡 Mon conseil ultime : créer une fiche avec chaque douleur répertoriée, et les traitements associés pour y remédier. Cela vous aidera vous, mais également vos proches s’ils doivent vous aider.
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Vivre avec des douleurs chroniques
Incompréhension de l'entourage, se sentir seule face à la douleur
Dadou67
Bonjour à toutes
Il faut souvent du temps pour que les proches acceptent la maladie. Il nous en faut d'ailleurs aussi quand le diagnostic tombe.
Pour ma part j'ai 42 ans et j'ai une polyarthrite rhumatoïde étendue à toutes les articulations et le déclic chez mon mari c'est fait au passage du traitement par injection. Je pense que l'effet seringue me rend plus malade à ses yeux.
La maladie m'a appris à penser plus à moi, à m'occuper de moi et les laisser se débrouiller pour les tâches du quotidien, à profiter de la vie car ma vie de maman m'a relégué au second plan pendant 15 ans.
Je n'attends plus de la compassion, de l'aide de mon mari et mes enfants par contre dès qu'une crise survient je deviens égoïste, je me soigne, me repose et étonnamment tout ce petit monde se réveil et vient prendre soin de moi.
Alors peut être que c'est ça le secret....penser à soi!E n tout cas chez moi ça a marché.
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Ric.spa
Compte tenu des différents symptômes de la maladie, j’ai essayé de catégoriser les traitements possibles selon les atteintes.
💊 Médicaments sur ordonnance : en cas de poussée, et peu importe la localisation, il existe plusieurs type de médicaments pour soulager la douleur :
- Antalgiques : du type paracétamol ou paracétamol codéiné (selon l’intensité de la crise)
- Anti-inflammatoires + oméprazole : afin de soulager ponctuellement à l’inflammation
- Anti-dépresseurs : certains médicaments comme l’amitriptyline (Laroxyl) sont prescrits pour rendre la douleur « plus supportable » psychologiquement.
Pour tous ces médicaments, il convient de consulter votre rhumatologue et d’adapter le traitement selon votre sensibilité et vos besoins.
🏊🏻♂️ Physiothérapie : le sport est d’importance primordiale pour réduire les douleurs axiales. Encore faut-il choisir prudemment l’activité pour ne pas créer l’effet inverse. A ce stade, je recommande deux sports :
- La natation : deux nages idéales dans ce cas, le crawl et le dos crawlé.
- La kinésithérapie : je vous conseille de consulter un kinésithérapeute du sport qui saura vous construire un programme adapté à vos besoins et à l’état actuel de votre spondylarthrite.
La maladie étant imprévisible, la pratique du sport peut donner lieu à des scénarios très différents : vous pouvez avoir mal durant l’entraînement et ne plus avoir mal après, ne pas avoir mal avant mais avoir mal pendant, avoir mal avant mais ne pas avoir mal pendant etc… Il est donc essentiel d’écouter son corps. Si une légère douleur pendant l’entraînement peut être acceptable, vous devez cependant mettre une limite et cesser votre séance si la douleur est insupportable.
🧴 Crèmes : plusieurs crèmes sans ordonnance peuvent être pertinentes pour remédier aux douleurs, notamment périphériques (genoux, talons etc…) :
- Baume du tigre rouge : naturel et agréable avec son effet chauffant, il a cependant l’inconvénient de tâcher vos vêtements à cause de sa couleur.
- Voltaren Actigo.
🧊 Douches froides : certes peu agréables sur le moment, elles peuvent cependant casser la douleur inflammatoire. Pour maximiser les effets, je vous recommande d’en prendre une par jour pendant 1 mois. Pour qu’elles soient plus supportables, il est préférable de les prendre l’après-midi ou le soir et de privilégier les mois chauds.
💡 Mon conseil ultime : créer une fiche avec chaque douleur répertoriée, et les traitements associés pour y remédier. Cela vous aidera vous, mais également vos proches s’ils doivent vous aider.
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Vivre avec des douleurs chroniques
Incompréhension de l'entourage, se sentir seule face à la douleur
Dadou67
Bonjour à toutes
Il faut souvent du temps pour que les proches acceptent la maladie. Il nous en faut d'ailleurs aussi quand le diagnostic tombe.
Pour ma part j'ai 42 ans et j'ai une polyarthrite rhumatoïde étendue à toutes les articulations et le déclic chez mon mari c'est fait au passage du traitement par injection. Je pense que l'effet seringue me rend plus malade à ses yeux.
La maladie m'a appris à penser plus à moi, à m'occuper de moi et les laisser se débrouiller pour les tâches du quotidien, à profiter de la vie car ma vie de maman m'a relégué au second plan pendant 15 ans.
Je n'attends plus de la compassion, de l'aide de mon mari et mes enfants par contre dès qu'une crise survient je deviens égoïste, je me soigne, me repose et étonnamment tout ce petit monde se réveil et vient prendre soin de moi.
Alors peut être que c'est ça le secret....penser à soi!E n tout cas chez moi ça a marché.
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Louise
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Louise
Dernière activité le 11/06/2021 à 09:00
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Selon le Comité éthique et cancer, il n'existe aucune raison de s'opposer à la consommation de cannabis thérapeutique par des adultes atteints d'une maladie grave qui disent en tirer un bénéfice, même si ce bénéfice n'est pas démontré de façon rigoureuse.
Y-a-t-il des raisons éthiques à s'opposer au cannabis thérapeutique ?
Le Comité éthique et cancer, une instance consultative, n'a pas trouvé de raison de s'opposer à l'usage du cannabis par
des adultes atteints d'une maladie grave qui disent en tirer un bénéfice, même si ce bénéfice n'est pas démontré de façon rigoureuse. Une patiente atteinte d'un cancer, qui affirme que la consommation de ce produit la soulage de douleurs intenses et chroniques et de ses nausées, avait saisi le Comité en l'interrogeant sur le caractère éthique ou non de l'interdiction du cannabis dans un contexte thérapeutique. Pour cette patiente, l'interdiction actuelle est un refus de soins.
Malgré les données encore insuffisantes sur les effets thérapeutiques du cannabis, le Comité s'est attaché à déterminer s'il existe des raisons éthiques de s'opposer à la consommation de cannabis par des malades qui s'en disent soulagés. Suite à leur étude, aucun des arguments possiblement en défaveur d'une telle consommation ne lui est apparu de nature à continuer de l'interdire. Aucun effet néfeste avéré ne leur semble assez sérieux pour s'opposer à cette pratique chez des adultes atteints d'une maladie grave et potentiellement mortelle. Néanmoins, le Comité recommande de ne pas le fumer mais de privilégier d'autres formes de consommation.
Encadrer l'accès au cannabis par les autorités de santé
Selon le Comité, il conviendrait que l'accès au cannabis ou à ses substances actives puisse être encadré par les autorités de santé, afin d'apporter aux personnes malades les garanties nécessaires quant à la qualité, aux concentrations et aux modalités d'utilisation optimale du cannabis ou de ses substances actives. Cet encadrement permettrait de surcroît aux personnes malades de se dispenser de faire appel à des circuits parallèles pour s'en procurer et leur éviterait également de risquer des poursuites pénales du fait de leur consommation.
Un comité d'experts de l'Agence du médicament ANSM remettra ses premières conclusions d'ici à la fin de l'année sur l'intérêt de mettre en place en France un accès à du cannabis thérapeutique, au-delà de l'huile de CBD.
Qu'en pensez-vous ?
Seriez-vous prêt(e) à essayer le cannabis thérapeutique ?
À en consommer plutôt que de l'huile de CBD ?