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depression perte d espoir
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Sabi43
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Sabi43
Dernière activité le 22/02/2021 à 13:03
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37 commentaires postés | 10 dans le groupe Examens médicaux, analyses biologiques, interventions chirurgicales
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Ami
Merci pour votre conseil c'est vrai par moment j'ai des envie suicidaire je le cache pas mais quand je sans que l'énervement arrive la je pète un câble c'est pour ça que je sort faite mon footing ou quand ça monte trop je tape rassurer vous sur personne mais j'ai cette envie de taper puis discuter après ça marche comme ça chez moi c'est une sale maladie faut réapprendre à vivre avec ça !!! En tout cas merci à bientôt
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Sabine
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Malheureusement qui n a pas ce genre d envie avec la fibromyalgie ?
Sabi43
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Sabi43
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Ami
Oui mais bon j'ai jamais osez enfin si j'en et fait une ts après je suis devenu diabètique
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Sabine
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Je n en ai jamais fait.
Ma mère a trop besoin de moi.
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Sabi43
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Sabi43
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Ami
Bonjour oui mais pas évident quand la pulsion arrive et que vous êtes incomtrolable c'est pas facile alors quand je c'est que ça arrive trop je vais courir ou marcher mais tu c'est que par moment c'est assez chaud pour moi en plus je vie seule désolé pour le tu mais pour moi c'est plus simple pour dialoguer avant d'être diabétique j'avais eu fait une ts en prenant beaucoup de cachet un mélange pour moi c'était la fin je voulais en finir je venez de me séparé avec mon copain j'ai pas eu fait de lavage d'estomac je m'était retourner l'estomac comme il faut et par moment ça me revient je me dit le diabète à gagner il m'aura puis d'un côté non je me dit qu'es que diront mais paremts et mon entourage ça m'arrive de pensée à arrêter mais insuline mais c'est que des paroles jamais passer à l'acte
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Sabine
lolotte26
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lolotte26
Dernière activité le 30/07/2022 à 14:08
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Ami
bonjour à tous, Sabi43, voilà bientôt 2 ans que tu as appris que tu avais une ou des maladies,tu es jeune. je ne peux que comprendre que ce soit dur à digérer...malheureusement la dépression fait partie d'un long processus vers l'acceptation de ce qui t'arrive . la dépression on la vie tous chacun de notre manière, différemment aux grès des années. la mienne est dite "invisible" (dépression chronique). Eauclair je pense que tu connais . Donc j'apprends tous les jours à vivre avec elle,et cela depuis 1994. je croyais m'en être sortie, mais le diagnostic est tombé... Alors on a le choix, si si on l'a. On peut la subir , l'apprivoiser puis la combattre. Bien loin d’être facile, c'est vrai, à quelque part entre la dépression et les maladies, on se desociabilise involontairement, puis les gens n'ont pas forcement envie, ou la force de nous faire face; et il y a des jours ou je me demande qu'est ce que je fais encore ici bas!(3 ts en 22 ans) on éprouve colère, lassitude,agressivité,le repli sur soi même le "pourquoi moi", le ras le bol,on pleure, on crie,souffrir en silence ,bref une infinité d'émotions , c'est humain. en 1994 je suis restée muette pendant 3 mois et j'avais un petit garçon de 3 ans et demi. un jour j'ai pris un crayon, une feuille et je me mise à dessiner, puis à peindre,ça m'a permis de sortir de ce mutisme et de revenir une maman à temps complet au bout de quelques mois. depuis je peins quand je le peux et quand je ne peux pas j'amène à moi ce que je peux faire,car je suis dépendante des gens et je ne peux pas prendre ma bagnole et aller voir mes proches quand ça ne va pas, dire de prendre l'air,et il y a des jours, des semaines ou je ne fais rien! alors je dorlote encore plus mes compagnons à 4 pattes. mais il m'arrive encore (lors de gros soucis) de faire comme toi, je pète un plomb ! je vire tout ce qui se trouve sur mon passage! c'est comme ça qu'une fois j'ai cassé la porte de ma cabine de douche "généralement"je mets un bazar pas possible et casse peu...a fleur de peau, j'écris et même si je pleure quand je le fais ça m'apaise. et c'est autant dur pour nous que pour nos proche, ils se sentent inutiles. Au jour d'aujourd'hui, je gère beaucoup mieux. je sais, que ce mal être est en moi, alors ironie je suis, comme un coq, je chante même si je suis dans la M.... !!! dérision aussi fait partie de ma vie. courage il en faut, parles, cries ton mal. je te souhaite de trouver diverses façons pour t'aider à te soigner puis guérir Sabi43. A vous tous aussi. bonne soirée
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lolotte 26
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Sabi43
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Sabi43
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Ami
Bonsoir lolotte26 j'ai bien reçu ton msg merci pour ton long Msg oui pas évident mais moi quand ça m'arrive je pète les câble et j'ai qu'un diabète type1 depuis plus de 1 an pour l'instant j'arrive à canaliser ma pulsion en faisant beaucoup de sport j'ai personne à la maison donc c'est assez dur dur j'ai eu qu'elle qu'un pendant 6 mois mais ca n'a pas duré malheureusement juste avant d'être malade j'avais fait une ts donc voila Après je suis tomber diabétique donc je me pausse la question est ce que ça vien de la ou pas ma ts est que j'avais pris beaucoup les cachet je sorter dune relation j'ai pas eu de lavage d'estomac mais je m'étais retourner l'estomac comme il faut quand je suis comme préfère voir personne et oui depuis ce diabète je me suis renfermer sur moi même pas cool le retour à la maison était vachement dur je me suis retrouvé seule face à ce diabète j'avais pas envie de men sortir vraiment pas j'avais qu'une envi c'était de tout arrêter mais insuline et tout le reste heureusement que j'ai eu de l'entourage sinon je ne serais pas la a te parler
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Sabine
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Bonsoir. Je ne me reconnais pas vraiment dans la façon d'aborder cette question. Il est vrai que chaque situation peut paraître particulière.
Partir sur l'idée qu'il faut laisser une personne venir vers soi plutôt que de chercher à l'aider comprend implicitement l'idée qu'il faut la regarder plonger. Cela me semble très déterministe. Socialement, et moralement, cela simplifie les choses. Si il plonge, c'est qu'il l'a voulu. C'est ne pas prendre en compte que de nombreuses personnes ne sont plus capables de faire un signe intelligible personne à tant soit peu réceptive. D'autant que demander peut-être perçu comme une reconnaissance de dette morale avant toute forme de communication.
Plus souplement, s'il faut comprendre par non intervention, qu'il ne faut pas substituer maladroitement sa propre vision à celle de la personne en dépression, alors oui bien sûr il vaut mieux ne pas intervenir.
Les conseils sont souvent un peu lourdaud. Cela va du ressaisis-toi, aux je connais quelqu'un qui pratique a fait telle thérapie. Il y a aussi le moi je prends ça, le penses à autre chose, le ça va passer, le tu dramatises. En fait souvent l'interlocuteur ce par-là lui-même pour se rassurer ou pour vous mettre à distance dans sa façon de raisonner.
En fait souvent l'interlocuteur ce par-là lui-même pour se rassurer ou pour vous mettre à distance dans sa façon de raisonner.
Je pourrai donc te dire ce que je fais, mais il faut risqueriez d'abandonner avant le deuxième tome.
Partager un signe de sympathie, apporter un soutien ponctuel désintéressé et concret, sans attente de retour, ne pas chercher a s'accaparer l'autre ou à exercer un pouvoir sur lui, l'aider dans une démarche administrative ponctuelle, le distraire sans s'imposer, bref réintroduire un peu d'humanité dans une forme de communication peut ne pas être inutile.
Le rôle de l'hygiène de vie, du médicament éventuel, l'environnement de la personne, la cause identifiable ou non d'une part du problème conduisent à une déclinaison très ouverte de modes d'approche.
Pour être honnête je ne peux prendre que mon exemple. Malgré que je sois fortement dépressif, je donne le plus souvant le change. J'ai abandonné une partie des médicaments ce qui est sans doute une erreur. Je vais voir mon médecin pour étudier les parades qui pourraient être mise en œuvre. Pas simple d'être régulier avec des médicaments qui justement vous empêche de vous concentrer.
Évidemment je suis dans un cas particulier, comme tout le monde, le mien étant le cadre notamment de troubles post-traumatiques. Je voyage donc entre des sentiments de mort imminente et des pulsions suicidaires. cela ne se remarque pas trop. D'autant que comme je n'aime pas radoter, je pourrais dire un instant que je vais comme la météo (pluvieuse) à la question rhétorique comment ça va; et au suivant dire avec enthousiasme que je vais bien… pour ne pas ressasser avec chacun en permanence son état de détresse et garder quelques contacts…
En même temps je ne suis pas passé à l'acte puisque je réponds. C'est souvent à cet instant de précision qu'on remet en question le sérieux de votre problème...
L'air de dire "tu vois c'est pas sérieux, viens rigoler avec nous", "si c'était vrai tu l'aurais déjà fait".
Peut-être est-ce déplacé le dire, mais je crois que j'ai ce qu'il faut pour régler correctement la question d'un départ à l'instant où je le déciderais.
Convenons qu'avec des paramètres pareils la situation n'est pas des plus aisée pour un thérapeute, un médecin généraliste ou un psychiatre.
Ce qui m'ennuie le plus, ce sont les moments de plongeon qui ne manquent pas ( des heures sur une journée, ou les moments les plus variés, quelques fois même incruster dans des instants d'amusement). Ce n'est pas évident à faire comprendre. par moment alors que je me sens déjà dans les abysses, je me dis qui sait, serait-ce mon sucre ? Devrais prendre un calmant de type passiflore ? Une activité physique stimulerait-elle la sérotonine ? Est-ce qu'au contraire, je tire ma révérence ? Est-ce que je demande de l'aide ? A qui pourrais-je le faire ? Soyons clair, j'ai convenu avec mon médecin que s'il le fallait je préviendrait SOS suicide. Ils sont efficaces et quelques fois un bref échange remet quelques idées en place. Chez nous ils sont plutôt surchargés.
Je vais reconnecter avec mon psychiatre et relancer l'idée de me mettre au vert.
Très rarement, je vais prendre, en coup de vent, un café ou une eau dans un établissement à une heure tardive. Je sais qu'on se demande ce que je fais là. Un jour le patron m'a dit : vous venez-vous réfugier à cause des attentats ? Je lui ai répondu : qui sait … Je me demande s´il a compris qu'il avait mis le doigt sur la bonne question.
Alors là, un instant d'humanité et l'on rentre chez soi détendu, comme si tout allait bien. Ce sont des petits riens ou de grandes choses qui sont les causes de notre dépression, ce sont aussi de tous petits riens qui la combattent.
Je ne me sens d'humeur ce soir à ne tirer aucune conclusion.
Lorsque l'on se sent mal, ce n'est pas simple d'être face à soi, avec un paquet de questions, et un paquet de réponses mal articulées entre elles.
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Utilisateur désinscrit
bonjour je constatte que sur le site beaucoup de personne on des ad a cause de maladi qui leur cause des douleur mais es ce ce que la depression ce n es pas quant on na plus de envie de plaisir a faire les que l on ne resssent plus la vi on es neutre parfois des personne sont elle en depression comme moi ou l envie et le plaisir sont partis avec emoussement affectif je voudrais savoir si quelqu un s ent remet car je perd espoir d etre vide s en rien ressentir ni faim ni soif ni sensibilite je de devient un corp vide avec un cerveau en compote oppresser en permanence un zombie