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Un Français sur deux s'est déjà senti jugé par un soignant
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Article tres interessant et que j'ai malheureusement vecu même les psychiatres peuvent faire plus de mal que de bien , les generalistes aussi cardiologues neurologues . Je ne sûrement pas la seule
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maritima
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maritima
Dernière activité le 22/11/2024 à 17:38
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Comme vous dîtes ..... @Eauclair
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maritima. "l'amour pour épée, l'humour pour bouclier" Bernard Werber.
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suite a un choc anaphilactique tres sévere ,les pompiers on appeler le samu , sur ce une ambulance ma emmener aux urgence et le chauffeur de cette ambulance a dit a sa collegue , j'en ai marre de transporter de la viande saoule , il va dégueuler partout
il parlait de moi
deuxieme choc anaphilactique , l'infirmiere des urgences dans le camion du SAMU qui dit il est mort , putain fait chier c'est le deuxieme qui creve dans le camion cette semaine
Roseland
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Roseland
Dernière activité le 30/11/2023 à 08:46
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Ami
Bonjour à tous,
Rien à voir avec Denis car la c est vraiment horrible ces ambulanciers inhumain, je compatie vraiment, mais besoin de parler de la consultation de ma fille d hier chez un Rumatho très connu à Marseille.
Nous avons été envoyé chez lui par le neuro car elle a une spondylarthrite comme sa maman (super cadeau d hérédité) et une sep qui vient de se déclarer.
Pour s accordé d un traitement le neuro nous a donc envoyé le voir avec un courrier lui demandant son avis au vu de un traitement.
Au début tout ce passe bien, mais je vois bien qu il fait comme pour une visite de routine mais qu il ne se pose pas la question pour la sep d ou notre rdv.je me permets donc de le lui rappeler gentiment !du coup il se lance dans des appels à ses collègues pour demander de decripter l écriture du neuro ensuite il cherche sur l ordi la compo des traitements et la il nous dit qu on le fait trop travailler qu il pourra pas nous recevoir tous les trois mois,que c était exceptionnel !je passe les détails, pas de metre pour les mesures,pff pas grave et pour finir on ne se lève pas pour nous raccompagner et nous serré la pince.
Non mais je rêve Mr le professeur, vous avez à faire à une jeune fille dont la vie vient de basculer !!Un peu d empathie et de courtoisie c si difficile?
Nous ne sommes pas des numéros nous nous passerions de nos rendez-vous médicaux.
Voilà rien de très grave à comparer sur ce que j ai lu plus haut mais ça fait du bien de vidé son sac !
Je vais me rallonger fatiguee ce matin j ai les mains engourdies ,j ai du boxer toute la nuit...
Courage à tous et une caresse anesthésiante à tous vos maux.?
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Ange
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@Roseland
bonjour Jaja
les médecin pour le patient ce font de plus en plus rare , ils sont plus donnes des sous on voit après
Lilila123
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Lilila123
Dernière activité le 27/02/2022 à 11:28
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Ami
Bonjour à tous...
cet article me parle tant.
jusqu ici, ma famille et Moi meme n'avions consulté de médecins que pour des bobos lambda. Je n'avais donc rien à leur "reprocher"
en Mai, des douleurs affreuses ont commencé chez moi (peut être une spondylarthrite, j'en ai tous les symptômes mais personne pr me le confirmer bref..) douleurs qui me conduisent plusieurs fois chez mon généraliste ( que je connais depuis peu). Le Mois d'après, ma fille de 5 ans déclenche des crises d'athme assez impressionnantes après un effort. Retour chez le généraliste qui ne voit rien d'anormal et dit que tout va bien. Je re précise que ce n'est qu Apres un effort physique donc normal que là elle ne soit pas en détresse respiratoire.
a partir de là, et suite à 5 rdv en peu de temps pr ma fille et Moi meme, c'est simple, elle m'a prise pour une folle, il n'y a pas d autres mots. elle rigole ouvertement en me disant que ma fille et Moi n'avons rien. Mes douleurs ? Une "décompensation par le dos", je suis stressée en ce moment et les soucis ressortent par le dos. ???!!!!!???? Les crises d'asthme de ma fille ?? Une pure invention de Moi même . Ensuite s en suit un COMBAT pour aller voir un spécialiste ( rhumato pr Moi et pneumo pour ma fille), car ç est le généraliste qui doit faire un courrier pour pouvoir consulter et si il n'en voit pas l'intérêt , il ne le fait pas. Idem pour demander un examen médical , si il n'en voit pas l'intérêt , il ne le prescrit pas.
dans mon cas , ni ma fille, ni Moi meme ne mentons . Nous n exagérons rien . Nous n avons pas peur d avoir un cancer ou que sais je. Nous ne sommes pas hypocondriaques. Nous consultons et exposons simplement des faits. Et on nous renvoie chez nous car, pour je ne sais quelle raison, le généraliste a décidé de ne pas nous croire.
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Lilila123
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Lilila123
Dernière activité le 27/02/2022 à 11:28
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Ami
Ç est ce que j'ai fais, hier je me suis pointé chez une rhumato sans aucun courrier de mon généraliste.
je me suis faite sacrément grondé, mais tant pis, elle m'a reçu et donné un traitement.
idem demain, ma fille consulte un pédo pneumo sans aucun courrier du médecin.
c est n'importe quoi
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Selon une enquête de BVA pour Zava, plus de trois quarts des Français ont déjà été freinés dans leur parcours de santé à cause du jugement d’un professionnel de santé…
« De toute façon à votre âge, vous n’avez pas de relation sexuelle. » Voilà la phrase qui a choqué Flavie, lors d’une première rencontre houleuse avec une gynécologue. « J’avais quinze ans, un copain sérieux et beaucoup de questions sur la pilule, le sida et autres MST, confie la jeune femme de 26 ans. Avec cette assertion, elle me disait que j’étais trop jeune pour avoir une vie sexuelle et m’interdisait toute demande. » Flavie n’est pas seule à partager une expérience désagréable avec un médecin. Depuis quelques mois, médias et réseaux sociaux se font l’écho d’une impressionnante souffrance des patients, et en particulier des patientes.
Un problème de confiance reflété par un sondage de BVA pour Zava, site de téléconsultations médicales. En effet, 78 % des Français ont expérimenté ou craint le jugement d’un professionnel de santé. Une peur davantage exprimée chez les femmes : elles sont 83 % à redouter les remarques désobligeantes, inappropriées ou encore « la leçon de morale ». Et cette crise de confiance touche surtout les médecins : 74 % de ces jugements émanent des médecins contre 9 % des infirmiers.
50% des Français freinés dans leur accès au soin
Et cette crainte ou mauvais souvenir n’encourage pas les Français à prendre soin de leur santé. Selon cette étude, 50 % des Français ont été freiné dans leur démarche médicale par crainte ou expérience du jugement d’un soignant. Un chiffre impressionnant, mais qui n’étonne pas le Dr Sophie Albe-Ly. « Certains patients n’arrivent pas à aborder des sujets, surtout intimes, reconnaît cette généraliste depuis dix ans à Londres après une carrière française. Souvent, une consultation se termine, par "au fait docteur" et là, il aborde le vrai sujet que le préoccupe. Typiquement, un patient vient parce qu’il a mal au ventre, le médecin le rassure, mais en réalité il a peur d’avoir un cancer. Mais il se tait par crainte du jugement ou par peur du ridicule. » Pas évident pour le médecin de lire dans les pensées…
Retarder un rendez-vous… ou éviter d’en parler
Cette peur porte parfois à conséquences. Selon ce sondage, la moitié des personnes interrogées qui ont retardé la consultation en ont subi des répercussions négatives : 16 % ont remarqué un impact sur leur santé et 41 % des effets psychologiques.
Parfois le médecin est le seul interlocuteur adéquat pour parler de problèmes intimes et quand cette porte se ferme, les dégâts peuvent être immenses. Taire ses souffrances et inquiétudes n’ont rien d’anodin, quand par exemple on retarde une visite chez les médecin alors qu’on redoute une petite boule dans le sein ou qu’on évite de se confier sur des rapports sexuels et règles douloureuses qui peuvent mettre sur la voie d’une endométriose…
« Le fait de ne pas avoir effectué un test pour les maladies sexuellement transmissibles m’a beaucoup angoissé, reconnaît Flavie, 26 ans. Et je ne l’ai toujours pas fait… » « Une infection sexuelle non traitée, cela peut déboucher sur une stérilité, renchérit le Dr Sophie Albe-Ly. Une MST peut être asymptomatique, donc on la transmet sans s’en rendre compte. Aujourd’hui, on voit une augmentation de l’infection par la chlamydia en France. »
Comment expliquer cette crise de confiance ?
Mais au-delà des craintes, beaucoup de patients ont souffert d’une réflexion maladroite ou pire. « Rien ne sert de généraliser ou blâmer à tout va, tranche le Dr Albe-Ly. Tous les médecins sont humains avec leur culture, leurs convictions, leur background. On a le droit d’avoir des opinions, mais on n’est est pas là pour faire la morale ! » Et la maltraitance est souvent involontaire, assure cette généraliste. « Même sans le vouloir, parfois on ferme la porte, reprend Sophie Albe-Ly. Personnellement, je fais attention à poser des questions ouvertes, éviter les assertions, parler de partenaire pour ne pas crisper un patient homosexuel. A éviter le « quel est votre sexe ? » qui exclut les personnes transgenres. Des petits détails qui peuvent bloquer la communication. Après, c’est sûr qu’on ne peut pas faire attention à tout ! » Surtout quand c’est une trentaine de patients qui défilent chaque jour au cabinet…
Cette généraliste qui exerce depuis dix ans au Royaume-Uni reconnaît que la relation entre soignant et soigné a évolué. Mais la France n’est pas en avance… « On va vers un partenariat. Dans le système britannique, il y a moins cette relation verticale. Le médecin informe, accompagne, mais la décision revient au patient. » Une approche différente qui se lit aussi dans les études. « Au Royaume-Uni, j’ai suivi des cours sur comment faire dans un temps restreint pour amener le patient à nous dire la vraie raison de sa venue. Je pense que l’on pourrait faire un effort d’éducation, de sensibilisation au dialogue pendant les études de médecine en France. »
Et pour elle, ce grand déballage, cette remise en question parfois douloureuse pour les praticiens, peut déboucher sur une meilleure compréhension. « Se remettre en question, ça ne fait pas de mal surtout dans une pratique où le contact humain est primordial et le but c’est d’aider les gens à être en bonne santé ! Détromper un médecin, c’est lui rendre service. »
Source : 20 Minutes