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E-santé : les patients veulent un dossier médical digital et partagé
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Aller au dernier commentaireUtilisateur désinscrit
@CISSIA Si pour vous une consultation médicale dure 5 minute !!!! changé de charlatant car une consultation chez un généraliste consencieux dure 1/4 d'heure et chez un Spécialiste 1/2 heure minimum .
Là vous avez des praticiens Professionnels faut pas généralisé car voir ces praticien reste la meilleure solution
Utilisateur désinscrit
@maya78 je suis d'accord mais de l'emploie encore suprimé dans un secteur ou il manque 80% de personel qui faudrait en plus
Utilisateur désinscrit
Oui il est très intéressant de beneficier de la médecine informatisée. Par contre je pense qu'il serait bon de se faire confirmer le diagnostic par un médecin pour les maladies rares ou graves.
nous devons penser qu'il y a des personnes qui ne connaissent pas du tout l'informatique, d'autres n'ont pas les moyens d'avoir un ordi ou tel portable. Il ne faut pas oublier que certaines personnes sont limitées et que pour les nouvelles technologies ils ne sont pas capables.
Utilisateur désinscrit
comme partout durée d attente trop longue et surtout suivi moins réaliste et précis faute à personne car trop peu de temps et moyen
quesaquo
Bon conseiller
quesaquo
Dernière activité le 30/09/2024 à 09:06
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839 commentaires postés | 271 dans le groupe Bon à savoir (pour tous)
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Bonjour, je regrette cependant que la sécurité concernant la confidentialité des données n'ai pas été évoquée...
goumek
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goumek
Dernière activité le 14/10/2020 à 15:01
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41 commentaires postés | 9 dans le groupe Bon à savoir (pour tous)
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La medecine connectée est une technologie du futur , ce n'est qu'a la génération prochaine qu'elle soit réussie à 100 % mais il faut débuter (chaque chose a un début)
Joannic
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Joannic
Dernière activité le 09/11/2022 à 21:00
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57 commentaires postés | 12 dans le groupe Bon à savoir (pour tous)
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Très heureux d'avoir participé à la réalisation de cet article !
Merci Carénity
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Joannic Allossery
Utilisateur désinscrit
Bonjour,
Mon « cas » n’est pas désespéré par le fait que je sois de l’autre côté de frontière... je ne suis inquiet que d’une chose au niveau de la sécurité des données et du respect de la vie privée.
Plus précisément, j’ai fait un essais avec une application gratuite de suivi cardiaque. Gratuite jusqu’à 1,5 ans. Bien francophone, mais créée par un hôpital américain qui a accès à cette info.
Je n’ai rien contre, si ce n’est que je m’interroge : les données vont à d’autres que nos médecins-traitants et qu’aux institutions qui nous suivent parce que nous en avons fait le choix. Évidemment, dans les x pages demandant notre accord, cela n’apparaît peut-être même pas. On nous demande comme à l’accoutumée si nous marquons notre accord avec notre fournisseur de services quant à la mise à disposition des données à ses partenaires (à titre supposé confidentiel).
Je ne m’inquiète pas outre mesure, mais je m’interroge. Ou se situe la relation personnelle du patient avec son médecin ? Son hôpital ? Restera-t-elle respectée ? Quelle restera la part de liberté du patient dans ce processus de concentration et de traitement de masse ... avec ses risques d’erreur de masse ?
Ne serait-il pas plus utile de savoir à quel médecin s’adresser lorsque sa glycémie passe à 420 ou plus, que son spécialiste n’est disponible que dans 3 mois ? Que cela dépasse de toute façon la généraliste par ailleurs en congé ?
C’est une boutade, car libérer le médecin de son patient lui permettra de surveiller ses équation dans les meilleures conditions avant que sa fonction ne soit automatisée et que les logiciels n’excluent les patients trop humains qui se déroberaient au protocole ?
Mais là, c’est vraiment parano de ma part.
Hookette
Membre AmbassadeurBon conseiller
Hookette
Membre Ambassadeur
Dernière activité le 23/11/2024 à 07:39
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26 781 commentaires postés | 17332 dans le groupe Bon à savoir (pour tous)
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Chacun d'entre nous non pas les mêmes moyens pour un ordinateur où une tablette.
Et les personnes qui sont sous TUTELLES où CURATELLES RENFORCEES ne peuvent avoir accès à leurs données
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MC - 💕 Nous avons des merveilles à échanger - 💕
Utilisateur désinscrit
Je suis contre le partage des données par informatique. Déjà les docs ont "le nez dans l'écran" pendant les consultations, mais en plus rien ne va garantir que les données ne soient pas consultées par n'importe qui....par exemple les assureurs, etc......
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Louise
Animatrice de communautéBon conseiller
Louise
Animatrice de communauté
Dernière activité le 06/10/2020 à 12:05
Inscrit en 2017
1 216 commentaires postés | 297 dans le groupe Bon à savoir (pour tous)
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Ami
A l’occasion de la Journée mondiale de la Santé ce samedi, Carenity a lancé une enquête auprès de sa communauté. Objectif : découvrir comment les patients perçoivent la santé du futur et comprendre ce qu’ils attendent d’elle.
Aujourd’hui, il existe une quantité de solutions digitales et de services en ligne à la disposition des patients pourtant, même sur Carenity, 50% de nos répondants déclarent n’en avoir jamais entendu parler ! Moins de 10% connaissent une application mobile, un carnet de santé en ligne ou un objet connecté… Et à peine 24% se sert des groupes sur les réseaux sociaux comme Facebook. Enfin, même parmi ceux qui sont au fait de ces outils, 20% n’ont jamais utilisé une solution digitale.
Autant dire que la santé connectée, malgré ses nombreuses innovations, ne fait pas encore partie des acquis chez les patients. Ceux-ci peinent à s’informer sur Internet (15% via un moteur de recherche ou une communauté de patients en ligne comme Carenity, 13% via un réseau social ou un site spécialisé santé). Quant aux professionnels de santé, nos répondants estiment qu’ils ne les informent pas sur cette thématique. Celle-ci pourrait pourtant faciliter leur quotidien.
Santé connectée : réfractaires mais confiants
Parmi les « réfractaires du numérique », certains déclarent n’y avoir pas pensé tout simplement alors que d’autres ne savent pas quel outil existe pour leur maladie. 23% estiment qu’ils n’en ressentent pas le besoin et 36% avouent préférer une rencontre physique à une solution virtuelle.
Les patients sont pourtant bienveillants puisque 49% seraient « tout à fait » prêts à conseiller un outil digital. De même, nos répondants sont plutôt confiants puisque quand on leur demande quel serait le meilleur gage de fiabilité pour utiliser un service, un hypothétique label de l’Assurance maladie ne recueille que 17% des voix. 24% se contenteraient d’un commentaire positif sur Carenity et 23% d’une simple approbation d’un professionnel de santé.
Enfin, nos répondants ne sont pas contre faire entrer un objet connecté dans leur quotidien à condition que celui-ci soit remboursé par la Sécu (à 98%). Quant au contrôle à opérer par l’Assurance maladie, 42% se baseraient sur les résultats obtenus et 32% sur la fréquence d’utilisation. Certains membres soulignent pourtant que cela doit dépendre de l’usage de l’objet. Par exemple, une machine pour l’apnée du sommeil sera utilisée tous les soirs à l’inverse d’un objet en lien avec une poussée inflammatoire plus sporadique.
Télémédecine : le e-dossier et les ordonnances en priorité
Plusieurs services devraient logiquement apparaître dans le futur grâce à la télémédecine : la téléconsultation (plébiscitée par nos membres à 36%) soit une consultation médicale par visioconférence, la télésurveillance (21%) soit une surveillance via des données d’outils connectés ou encore le téléconseil (45%) soit la possibilité d’obtenir une information par téléphone ou mail.
Malheureusement les deux services les plus importants selon nos répondants ne font pas encore partie du vrai projet. En effet, 49% militent pour une « téléordonnance » qui permettrait de recevoir ses ordonnances par mail et 65% désirent avoir accès à leur dossier médical en ligne. Ils imaginent même un outil encore plus développé qui stockerait toutes leurs données de santé (effets secondaires, symptômes, résultats d’examens, imageries, bilan de consultations…). Un dossier très complet qui serait partagé immédiatement entre tous leurs médecins et auquel eux-mêmes auraient accès tout le temps.
Et nos répondants ne manquent pas de bonnes idées ! Certains rêvent d’une solution digitale qui mesurerait leur tension ou leur taux de cholestérol ou encore qui calculerait leur taux de glycémie en contenu. Un autre évoque un agenda qui rappellerait toutes les consultations à faire en fonction de l’âge, du sexe, de l’état de santé et des dernières analyses. Un autre encore souhaite un guide d’informations interactif et mis à jour sur toutes les pathologies. D’autres encore aimeraient une séance d’hypnose en ligne ou des exercices d’étirement à faire en fonction des maladies.
Quant aux nouveaux services de télémédecine, la moitié de nos répondants estime qu’ils devraient être réservés en priorité aux personnes isolées, aux personnes résidant dans un « désert médical » ou encore aux malades chroniques. Finalement, même si notre communauté n’est pas encore totalement « connectée », 47% se disent favorable à cette évolution des nouvelles technologies.
A noter qu’un de nos membre nous a confié espérer avoir dans un futur proche un robot pour faire le ménage et la cuisine. On l’attend aussi.