Sig-Zen (autrefois Schizo guéri) :
LES CAUSES DE MA SCHIZOPHRÉNIE ET LES RAISONS DE SA GUÉRISON
Bonjour cher(e)s ami(e)s,
Je reviens une nouvelle fois vers Carenity.
Mais par aider qui que ce soit en matière de soins pour la schizophrénie ni non plus pour aider qui que ce soit à sortir de son isolement éventuel ou certain de cette maladie. Car je me sens complètement incapable de cela et surtout dans le domaine de la schizophrénie même si j’ai à ce jour plus de cinquante ans d’expérience et ai beaucoup écrit à ce sujet.
Je ne souhaite sur ce forum de Carenity, au moins pour le moment et pour l’avenir je verrai bien à ce moment-là, que vous communiquez le contenu intégral de mon courriel que j’ai adressé hier au Comité de lecture des Presses Universitaires de France car je tente en effet ainsi ma chance auprès de celui-ci pour que mon dernier livre « Les causes de ma schizophrénie et les raisons de sa guérison » soit publié chez cet éditeur médical à mon avis l'un des meilleurs.
Cette copie de ce courriel aux PUF pour examen et publication éventuelle de mon dernier livre après validation de celui-ci par son comité de lecture actualise à cette occasion mon témoignage « La schizophrénie est une maladie d’amour » que j’avais fait autrefois sous le pseudonyme alors de Schizo guéri sur Carenity grâce à une animatrice de celui-ci.
Vos commentaires à toutes et tous à ce courriel aux PUF (voir en P.-S. celui-ci) seront bien sûr tous les bienvenus.
Je vous souhaite à toutes et à tous la santé et le bonheur.
Le 1er novembre 2020,
Sig ZEN
Sig ZEN au COMIITÉ DE LECTURE des PRESSES UNIVERSITAIRES DE FRANCE comitelecture@puf.com
Bonjour Mesdames, Messieurs,
Je tente ma chance pour que mon livre : « LES CAUSES DE MA SCHIZOPHRÉNIE ET LES RAISONS DE SA GUÉRISON » soit un jour ou l’autre effectivement publié aux PUF.
Vous trouverez en P. J. un extrait intitulé : « SOUVENIR DES SOINS SEXY DE MA SCHIZOPHRÉNIE GUÉRIE » (60 pages en PDF) et le texte intégral de mon livre (3 426 pages en PDF et environ 4 000 pages sur papier d’après Amazon autrefois) en leur état actuel à ce sujet. En P.-S. vous trouverez les documents que vous demandez d’après votre site Internet avant toute lecture de mon livre pour vous faire un jugement.
Tant que je n’ai pas signé un contrat de publication avec vous au sujet de ce livre en aucun cas je ne me considère alors tenu par une promesse de publication réelle aux PUF.
Je me tiens à votre disposition pour répondre à toutes vos questions éventuelles.
Une prompte réponse de votre part m’obligerait et d’avance je vous en remercie.
Croyez, Mesdames, Messieurs, à mes sentiment les meilleurs.
Sig ZEN
P.-S. :
SIG ZEN - LES CAUSES DE MA SCHIZOPHRÉNIE ET LES RAISONS DE SA GUÉRISON - POUR ADULTES
Le contenu médical de ce livre est offert à des fins strictement informatives. Demandez toujours l'avis de votre médecin ou d'un autre professionnel des soins de santé qualifié pour toute question portant sur un problème de santé. L'information médicale qui apparaît dans ce livre ne doit en aucun cas remplacer les conseils, le diagnostic ou le traitement médical de professionnels. Si vous croyez être malade ou si vous présentez une urgence médicale ou psychiatrique communiquez immédiatement avec un médecin ou un professionnel de la santé ou composez le numéro d'appel d'urgence (le 112 pour la communauté européenne). Consultez toujours le professionnel de la santé qualifié au sujet de vos questions de santé. Ne réfutez pas l'opinion d'un professionnel de la santé et ne tardez jamais à consulter à cause de ce que vous avez lu dans ce livre.
Tous droits de reproduction, d’adaptation et de traduction, intégrale ou partielle réservés pour tous pays. L’auteur est seul propriétaire des droits et responsable du contenu de ce livre.
« Votre parcours est unique ! » Pauline Mimosa
« Se sentir aimé et utile est le seul rempart connu contre cette maladie qui rompt la communication. » Estelle Saget
« Le psychiatre est un personnage inutile, viscéralement tordu dans ses raisonnements, condescendant, inhumain, menteur, psychopathe, coûtant un maximum à la société, distributeur automatique de psychotropes », etc. Michel Previdi
INTRODUCTION :
Ce livre est la reproduction de l’essentiel de mon journal intime.
J’ai commencé à écrire celui-ci en 1962 à l'âge de 17 ans dans un but de travail sur moi pour trouver avec ou sans mes psys aussi bien la vérité sur moi que la solution à tous mes problèmes psychologiques d’alors lesquels étaient apparus juste après ma puberté à l’âge de 13 ans.
Cela à la suite de ma lecture des livres de Pierre Daco dont entre autres : “Les prodigieuses victoires de la psychologie moderne” et “Les triomphes de la psychanalyse”. Mais aussi à la suite des conseils du Dr Driss Watson (futur professeur à la faculté de médecine et futur président de l’Association Psychanalytique Internationale) pour créer le scénario qu’il me fallait exposer pour mes séances de psychodrame que j’avais alors débutées avec celui-ci à l’Hôpital Sigmund Freud à Paris.
J’ai d’abord écrit à celui-ci et à ses assistant(e)s de 1962 à 1966 puis ai continué à écrire à d'autres de mes psys jusqu'à ce jour en 2020.
Ma méthode pour essayer de guérir de ma grande souffrance psychologique d’alors même si je ne croyais pas beaucoup en réalité à celle-ci ne fut alors que celle de Sigmund Freud pour soigner ses patients névrosés, à savoir : « laisser venir ses pensées librement et faire des associations d’idées ». La différence n’était-elle pas seulement que j’étais alors assis sur une chaise à écrire plutôt qu’à parler allongé sur un divan ?
J’ai eu de 1966 à 1997 six ans et demi d'arrêts de travail pour raison de santé psychiatrique et de 1966 à 2000 seize hospitalisations en psychiatrie. Les deux premières pour schizophrénie et la dernière pour dysthymie.
Dans mes écrits à mes psys je n’évoquais pas seulement alors bien sûr que mes troubles et leur traitement. Parmi les pensées qui me venaient alors il y avait aussi celles en rapport avec des problèmes tels que le viol, la prostitution, le féminisme, les abus en psychiatrie, la politique, ma vie de couple, etc. C’est pourquoi j’ai rapporté aussi celles-ci dans ce livre.
Je suis né en 1945 à Paris de parents immigrés de la classe ouvrière. Ceux-ci sont actuellement décédés. J’ai deux frères dont l’aîné est décédé et le cadet, lui, à ma connaissance actuelle, est toujours vivant. Ceux-ci n’ont jamais cru bon pour eux de prendre de mes nouvelles que ce soit auprès de moi-même ou que ce soit même auprès ma femme depuis mes deux premières hospitalisations en psychiatrie de 1966-1967. Mon niveau d'études n'est que secondaire : je ne suis titulaire que d'un CAP d'aide-comptable et que d'un Brevet d'enseignement commercial (option comptabilité). J'ai échoué au Brevet supérieur d'études commerciales (option comptabilité) sans doute parce que j'étais déjà alors trop perturbé psychologiquement. J’ai été réformé du service militaire en 1966. J’ai exercé comme employé de banque de 1965 à 1997. Je suis marié sans enfant depuis 1973 et ma belle-mère a vécu plus de trente ans sous notre toit jusqu'à son décès. Elle a toujours souffert de la paranoïa laquelle s’est atténuée lorsqu’elle a souffert aussi de la maladie d’Alzheimer.
Dans ce livre les noms propres sauf exceptions incontournables n’y sont toujours que des pseudonymes, le texte des citations et le nom de leur auteur n’y ont pas été vérifiés, et des dates et des lieux y ont été modifiés par moi. Cela afin de respecter la vie privée de toutes les gens. Je n’ai pas fait de table des matières pour ce livre car celle-ci aurait été d’un maniement difficile vu qu’elle ferait alors au moins 300 pages.
Je ne suis aussi bien qu’un écrivain amateur qu’un informaticien amateur. Cela signifie que ce livre comporte peut-être quelques fautes d’orthographe, bien sûr des fautes de style, et des défauts de mise en page.
Je certifie être sincère et de bonne foi au sujet du contenu de mon livre et en le publiant n’agir que pour le bien public en psychiatrie.
Non daté,
Sig ZEN
ANCIENNE QUATRIÈME DE COUVERTURE DU TEXTE INTÉGRAL LIVRE :
Cet ebook pour adultes est la reproduction de l’essentiel du journal intime d’un ancien schizophrène. Il avait commencé celui-ci en 1962 lors de l’apparition de ses premiers troubles psychiatriques et n’a terminé celui-ci qu’en 2020 lorsqu’il a jugé alors que sa structure mentale psychotique qu’il avait acquise aussi bien lors de sa petite enfance que lors de sa toute petite enfance n’existait plus depuis au moins douze ans. Dans celui-ci vous y découvrirez la description de ses obsessions (1962-1972), de ses délires, hallucinations, troubles de l’humeur lors de ses deux crises psychotiques (1966-1967), de ses traitements aussi bien psychologiques que médicamenteux pour tenter de réduire ceux-ci, des mauvais soins et des abus divers (sauf l’internement arbitraire) dont il a été victime de la part de certains de ses psys, et aussi bien les causes de sa schizophrénie que les raisons de sa guérison de celle-ci. Depuis fin 2007 il ne prenait plus que 5 mg ou que 2 ½ mg par jour de son antipsychotique (aripiprazole) alors que la dose recommandée en ambulatoire pour sa maladie par le laboratoire qui le fabrique est de 15 mg par jour. Depuis janvier 2020 il ne prend plus celui-ci et ni sa femme ni sa psy ni lui-même, etc. ne voient jamais venir alors, malgré tout, le moindre indice de rechute dans sa maladie d’autrefois. Pour lui : “Si la schizophrénie était génétique tous les jumeaux monozygotes devraient la présenter obligatoirement et de plus certainement en même temps. Or, l’un verra apparaître la schizophrénie, alors que l’autre son risque ne sera que de 50 %. Et lorsqu’ils sont élevés séparément, dans des familles différentes, l’un verra apparaître la schizophrénie, alors que l’autre, son risque ne sera que de 5 %. Pour justifier toujours la génétique on dit que si un enfant présente la schizophrénie son frère ou sa sœur la présentera dans 10 % des cas. Mais est-ce alors vraiment la faute aux gènes ? N’est-ce pas plutôt alors la faute de l’éducation ? Les frères et les sœurs n’ont-ils pas en commun autre chose que les gènes à savoir justement la façon dont ils ont été élevés par leur père et mère ? La disparition de ma structure mentale psychotique en rapport avec ma schizophrénie paranoïde (1966-2007) m’a fait aboutir à la conclusion suivante : la schizophrénie est une maladie d'amour mal vécu dans la petite enfance (forclusion du Sein-de-la-Mère et forclusion du Nom-du-Père) que seule à l'âge adulte une relation humaine telle que la sexualité ou l'amour peut éventuellement guérir. Les schizophrènes ont un blocage psychologique vis-à-vis du sexe opposé (plus grave chez les garçons que chez les filles) pour lequel la psychothérapie n'est pratiquement toujours en réalité qu'un échec total jusqu'à même leur mort. Depuis Jacques Lacan en 1955-1957 aucune recherche n’a jamais été faite par aucun psy sur le parcours familial de ceux-ci.” Sig Zen est né en 1945 à Paris de parents de la classe ouvrière. Il a été réformé du service militaire en 1966. Il a travaillé comme employé de banque de 1965 à 1997 alors qu’il était aussi bien abruti que suicidaire du fait des effets iatrogènes de ses neuroleptiques (dont notamment l’halopéridol 2‰ à la dose de 100 gouttes par jour) ou de ses antipsychotiques (dont notamment l’olanzapine à la dose d’un comprimé de 10 mg par jour). Il a eu six ans et demi d’arrêts de travail et seize hospitalisations pour raison de santé psychiatrique. Les deux premières pour schizophrénie en 1966-1967 et la dernière pour dysthymie en 2000. Sa femme et lui vivent actuellement une retraite bienheureuse. Photo de la première de couverture : seulement 3 % des schizophrènes sont mariés et 1 % seulement d’entre eux ont des enfants. Photo de la quatrième de couverture : l'auteur tel qu'il se voit actuellement interdit d'expression sur Internet par certains médias psy et féministes au sujet du contenu de son livre. Celui-ci s'adresse à toutes les gens concernés par la schizophrénie et par sa guérison.
AUTRE ANCIENNE QUATRIÈME DE COUVERTURE DU TEXTE INTÉGRAL DU LIVRE :
Ce livre est la reproduction d’un journal intime (1962-2020). Son auteur est un ancien schizophrène (1966-2007). Dans celui-ci les sujets évoqués par lui y sont entre autres les suivants : la santé mentale, le viol, la prostitution, les abus en psychiatrie, la politique, etc. Il est né à Paris en 1945. Il a été réformé du service militaire en 1966. Il a eu seize hospitalisations en psychiatrie (les deux premières pour schizophrénie en 1966-1967 et la dernière pour dysthymie en 2000). Il a été victime d’abus aussi bien en psychiatrie sauf l’internement arbitraire que sur Internet sauf la dénonciation mensongère à la Police nationale. Sur celui-ci il déclare : “La schizophrénie n’a rien à voir ou n’a que peu à voir avec la génétique. Les médicaments soignent celle-ci mais ne la guérissent pas. Au mieux ceux-ci suppriment le malheur jamais ils ne font le bonheur. La schizophrénie est une maladie d’amour mal vécu dans la petite enfance (forclusion du Sein-de-la-Mère et forclusion du Nom-du-Père) que seule, à l’âge adulte, une relation humaine telle que la sexualité ou l’amour peut éventuellement guérir.” 3 % seulement des schizophrènes sont mariés. La sexualité des schizophrènes c’est quoi ? le plaisir solitaire ! Ceux-ci ont un gros blocage psychologique (plus grave chez les garçons que chez les filles) vis-à-vis du sexe opposé. Autrefois quand l’achat d’actes sexuels aux prostituées était encore légal ceux-ci (s’ils avaient les moyens pour cela) pouvaient trouver un équilibre durable grâce à leurs rapports sexuels avec celles-ci. Ce fut justement le cas de l’auteur. Et quand il fut enfin débloqué psychologiquement lui aussi à son tour par celles-ci (1965-1972) cela lui permit alors enfin de rencontrer l’amour et la femme de sa vie (1973 à ce jour). Actuellement du fait de la loi interdisant l’achat de tout acte sexuel la grande majorité des schizophrènes garçons restera bel et bien puceau jusqu’à même leur mort. Un schizophrène sur deux fait au moins une fois dans sa vie une tentative de suicide et un sur six en meurt toujours actuellement. Ce sont ses rapports sexuels qu’il a eus avec les jeunes prostituées sexy de luxe qui d’une part l’auraient guéri de sa névrose obsessionnelle grave à forme essentiellement sexuelle d’autre part auraient commencé à le guérir de sa schizophrénie paranoïde. Ce sont ses écrits tous les jours à son ancienne psychiatre psychanalyste et à son ancienne assistante sociale de 2002 à 2012 et l’amour véritable de sa femme depuis 1973 qui ensuite l’auraient alors complètement et définitivement guéri de sa schizophrénie depuis au moins 2007. Après leurs crises les schizophrènes ne rencontrent toujours pas l'amour alors que pourtant ne vont-ils pas mieux malgré tout ? Le Dr … répond à ce sujet ceci : “Les neuroleptiques gomment tout ce qui fait le bonheur et en particulier la vie amoureuse !” Les psys qui déclarent que nombre de schizophrènes peuvent avoir de nos jours à la suite de toutes sortes de progrès dont ceux-ci ne cesseraient alors de profiter une vie quasi normale ne sont en réalité que des menteurs et des hypocrites coupés de leurs malades. Être sans emploi (15 % seulement d’entre eux travaillent), sans vie de couple, abruti, suicidaire du fait des effets iatrogènes de ses médicaments, sous le toit de ses parents, etc. c’est ça pour ces psys avoir une vie quasi normale ? Aux Pays-Bas deux rapports sexuels par mois avec un(e) prostitué(e) formé(e) médicalement pour cela pendant un an et dit(e) “assistant(e) sexuel(le)” sont remboursés par la Sécurité sociale depuis 1980. Photo de la première de couverture : Chantal, le meilleur médicament de l’auteur depuis 1973. Quatrième de couverture : celui-ci tel qu’il se voit actuellement interdit d’expression sur Internet par certains médias psy et féministes au sujet du contenu de ses livres. Ceux-ci s’adressent à toutes les gens concernés par la schizophrénie et par sa guérison.
ANCIENNE QUATRIÈME DE COUVETURE DE L’EXTRAIT DU LIVRE :
L’auteur décrit dans cet opuscule pour adultes aussi bien les troubles de sa névrose obsessionnelle grave à forme essentiellement sexuelle diagnostiquée par un expert près les tribunaux pour lui à l’âge de 17 ans que les troubles de sa schizophrénie paranoïde diagnostiquée, elle, par un chef de service en psychiatrie pour lui à l’âge de 21 ans. Pour celui-ci ce sont les jeunes prostituées sexy de luxe auxquelles il a eu régulièrement affaire de 1965 à 1972 qui l’ont alors d’une part effectivement guéri de sa névrose (1962-1972) et d’autre part ont commencé effectivement à le guérir de sa psychose (1966-2007). Quant à la psychothérapie qu’il avait suivie pour son blocage psychologique vis-à-vis du sexe opposé de 1962 à 1966 avec un futur professeur à la Faculté de médecine et futur président de l’Association Psychanalytique Internationale celle-ci ne s’était en réalité terminée que par un véritable fiasco médical. Il n’a travaillé comme employé de banque que grâce à des aménagements dans son travail tels que prévus alors par la convention collective de son employeur pour cela (1965-1997). Il était alors aussi bien abruti que suicidaire du fait des effets iatrogènes de ses neuroleptiques (dont notamment l’halopéridol 2‰ à la dose de 100 gouttes par jour) ou de ses antipsychotiques (dont notamment l’olanzapine à la dose d’un comprimé de 10 mg par jour). Ce sont d’une part ses écrits tous les jours à son ancienne psychiatre psychanalyste et à son ancienne assistante sociale de 2002 à 2012 et d’autre part l’amour véritable de sa femme depuis 1973 qui à son avis lui ont permis de parfaire sa guérison déjà commencée auparavant par les jeunes prostituées sexy de luxe. À ce sujet il considère que sa structure mentale psychotique a enfin complètement et définitivement disparu depuis actuellement au moins douze ans. Sig Zen est né en 1945 à Paris de parents de la classe ouvrière. Il a été réformé du service militaire en 1966. Il a eu six ans et demi d’arrêts de travail et seize hospitalisations pour raison de santé psychiatrique. Les deux premières pour schizophrénie en 1966-1967 et la dernière pour dysthymie en 2000. Sa femme et lui vivent actuellement une retraite bienheureuse. Photo de la première de couverture : la jeune prostituée sexy de luxe (27 ans) à laquelle l’auteur (19 ans) a succombé à la tentation d’avoir un rapport sexuel tarifé avec celle-ci avant de succomber à la tentation d’avoir un rapport sexuel tarifé aussi ensuite avec bien d’autres de ses consœurs toutes aussi jeunes et sexy elles aussi. Photo de la quatrième de couverture : l’auteur tel qu’il se voit actuellement interdit d’expression sur Internet par certains médias psy et féministes au sujet du contenu de son opuscule. Celui-ci est un extrait rédigé en 2002 de son livre actuel : “Guérir de la schizophrénie”. Ceux-ci s’adressent à toutes les gens concernés par la schizophrénie et par sa guérison.
EXPLICATIONS DES PHOTOS DÉPOSÉES SUR MES PAGES AUTEUR D’AMAZON (TEXTE IMPOSSIBLE À DÉPOSER DANS LA FENÊTRE D’AMAZON CAR TROP LONG)
Thème principal de mon livre "Guérir de la schizophrénie" : "On ne peut guérir de la schizophrénie sans sexe ni amour véritable". Thèmes secondaires de celui-ci : le viol, la prostitution, les abus en psychiatrie, la politique, etc.
Thème principal de mon opuscule "Souvenir des soins sexy de ma schizophrénie guérie" : description de ma névrose de jeune adolescent et de ma psychose de jeune adulte et comment j'ai fait pour me débloquer psychologiquement vis-à-vis du sexe opposé là où auparavant la psychiatrie n'avait toujours été à ce sujet pour moi qu'un véritable fiasco médical.
Photo ci-dessus : Chantal, mon meilleur médicament depuis 1973.
Photos ci-contre de gauche à droite :
Première photo : jeune femme sexy thème principal de ma névrose obsessionnelle grave (1962-1972) ayant précédé pendant quatre ans ma schizophrénie paranoïde (1966-2007).
Deuxième photo : souvenir des médicaments que j’ai ingurgités à des doses faramineuses de 1964 (environ) à 2004 (environ). Ceux-ci soignent la schizophrénie mais ne la guérissent pas. Aux mieux ceux-ci suppriment le malheur jamais ils ne font le bonheur. Pour se sevrer de ceux-ci il faut d’abord se sevrer du problème psychologique en rapport avec la prise de ceux-ci. Celui-ci dans la schizophrénie est à mon avis aussi bien ce que Jacques Lacan a appelé « la forclusion du Nom-du-Père » que ce que j’ai appelé pour paraphraser celui-ci « la forclusion du Sein-de-la-Mère ». Quant à la génétique à elle seule celle-ci n’explique pas la schizophrénie voire même soit n’explique pas celle-ci ou soit n’explique que peu celle-ci ». À ce sujet l’une de mes ex-psys m’avait à juste titre à mon avis autrefois fait remarquer ceci : « Si la schizophrénie était génétique on ne pourrait pas la soigner ! » La meilleure explication actuelle de celle-ci est toujours à mon avis toujours celle du site Psychiatrie infirmière à ses deux articles suivants : « La forclusion du Nom-du-Père » et « Le stade du miroir ».
Troisième photo : moi-même autrefois à mon travail. Je m'effondrais tous les jours sur mon bureau devant tous mes collègues. Soit de moi-même soit à la demande de mon chef il fallait alors que j’aille m’allonger à l’infirmerie de mon employeur. Je m’y endormais alors aussitôt pour en général la matinée entière. Mon patron ne m’a alors gardé que par contrainte. En effet avant ma première crise psychotique il m’avait alors titularisé dans mon emploi après un stage d’un an de 1965 à 1966 dans son entreprise. Or s’il m’avait réformé pour raison de santé conformément à la convention collective, il aurait dû, d’une part me reconstituer ma retraite privée (à l’époque) et me la verser immédiatement d’autre part me verser une pension d’invalidité immédiatement aussi égale environ (après passage en commission sociale), elle, à la moitié de mon salaire. Comme il fallait payer tout de suite il préférait toujours reporter à l'échéance à plus tard. Ces crises de narcolepsie n’ont été constatées médicalement par les neurologues qu’en 2004 à la suite du test des latences multiples. Il s’agit de cinq électroencéphalogrammes de 20 minutes chacun faits au cours de la journée à un intervalle d’une heure chacun. Ces crises de narcolepsie ont alors été attribuées par le Pr ... de l’hôpital ... à l’olanzapine (antipsychotique que je prenais à la dose d’un comprimé de 10 mg par jour à cette époque). J’ai toujours considéré que ce médicament n’était en réalité pour la qualité de vie des schizophrènes qu’une véritable escroquerie mondiale. Je suis le seul patient au monde à avoir passé ce test au sujet de ce médicament et ni le laboratoire qui le fabrique et ni les médecins qui ont validé son homologation pour sa mise sur le marché en France n’ont en réalité jamais fait passer celui-ci à qui que ce soit.
Quatrième photo : souvenir des jeunes prostituées de luxe auxquelles j’ai eu affaire régulièrement pour leurs services sexuels voire d’amour de 1965 à 1972. Celles-ci en me débloquant psychologiquement vis-à-vis du sexe opposé m’ont alors d’une part effectivement guéri de ma névrose obsessionnelle grave à forme essentiellement sexuelle (1962-1972) d’autre part ont effectivement commencé à me guérir de ma schizophrénie paranoïde (1966-2007). Ce résultat thérapeutique inespéré pour moi m’a permis ensuite de rencontrer enfin en 1973 l’amour et la femme de ma vie. Celle-ci ensuite grâce à son amour véritable a alors parfait ma guérison déjà commencée auparavant par les jeunes prostituées sexy de luxe. Deux autres facteurs ont aussi contribué à ma guérison : le sevrage de mes médicaments grâce aux conseils du Groupe Informations Asiles et mes courriers adressés tous les jours aussi bien à mon ancienne psychiatre psychanalyste qu'à mon ancienne assistante sociale (2002-2012).
Cinquième photo : ma femme et moi avons battu le record du monde des mariages non consommés (le nôtre dans la fidélité réciproque) lequel (je l'ai appris par la télévision) n'était autrefois alors que de 24 ans seulement. Le nôtre est à ce jour de 47 ans en 2020.
Je ne crois pas ou plus au sujet de cette anomalie que celle-ci serait dans mon ménage comme le prétend le magazine Fémina en rapport aussi bien avec une immaturité sexuelle et des troubles psychiatriques de ma part mais que celle-ci serait en réalité en rapport avec une asexualité de ma femme telle que le journal le Figaro décrit celle-ci.
Sixième photo : lors de mon parcours psychiatrique j’ai souvent été victime d’abus en psychiatrie de toutes sortes sauf l’internement arbitraire. Dans mon livre « Guérir de la schizophrénie » j’évoque bien sûr ceux-ci mais pas tous en réalité.
Septième photo : remerciements à toutes celles et tous ceux qui ont contribué à la guérison de ma névrose obsessionnelle grave à forme essentiellement sexuelle (1962-1972) et à la guérison de ma schizophrénie paranoïde (1966-2007).
Le 28 octobre 2020,
Sig ZEN
BRÈVE AUTOBIOGRAPHIE DE SIG ZEN :
1945 : naissance de […] alias à l’âge adulte “Plume de schizo” ou “Schizo guéri” un jour après Hiroshima et deux jours avant Nagasaki.
Maternelle : bons souvenirs de vacances de l'époque, mais déjà ma mère me présente au généraliste comme turbulent et nerveux. Celui-ci me prescrivit alors de l'huile de foie de morue et un tranquillisant (dont on se servait surtout alors contre les crises d'épilepsie) ; à la maternelle la maîtresse m'attachait à ma chaise avec une ficelle et à la maison mon père m'attachait au pied de mon lit avec une ficelle aussi. Je me rappelle aussi que lorsque la maîtresse se penchait pour s'occuper d'un élève, moi qui étais alors derrière elle, je cherchais à savoir ce qu'il pouvait bien y avoir sous sa robe. Mais en réalité je n'ai jamais pu voir grand-chose. Jusqu'à la puberté je ne me souviens pas avoir été un enfant qui se masturbait comme c'est pourtant le cas de nombreux petits garçons voire petites filles. Du temps de Freud, d'après mon ancienne psychiatre psychanalyste, paraît-il que les parents disaient aux petits garçons : “Je vais te couper ton zizi !” et aux petites filles : “Je vais t'attacher tes mains dans ton dos !” Plus tard, à l'âge de 8 ans, je tombai amoureux de l'institutrice. Ce furent mes premières insomnies qui ne furent quand même que passagères.
Grande école : élève très moyen voire assez mauvais. En 2001 mon quotient intellectuel a été évalué à l'Hôpital Saint-Augustin* à la consultation mémoire à 119. Puis, après l'arrêt en 2005 de tous les tranquillisants et de tous les somnifères (pris depuis 1962), après la diminution considérable aussi en 2005 de ma dose d'antipsychotique (pris depuis 1965), et après enfin l'arrêt de mon antidépresseur (pris depuis 1981) – le tout ingurgité à des doses faramineuses –, mon quotient intellectuel est alors passé en 2009, à la même consultation mémoire de ce même hôpital psy, à supérieur à 130. Un “niveau intellectuel supérieur” et des “troubles bénins de la mémoire et de l'attention” m'ont aussi été diagnostiqués. J'avais passé aussi une IRM mais elle n'évoqua pas la maladie d'Alzheimer. Je n'ai pas non plus les ventricules du cerveau “anormaux” comme on le raconte souvent pour les schizophrènes. J'avais aussi demandé une recherche d'anomalies génétiques, mais on ne m'a même pas répondu à mon courriel.
Adolescence : névrose obsessionnelle grave à forme essentiellement sexuelle ; troubles du caractère et du comportement de nature névrotique ; indices de paranoïa ; gros blocage sexuel et sentimental ; équilibre mental très précaire ; etc.
Adolescence (suite) : après un vol de livres sur la méthode Ogino et des températures le juge (une femme) décida pour moi une expertise psychiatrique. Elle me recommanda ensuite à un neuropsychiatre psychanalyste à l'hôpital psy pour un traitement psychothérapique. Au bout de quatre ans pendant lesquels je n'ai vu que des aggravations de mon état de santé psy, le psy a alors fait une faute lourde médicale en me donnant un conseil pour séduire une jeune femme dont j'étais alors follement amoureux (une collègue de bureau de six ans mon aînée). Celle-ci me rappelait ma mère qui m'avait manqué à ma naissance. Le psy me rappelait le père qui m'avait manqué au moment du complexe d'Œdipe. C'est l'intervention de celui-ci en position symbolique, à mon avis, qui a déclenché à l'âge de 21 ans mes deux crises psychotiques successives (avec un intervalle de 15 jours et alors que j'étais depuis un an sous doses moyennes de tranquillisants, somnifères, neuroleptiques, etc.). Le sein de ma mère m'est revenu de l'extérieur dans la réalité comme persécuteur (c'est ce que j'appelle la forclusion du Sein-de-la-Mère). Le Nom-du-Père m'est revenu de l'extérieur dans la réalité comme persécuteur (Lacan) aussi. Pour résumer ma petite enfance de 0 à 6 ans : je n'ai toujours que rejeté, vomi mes deux parents qui n'ont pas pu s'intégrer dans mon inconscient et celui-ci n'a pas pu alors se structurer normalement. Ma mère et moi étions très fusionnels et elle jouissait du phallus que j'étais devenu pour elle. Mon père n'avait pas sa place entre nous et je n'ai pas pu le prendre comme modèle pour pouvoir, au début de l'âge adulte, savoir séduire les jeunes filles ou femmes. Il en est résulté un gros blocage sexuel et sentimental, des obsessions sexuelles graves, etc. Quand j'ai voulu sortir de tous mes problèmes et difficultés psy grâce notamment à l'aide de mon traitement psychothérapique, c'est alors que mon psy a fait, à mon avis, une faute lourde médicale. Il ne l'a bien sûr pas fait exprès et je ne lui en ai jamais voulu. Mon histoire ressemble à celle de “L'homme aux loups” de Freud pour lequel il a dit : “Il avait rejeté la castration.” !
1965 : adhésion au PCF qui me demanda de ne pas faire carrière et de ne pas passer les concours. Aussitôt je lui répondis : “Ça ne pose aucun problème !” Pendant de nombreuses années j'ai été secrétaire de cellule PCF au Crédit Expert de Paris*. J'ai quitté le PCF en 2004 pour sympathiser avec Lutte Ouvrière auquel j'ai demandé mon adhésion en 2012. Mais je m'en suis rétracté pour des raisons humaines.
Service militaire : réformé grâce à deux certificats médicaux psy.
1965-1972 : relations sexuelles et sentimentales très satisfaisantes avec de très jeunes prostituées de luxe, très gentilles, très mignonnes, très sexy et très sympathiques (au rythme d'un rapport sexuel par semaine au début et de seulement un tous les trois mois à la fin), toujours du genre “démonstratrices rayon parfum des Galeries Lafayette”. Résultat : guérison de ma névrose obsessionnelle grave à forme essentiellement et début de la guérison de ma schizophrénie paranoïde.
1966 : deux hospitalisations psy en urgence de trois mois en tout pour schizophrénie paranoïde ; en tout j'ai eu dans ma vie 6 ans ½ d'arrêts de travail et 16 hospitalisations psy, mais seules les deux premières ont été gravissimes ; 2000 : dernière hospitalisation psy en clinique privée pour gens riches (en réalité c'est ma mutuelle qui a alors payé tous les dépassements au tarif de la Sécurité dite sociale) ; revenu à mon travail, soit j'allai m'allonger à l'infirmerie où je m'endormais aussitôt pour au moins une demi-journée, soit je m'effondrai sur mon bureau pris par des crises de narcolepsie, le tout dû aux médicaments psy. Mon employeur ne m'a gardé malgré tout que parce que conformément à la convention collective si j'étais réformé pour raison de santé il devait, d'une part me reconstituer ma retraite (privée à l'époque) et me la verser immédiatement, d'autre part me verser aussi une pension d'invalidité égale à la moitié de mon salaire ; et comme il devait me payer le tout aussitôt après mon licenciement il reportait toujours à l'échéance à plus tard.
1973 : rencontre avec Chantal*, l'amour et la femme de ma vie ; vie sentimentale parfaite jusqu'à toujours actuellement : 2019. Ma belle-mère a vécu plus de 30 ans sous notre toit ; elle est décédée en 2006 à la suite d‘un AVC. Ma femme a beaucoup contribué à l'amélioration de mon état de santé psy ; mais mes courriers à mes psys m'ont beaucoup aidé aussi à vaincre ma schizophrénie.
Décès de mes parents : mon père en 2000, ma mère en 2006. J'ai souvent expliqué qu'au cours de ma petite enfance j'avais sans doute rejeté ceux-ci. En réalité, depuis un certain temps je réalise qu'ils se sont bel et bien réintégrés en moi et que cela contribue ainsi à mon bon équilibre psy. J'ai deux frères toujours vivants, l'un de 10 ans mon aîné, l'autre de 2 ans ½ mon cadet. Tous deux ne m'adressent guère la parole depuis des dizaines d'années.
Retraite : ma femme se déclare très heureuse et moi je me déclare parfaitement heureux.
La sexualité avec les jeunes prostituées sexy de luxe c'est ce qui m'a guéri effectivement de ma névrose obsessionnelle grave à forme essentiellement sexuelle et c’est ce qui a commencé à me guérir effectivement de ma schizophrénie paranoïde. La liquidation de mon transfert épistolaire qui s'était créé à l'occasion de mes soins psy avec mon ancienne psychiatre psychanalyste et avec mon ancienne assistante sociale sur celles-ci (2002-2012), c'est ce qui m'a permis de liquider complètement et définitivement les derniers résidus de ma schizophrénie. Mais sans l'amour véritable de Chantal depuis 1973 jamais je n'aurais pu guérir non plus complètement et définitivement de ma schizophrénie.
Non daté,
Sig ZEN
*pseudonyme
CONCLUSION :
Le diagnostic de schizophrénie fait pour moi par un chef de service en psychiatrie en 1966-1967 aussi bien que le diagnostic de disparition de ma structure mentale psychotique en rapport avec celle-ci fait par moi-même depuis au moins 2007 sont incontestables.
Si toutefois des psys ne seraient pas d’accord avec cet avis de moi-même au prétexte qu’ils en sauraient plus que moi à ce sujet je suis prêt alors à en discuter avec eux aussi bien sur ce site qu’ailleurs.
Ce que je remarque en faisant des recherches sur Internet au sujet des causes de la schizophrénie c’est que pratiquement (presque) tous les psys actuels expliquent celle-ci essentiellement par une vulnérabilité qui serait toujours en rapport obligatoirement avec la génétique.
Quant à la guérison de la schizophrénie ces mêmes psys prétendent que celle-ci est toujours chronique et que les malades de celle-ci doivent obligatoirement ingurgiter des médicaments jusqu’à même leur mort.
Ce que racontent tous ces psys sur les causes de la schizophrénie ne corrobore pas mes découvertes à ce sujet depuis plus de 50 ans à la suite de mon travail sur moi-même. En revanche celles-ci corroborent celles de Jacques Lacan sur ses malades de Sainte-Anne en 1955-1957.
Pour moi du point de vue psychiatrique je vais bien que je prenne des médicaments ou pas ce qui signifie toujours pour moi que je suis guéri de ma schizophrénie que je prenne des médicaments ou pas.
Je remercie toutes celles et tous qui ont contribué à la guérison de ma névrose obsessionnelle grave à forme essentiellement sexuelle (1962-1972) et à la guérison de ma schizophrénie paranoïde (1966-2007).
Je me déclare heureux dans ce monde de « merde » et de « fous ».
Non daté,
Sig ZEN
NOUVELLE QUATRIÈME DE COUVERTURE DU TEXTE INTÉGRAL DU LIVRE : LES CAUSES DE MA SCHIZOPHRÉNIE ET LES RAISONS DE SA GUÉRISON
Ce livre est la reproduction pour l’essentiel du journal intime d’un ancien schizophrène. Pour lui la schizophrénie est une maladie d'amour mal vécu dans la petite enfance (forclusion du Sein-de-la-Mère et forclusion du Nom-du-Père) que seule à l'âge adulte une relation humaine telle que la sexualité ou l'amour peut éventuellement guérir. Ce sont les prestations des jeunes prostituées sexy de luxe (1965-1972), ses écrits tous les jours à son ancienne psychiatre psychanalyste et à son ancienne assistante sociale (2002-2012), l’amour véritable de sa femme (depuis 1973) et certainement pas les médicaments ni la compassion des psys qui selon Sig Zen l’ont depuis au moins depuis 2007 guéri de sa maladie. Sa femme et lui vivent actuellement une retraite bienheureuse.