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Prostatite
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Louise
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Louise
Dernière activité le 11/06/2021 à 09:00
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@miguel1975 @hayder @tawan77 @Josephon @ericlapro @pianolover @monk76 @prosta_tite_46789 @momomolol @jojoparid @Micha94* @glouglou55 @Francis02 bonjour à tous, n'hésitez pas à donner vos conseisl et apporter du soutien à @David60 !
Quant aux examens, @etiennef a dit dans une autre discussion : "Pour info, pour savoir si oui ou non la prostate est inflammatoire et si oui ou non il y a un germe, il faut pratiquer un test de Stammey, plus ou moins analyse d urine après massage prostatique. Pratique a Paris a l institut fournier. C est le meilleur moyen d avoir une reponse fiable. L ECBU ne permet pas de conclure car on peut avoir une prostatite chronique sansque les urines ne montrent inflammation ou germe."
@David60 je vous invite parallèlement à lire cette discussion créée il y a quelque temps, sur le diagnostic : https://membre.carenity.comhttps://www.carenity.com/forum/autres-sujets/vivre-avec-une-prostatite/votre-diagnostic-28637
Bons échanges à tous
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Louise de l'équipe Carenity
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@David60
La réponse ci-dessus est correcte => Test de Meares Stamey.
Il faut une recherche par PCR, technique de laboratoire différente de la culture.
Pour moi, cette dernière technique a détecté un gène plasmidique du gonocoque.
En gros je n'ai pas la bactérie constituée, mais cette infection aurait pu passer dans mon corps à un moment de ma vie.
Il existe aussi une 3è technique plus récente appelée 16s rrna sequencing qui est surtout utilisée aux USA.
Jamais testée.
Une hypothèse est que les germes sont cachés dans des biofilms bactériens, ce qui les rend indétectables.
Le Dr Saada a publié un article intéressant à ce sujet.
La plupart des urologues sont démunis face à cette maladie.
Nous patients, nous retrouvons ainsi livrés à nous même avec une condition handicapante.
Je sais de quoi je parle.
Bon courage
David60
David60
Dernière activité le 03/02/2019 à 14:40
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Ami
Merci de ta réponse, je revois mon urologue à la fin du mois et je lui en parlerai.
David60
David60
Dernière activité le 03/02/2019 à 14:40
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Ami
Comme t’as tu réussi à t’en débarrasser ? Traitement?
Utilisateur désinscrit
JAMAIS réussi à m'en débarrasser.
C'est là tout le problème.
Tu traînes ça depuis combien de temps ?
David60
David60
Dernière activité le 03/02/2019 à 14:40
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Ami
Depuis un an, je dois prendre RdV pour le nerf pudendale mais j’ai des doutes...mon uro m’as mis sous alphablocants et j’ai l’impression que la miction est plus fluide mais de grosses brûlures après pendant 1h, je me demande si je n’ai pas une sténose de l’urètre...
Utilisateur désinscrit
Je ne suis pas médecin mais une sténose peut se voir par cystoscopie.
Mais l'examen n'est pas agréable …
Dans mon cas aussi le nerf pudental avait été suggéré un temps.
Mes parents m'ont même amené au CHU de Nantes en 2015.
Puis électromyogramme négatif à l'hôpital Tenon, donc NP exclus.
Sans indiscrétion, es-tu sûr que ce n'est pas une MST / IST ?
Aurais-tu eu un rapport avant tes premiers symptômes ?
Souvent dans la prostatite l'origine est soit une IST, soit un problème urinaire.
Tiens moi au courant
David60
David60
Dernière activité le 03/02/2019 à 14:40
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Ami
Salut,
A l’origine j’ai eu ureaplasma-urealyticum mais d’après une seconde spermaculture il avait disparu. Néanmoins toujours des brûlures à la miction... mon uro m’envoie à Tenon sur Paris mais j’ai des doute sur le nerf prudendal et je pense que le germe est encore présent...je vais demander à mon médecin traitant une ordonnance pour un PCR pour être certain...
Utilisateur désinscrit
Salut,
Tu es hélas loin d'être le 1er dans ce cas.
Parfois le germe détecté disparaît ensuite… mais les symptômes persistent !
Une histoire de fous !!
Mon opinion c'est que le traitement antibiotiques n'a pas éradiqué 100% des germes.
Certains germes ont pu former des biofilms pour se protéger.
Le(s) germe(s) peut(vent) ensuite ré-infecter le tract urinaire.
Si c'est le cas, c'est un vrai problème de santé publique.
Car aujourd'hui aucun médicament ne peut détruire un biofilm mature.
Même si des recherches sont en cours dans le monde.
Tiens moi au courant
Pitttt
Pitttt
Dernière activité le 08/07/2024 à 19:16
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Bonjour de pitttt
je tiens à vous encourager dans cette terrible maladie qu'est la prostatite et dont je souffre maintenant depuis 31 ans avec des hauts et des bas ,car quand elle devient chronique il faut se faire à l'idée que l'on doit vivre avec , mais si je participe au forum ,c'est surtout pour vous encourager à suivre des médecines parallèles,car après de multiples traitements antibiotiques,vous allez y laisser votre peau ,essayez de voir avec l'homéopathie,faites attention à votre alimentation et une alternative qui a bien marché pour moi et que je pratique tous les ans est de faire une cure à la preste station thermale desPyrénées orientales orientation appareil urinaire pour une durée de 3 semaines.
vous me direz 3 semaines ,c'est long mais le bénéfice en vaut la peine ,croyez moi,cela m'a permis de ne plus être sous antibiotherapie au bout de la 2 éme année en sachant que la 1 ère, je n'ai été que sous oflocet qu'une fois pour une durée de 15 jours et depuis ça va ,toutefois il faut rester vigilant ,bien boire et éviter surtout le blanc ,la bière ,diminuer aussi les excitants comme le café et essayer d'avoir une vie saine ,et vous verrez que vos douleurs s'atténueront grandement .
surtout gardez le moral ,et bon courage Pitttt
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Philippelo
Bonjour,
Je voulais à mon tour témoigner d’une guérison.
J’ai souffert d’une prostatite chronique pendant environ 10 ans, arrivée comme ça, sans événement particulier. 10 ans d’envies impérieuses, de gouttes retardataires, de stress, de déprime mais aussi de recherche… et puis ça va mieux.
J’ai lu et tenté comme tout le monde plein de recettes et méthodes … et je voulais faire part de celle qui a marché pour moi.
J’ai raisonné par pourcentage en me disant : qu'est-ce qui joue, en % sur la pénibilité de cette maladie ?
J’ai d’abord essayé d’en saisir les déclencheurs. J’avais lu que le stress, l’alcool, les exitants (caféine, théine), l’alimentation épicée étaient des amplificateurs de symptôme, sans vraiment y croire …
Avec le recul, je vois les choses comme ça (et c’est une perception totalement personnelle)
Stress (40%)
Oui, je l'ai longtemps nié mais l’aspect psychologique est très fort : il faut agir, d’une manière ou d’une autre sur le stress. La maladie se nourrit elle-même du stress qu’elle génère (t’es sûr que t’as pas envie de pisser, là ? sûr ?) … D’ailleurs rien que d’en parler … (!)
J’ai réalisé que je n’étais pas forcément conscient du stress que je subissais (ou me créais) : environnement professionnel, familial, fatigue, et maladie elle-même etc … Bizarrement ça diminuait beaucoup pendant les vacances.
J’ai appris, avec le temps, à lâcher prise d’une manière générale et les symptômes ont bien diminué … Un détail : je suis passé du caleçon au boxer, ça évite le stress de la dernière goutte ... j'ai mes petits rituels, je me nettoie soigneusement le gland avant de dormir notamment (et ça marche bien !)
M'écoutant sur cette maladie, ma femme lui a donné un nom ridicule qui l’a un peu remise à sa place (la prostatite, hein) : “la pissotte”.
Alcool (20%)
oui, des effets, sans aucun doute. Les lendemains de fête les symptômes étaient/sont plus forts, certains alcools particulièrement impactants (champagne, rhum blanc, whisky), d’autres presque bénéfiques (la bière notamment, avec un effet de purge, ou du moins l’ai-je vécu comme ça). Bon après, l’alcool, ça relaxe, donc effet sur le stress, bien sûr … mais attention les effets secondaires si trop grande quantité !
Je me suis fixé quelques règles : pas d’alcool avant le jeudi, par exemple … pas (trop) d’excès…
Alimentation (10%)
Je n’ai pas noté de vrai gros déclencheur. J’ai changé quelques habitudes : passé du thé au café puis à la chicorée mais sans me prendre la tête et en revenant à l’un ou l’autre de temps en temps … J’évite autant que possible le piment fort (ça c’est assez radical, en revanche).
Inconnu (10%)
Et puis parfois : une crise. Aucun signe vraiment annonciateur. Dans les salles de spectacle, notamment, comme si je me projetais sur scène alors que je suis dans le public ! Un peu de pression et ça recommence. J’en ai pris mon parti. Je n’angoisse plus : je sais que ça repartira tout seul.
Mécanique musculaire (20%) - j'ai pas trouvé plus parlant ...
j’ai essayé pas mal de médications mais rien n’a fonctionné. En revanche je m’astreins à faire du gainage, principalement assis sur une chaise : monter les genoux puis étendre les jambes à l’équerre : c’est quasi miraculeux ! La planche aussi, etc.
Tout ce qui permet de retenir les viscères pour éviter que “ça appuie” sur la zone sensible. D'ailleurs quand c’est trop fort je saisis les viscères à travers la peau du ventre et essaie de les remonter. Ça peut bien soulager … Parfois aussi, le travail digestif peut aider. Une gène ? je machouille un bout de pain ou autre et souvent, ça passe …
Bref, aujourd’hui, je m’estime quasi-guéri. Je sais que ça peut revenir mais aussi que ça peut disparaitre. Il n’y a pas eu de grande révolution, j’ai juste constaté un jour que je n’avais plus eu de vraie crise depuis longtemps et qu’il fallait peut-être que je partage ça avec ceux qui galèrent comme j’ai pu galérer …
Voilà : et donc surtout, relaaax !
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Philippelo
Bonjour,
Je voulais à mon tour témoigner d’une guérison.
J’ai souffert d’une prostatite chronique pendant environ 10 ans, arrivée comme ça, sans événement particulier. 10 ans d’envies impérieuses, de gouttes retardataires, de stress, de déprime mais aussi de recherche… et puis ça va mieux.
J’ai lu et tenté comme tout le monde plein de recettes et méthodes … et je voulais faire part de celle qui a marché pour moi.
J’ai raisonné par pourcentage en me disant : qu'est-ce qui joue, en % sur la pénibilité de cette maladie ?
J’ai d’abord essayé d’en saisir les déclencheurs. J’avais lu que le stress, l’alcool, les exitants (caféine, théine), l’alimentation épicée étaient des amplificateurs de symptôme, sans vraiment y croire …
Avec le recul, je vois les choses comme ça (et c’est une perception totalement personnelle)
Stress (40%)
Oui, je l'ai longtemps nié mais l’aspect psychologique est très fort : il faut agir, d’une manière ou d’une autre sur le stress. La maladie se nourrit elle-même du stress qu’elle génère (t’es sûr que t’as pas envie de pisser, là ? sûr ?) … D’ailleurs rien que d’en parler … (!)
J’ai réalisé que je n’étais pas forcément conscient du stress que je subissais (ou me créais) : environnement professionnel, familial, fatigue, et maladie elle-même etc … Bizarrement ça diminuait beaucoup pendant les vacances.
J’ai appris, avec le temps, à lâcher prise d’une manière générale et les symptômes ont bien diminué … Un détail : je suis passé du caleçon au boxer, ça évite le stress de la dernière goutte ... j'ai mes petits rituels, je me nettoie soigneusement le gland avant de dormir notamment (et ça marche bien !)
M'écoutant sur cette maladie, ma femme lui a donné un nom ridicule qui l’a un peu remise à sa place (la prostatite, hein) : “la pissotte”.
Alcool (20%)
oui, des effets, sans aucun doute. Les lendemains de fête les symptômes étaient/sont plus forts, certains alcools particulièrement impactants (champagne, rhum blanc, whisky), d’autres presque bénéfiques (la bière notamment, avec un effet de purge, ou du moins l’ai-je vécu comme ça). Bon après, l’alcool, ça relaxe, donc effet sur le stress, bien sûr … mais attention les effets secondaires si trop grande quantité !
Je me suis fixé quelques règles : pas d’alcool avant le jeudi, par exemple … pas (trop) d’excès…
Alimentation (10%)
Je n’ai pas noté de vrai gros déclencheur. J’ai changé quelques habitudes : passé du thé au café puis à la chicorée mais sans me prendre la tête et en revenant à l’un ou l’autre de temps en temps … J’évite autant que possible le piment fort (ça c’est assez radical, en revanche).
Inconnu (10%)
Et puis parfois : une crise. Aucun signe vraiment annonciateur. Dans les salles de spectacle, notamment, comme si je me projetais sur scène alors que je suis dans le public ! Un peu de pression et ça recommence. J’en ai pris mon parti. Je n’angoisse plus : je sais que ça repartira tout seul.
Mécanique musculaire (20%) - j'ai pas trouvé plus parlant ...
j’ai essayé pas mal de médications mais rien n’a fonctionné. En revanche je m’astreins à faire du gainage, principalement assis sur une chaise : monter les genoux puis étendre les jambes à l’équerre : c’est quasi miraculeux ! La planche aussi, etc.
Tout ce qui permet de retenir les viscères pour éviter que “ça appuie” sur la zone sensible. D'ailleurs quand c’est trop fort je saisis les viscères à travers la peau du ventre et essaie de les remonter. Ça peut bien soulager … Parfois aussi, le travail digestif peut aider. Une gène ? je machouille un bout de pain ou autre et souvent, ça passe …
Bref, aujourd’hui, je m’estime quasi-guéri. Je sais que ça peut revenir mais aussi que ça peut disparaitre. Il n’y a pas eu de grande révolution, j’ai juste constaté un jour que je n’avais plus eu de vraie crise depuis longtemps et qu’il fallait peut-être que je partage ça avec ceux qui galèrent comme j’ai pu galérer …
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David60
David60
Dernière activité le 03/02/2019 à 14:40
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Ami
Bonjour, pour ma part j’ai fait une infection avec une brûlure du gland qui m’a mené aux urgences. Après consultation, prise de sang et UCBU, rien. J’ai attendu que cela passe mais ça c’est vite transformé en épididyme puis propagé dans les testicules avec une légère hydrocèle. On m’a ensuite prescris d’autres examens (touché rectal et autres) et on a retrouvé un mycoplasma lors d’une spermaculture. Après plusieurs traitements (Bactrime, et Ciflox je crois et 2 autres avant sur une période de 2 à 4 semaines) rien n’a évolué...plus de douleurs localisées si ce n’est que des brûlures au niveau du gland lors de la miction. Aujourd’hui, j’ai refais une spermaculture et plus rien mais je commence à sentir une gêne entre les jambes qui semble ressembler à un gonflement de la prostate. Les brûlures mictionnelles sont toujours là et une inflammation des parties génitales après rapport. Néanmoins j’ai pu remarqué un soulagement lors de la grosse commission.
Mon kinésithérapeute m’a parlé du nerf pudendal qui pourrait être écrasé car j’ai des douleurs au niveau du canal spermatique mais je n’y crois pas trop.
J’ai repris rdv avec un deuxieme urologue car le premier m’a abandonné en me disant que c’est chronique et qu’il ne peut rien faire. J’ai vraiment l’impression que c’est à moi de leur donné un diagnostic, les médecins semblent perdus, alors d’après vous quel examens dois-je demander pour vérifier s’il ny a pas de germe dans ma prostate qui provoquerai cette inflammation ?