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Je n'y arrive plus
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josefa
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josefa
Dernière activité le 02/08/2024 à 12:50
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bonsoir sophie et tout le monde
depuis 2011, après une hospitalisation, j'ai eu la chance de trouver un bon psy, qui m'a fait confiance quand je lui ai demandé, progressivement de baisser mes doses de médicaments régulateurs de l'humeur (parce que j'étais comme toi, tout le temps déprimée) et au bout de 4 ans je suis aux doses minimum, j'ai aussi changé de vie, avec mon dossier mdph j'ai eu droit à une formation de conversion et je suis devenue jardinier :-). Pour bien connaître ma maladie, repérer les signes avant coureurs notamment, j'ai fait à l'hôpital, avec mon fils pendant une année, un séminaire d'éducation à la maladie qui m'a été très utile.
Je sais que c'est difficile quand on est en phase dépressive, mais il faut que tu tiennes le coup, que tu te donnes de petits objectifs pour te faire du bien et faire un pas après l'autre, moi aussi, j'ai perdu beaucoup d'amis mais certains sont restés et d'autres sont arrivés, tiens le coup
sincèrement
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merci Snoopy ! je n'avais même pas pensé à internet ... comme quoi ... bonne soirée
bipo95
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bipo95
Dernière activité le 18/07/2024 à 08:06
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Bonjour à tous et à toutes,
Ma spontaneite et ma jeunesse d'esprit provoquent des symptômes d'en haut et d'en bas varient dans la même journée, d'une semaine à l'autre mais je ne reconnais pas des phases de 3 mois. C'est plutot lie a mon manque de gestion de la frustration, je peux attendre tres longtemps ou pas plus d'une seconde. Je suis tres impatiente avec mes progres. C'est très déroutant, d'un seul coup, c'est la tempête puis la pluie, l'orage, le soleil brille sans nuages (je profite !) Et ça recommence, épuisant. Je suis stabilisée : les hauts sont moins hauts et les bas sont moins bas, mon état ne nécessite plus d'hospitalisation. Je souffre d'eparpillement de la pensée, d'hyperactivite, que je canalise par le sport. J'ai un travail adapté avec moins d'urgence que les autres, lorsque ça va bien, je m'avance, lorsque c'est un peu juste, je viens et je fais l'urgence du jour sans voir le lendemain.
J'ai eu un grave accident de vélo avec traumatisme crânien léger (sans coma) dont je suis sortie miraculee. Aucun signe de traumatisme crânien n'a été décelé à part ça je souffre de troubles psychiques invalidants depuis 1 an après l'accident (la première année, j'avais des séquelles physiques, je ne me suis pas préoccupée de mon état psychique). Il paraît que les traumatisés crâniens souffrent de troubles psychiques associés et sont soignés par traitement psychiatrique.
Même si mon psychiatre prétend que je suis bipolaire, aujourd'hui je me pose toujours des questions sans réponse : je ne suis ni bipolaire aiguë ni souffrant d'un trouble de mémoire. Je n'ai pas une maladie qui me couche 24h sur 24h mais par contre j'en ai assez de faire des efforts chaque jour pour résister au monde "ordinaire" malgré mon handicap et souvent je suis confrontée à quelque chose au dessus de mes forces, que je suis obligée d'affronter, mon entourage veut toujours me pousser sans reconnaître mon handicap, ni d'ou je viens. C'est exigeant de tout assumer. Heureusement maintenant j'ai trouvé de l'aide qui me comprends, respecte mes efforts : le service d'aide à la vie sociale et le psychologue emploi et une responsable de travail qui a su accepter mon perfectionnisme sans en abuser. Mon compagnon est encourageant, il croit qu'on peut tout améliorer, je ne sais pas si on arrivera à nos rêves mais faut espérer. Je prends conscience de l'aspect permanent de mes symptômes, j'ai du mal à l'accepter, je m'énerve, je repars en haut, je ne cesse de me battre. Il ne se passe pas une seule journée sans souffrance meme si tout va mieux qu'au début des symptômes. Mais au début, on ne m'avait pas dit que c'était à vie. Je croyais qu'en se soignant, on guérissait et non on apprend seulement à vivre avec.... triste réalité
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bipo95
Utilisateur désinscrit
Bonjour tout le monde. J'espère vous allez bien aujourd'hui. J'ai une bonne nouvelle. Hier après avoir travailler de 5h à 10h. J'ai eu un entretien d'embauche dans un grand magasin dont je ne citerais pas le nom. Je suis rester honnête et j'ai parler de ma maladie. Et bonne nouvelle. Je suis embaucher pour 6mois renouvelable. Je suis heureuse dans un sens mais j'ai peur dans un autre. Mais sentiments sont mélanger. Merci pour votre soutien et d'être la dans les bons et mauvais moment. La roue à tourner pour moi. Et j'espère que sa iras pour vous. Bisou. Bonne journée.
sylefi
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sylefi
Dernière activité le 11/10/2023 à 15:39
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Bravo Sophie. Excellente nouvelle pour toi et ton avenir immédiat. Au delà des conseils que l'on donne en toute modestie ici car il s'agit en général à partir de notre propre vécu, l'essentiel dans ce que tu viens de vivre, c'est l'authenticité. Tu as été toi-même avec l'autre (le recruteur). Ce n'est pas à mon avis une question d'honnêteté ou pas, c'est en rapport d'être en accord avec soi-même, c'est-à-dire par rapport à ce que l'on pense au plus profond de soi. Et cela ne peut se faire que quand on n'est plus dans le déni et que l'on se respecte soi-même. C'est pour cela que je parle d'authenticité. Cela a marché cette fois pour toi. Génial et tellement libérateur. Cela aurait pu se passer autrement, en moins bien. Mais la vie, c'est aussi une part de rêve. Toutes les histoires ne se terminent pas mal. La tienne toute récente en est la démonstration. Bon vent Sophie. Bises. Sylvain
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Sylvain
Tibanem
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Tibanem
Dernière activité le 27/03/2021 à 08:28
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Sophie , je suis contente pour toi .Je ne reprendrais pas les propos de Sylvain , tout est dit Rien a ajouter si ce n'est que la petite peur qui t'étreint à la perpective de ce nouveau travail , quoi de plus normal ? Pas besoin d'être malade pour ressentir ce trac non ? Milieu inconnu , collègues inconnus , serons-nous à la hauteur du travail demandé ? J'admets que ce trac prend chez nous une dimension peut-être plus angoissante , nous connaissons nos failles et nos faiblesses , il te faut apprendre maintenant à reconnaître tes atouts , tes ressources - tu viens de démontrer que tu en avais en bon stock- tes Forces .
Tiens nous au courant
cathy091
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cathy091
Dernière activité le 25/11/2024 à 13:27
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Bonjour à vous,
J'ai été diagnostiquée bipolaire en 1995. Je travaillais à l'époque et j'étais dans un état de stress permanent, surexcitée, ne pensant plus qu'à mon emploi et donc ma vie privée en a souffert. 1ère grosse dépression nerveuse avec hospitalisation où mon psy (il est formidable) a commencé à me soigner pour cette saloperie de maladie mentale.
Après mon licenciement précédé d'un harcèlement moral épouvantable durant 6 mois j'ai plongé dans l'alcool durant des années puisque seul ce maudit whisky réussissait à me "calmer" durant quelques heures. Et après bien entendu c'était pire que jamais et physiquement et moralement à cause de la culpabilité et de toutes les aberrations que je faisais lorsque j'étais ivre. Conduire par ex, des achats bien trop onéreux pour notre budget (oui je suis mariée et j'ai 3 enfants mais à l'époque j'avais 38 ans et j'en ai 59), enfin une conduite à risques.... Durant toute cette période c'était l'enfer boire avec les médicaments ne fait pas un mélange heureux. J'ai arrêté de boire toute seule en me disant que si je continuais ma vie de famille serait complètement bousillée. Ca fait plus de 12 ans que j'ai stoppé.
Je ne passe pas par des phases "maniaques" mais je suis la plupart du temps en dépression. Mon traitement est du Lamictal 200, du Temesta 2,5, du Laroxyl et du Noctamide pour dormir. Mais le sommeil est un luxe car je fais la majorité du temps des insomnies. Petit à petit je me suis enfermée à la maison, perdant mes amis puisque je refusais tout le temps de participer à des activités, je suis sédentaire et triste à mourir. Je précise que durant la période alcool j'ai fait de multiples TS, appel au secours plutôt. Je suis tout le temps fatiguée, j'ai pris plus de 20 kg en 12 ans, je me dégoûte donc je ne sors plus pour ne pas que l'on me voie. Ou juste quelques sorties obligatoires. Envie de rien télé, ordinateur ah si quand même je n'ai pas perdu mon goût pour la lecture. Mais je fais tout de même énormément d'achats compulsifs lorsque je dépense de l'argent je suis euphorique durant quelques instants et après je m'en fiche complètement. Plus rien ne marche pour moi ni les anti-dépresseurs, ni les somnifères, ni les anxiolytiques.
Voilà j'en suis réduite à vivre comme une larve que rien ne peut sortir de sa torpeur. Ah si j'oublie tout de même un élément primordial: J'ai un adorable petit-fils de deux ans et demi et lorsque je le garde c'est la joie, c'est le bonheur, c'est la vie. Seul ce petit bonhomme me sort de ma tristesse.....
Est-ce que quelqu'un pourrait m'aider, me conseiller pour retrouver le sommeil et la joie de vivre ? Help !
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cathy091
sylefi
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Dernière activité le 11/10/2023 à 15:39
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Bonjour Cathy,
A l'aide ! C'est ta conclusion. Nombreux sont celles et ceux qui ont sur ce site Carenity tirer la sonnette d'alarme se sentant dans une impasse ou ne sachant plus quoi faire pour sortir soit de leur torpeur soit de leurs tourments. C'est normal d'être en difficulté avec ce type de maladie chronique qui ne nous lâche pas, quelque soit la prise en charge thérapeutique. Après, tout se joue sur l'intensité des symptômes et du niveau de leurs nuisances au quotidien. D'où l'intérêt de rester vigilant et lucide sur soi quand c'est possible, sans déni et avec le maximum d'objectivité. Je pense que c'est possible d'avancer plus vite quand on arrive à cet état mental permettant de se poser de vraies questions sur ce que l'on est en bien ou en moins bien. Et ensuite essayer de profiter des échanges d'idées et de solutions testées au sein de notre communauté. Sans recettes miracles puisque chaque histoire est unique. La mienne est passée par le sevrage des psychotropes mais au préalable en déminant au maximum mon cadre de vie des facteurs anxiogènes déstabilisateurs. Cela ne s'est pas fait en un seul jour. Même pas en nombre de semaines mais en nombre de mois avec l'aide de professionnels de santé, du médecin traitant aux psychiatres. Tout cela pour retrouver une certaine quiétude de vie pour rester enfin ou presque zen. Avec un certain détachement face aux évènements familliaux et du monde extérieur. Et c'est quand je m'implique subitement en suivant l'actualité au jour le jour comme dans ce qui se passe place de la République à Paris avec le mouvement Nuit Debout en suivant sur You Tube "TV Debout" jusqu'à minuit en doublon de ce qui est retransmis sur Périscope avec mon compte Twitter, c'est là que je m'aperçois que mes troubles du sommeil reviennent et que des signes d'emballement réapparaissent au niveau de mon mental. C'est comme s´il y avait une sorte d'accélération cognitive. Pas simple à gérer et à canaliser. Et l'endormissement redevient difficile avec un réveil matinal et une sensation de fatigue. Et le cercle vicieux se réactive ainsi à mon insu.
Quant à la joie de vivre, tu évoques ton petit-fils et ta joie de la partager avec lui. C'est super car chez moi, cela ne fonctionne pas. Question de contexte familial probablement et de personnalitè sûrement. Ma joie, je la trouve ailleurs dans la nature et avec l'effort physique comme dans les 20km de randonnée pédestre en bord de falaises sur la côte d'albâtre autour d'Etretat avant hier avec le groupe OVS (On Va Sortir).
Je te souhaite ici d'avoir plein de réponses à ton questionnement pour ensuite les recentrer sur toi et peut-être ensuite nous tenir informés de l'avancement de ta situation si tu le souhaites.
Bien amicalement.
Sylvain
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Sylvain
cathy091
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cathy091
Dernière activité le 25/11/2024 à 13:27
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Bonjour sylefi, (ou plutôt Sylvain)
J'ai été heureusement surprise de trouver une réponse à mon appel au secours ! Et donc euh.... Je ne sais pas trop quoi dire ! Dans le désordre alors, il est vrai que télé, ordinateur, réseaux sociaux, etc.... Je l'ai constaté nuisent beaucoup au sommeil. Il m'arrive de me lever à 2 ou 3 h du matin et au lieu d'essayer de me rendormir (remarque j'aurais bien du mal dès que j'ai un oeil ouvert il faut que je me lève) mais enfin au lieu d'attraper mon dernier bouquin en cours de lecture je me précipite sur la télé pour voir un truc en Replay ou sur mon PC comme si j'étais en manque.
Autre chose. Le sevrage des psychotropes j'en ai fait un aussi il y a des années en clinique, sous la surveillance de mon psy et bon ça a été dur mais très positif. Je n'avais gardé que le thymorégulateur et viré toutes les benzo, anti-dépresseurs et somnifères. Ca a duré plus d'un an comme ça. Je me sentais nettement mieux, alerte et miracle j'avais pratiquement récupéré un sommeil de bébé ! Mais bon il a du arriver un truc stressant (je ne sais même plus quoi "j'ai la mémoire qui flanche.... j'me souviens plus très bien" qui fait que j'ai allègrement replongé dans toutes ces drogues licites....
Un point énorme que je n'ai pas souligné lors de mon message précédent : je suis bretonne, née en Bretagne et y ai vécu jusqu'à la rencontre avec mon mari j'avais 21 ans. Et donc ça fait presque 38 ans que je vis en Ariège (je ne sais pas si tu connais c'est dans les Pyrénées et si tu veux un enterrement de la vie sociale, culturelle, etc.... Tu peux venir y habiter !) Un trou mais vraiment ! Je regrette tous les jours ma Bretagne. Lorsque mon mari a pris sa retraite à 60 ans (il m'avait toujours fait la promesse que nous irions habiter enfin en Bretagne à ce moment là) eh bien il n'a pas respecté le pacte que nous avions fait, conclusion entre nous ça va de plus en plus mal, on ne peut pas se séparer pour des raisons financières et autres aussi (serais-je capable de me débrouiller seule dans la vie ? Je ne crois pas...) bref la tension à la maison est omniprésente, terrible et je passe des journées entières à pleurer. J'en arrive souvent à penser au suicide mais maintenant qu'il n'y a plus d'alcool pour m'aider je n'ai pas le courage (ou la lâcheté je ne sais lequel des deux mots convient le mieux) de me supprimer et pourtant là je suis au bout du rouleau....
Voilà les dernières nouvelles, c'est super que tu fasses de longues randonnées de 20 km mais tout ça j'ai laissé tomber car j'ai encore une tare : la clope ! J'ai arrêté du 16 septembre au 16 janvier et j'ai repris car si le premier mois c'était l'euphorie complète (up ?) les 3 derniers ont été horribles ! (down ?).
A bientôt de te relire !
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cathy091
sylefi
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sylefi
Dernière activité le 11/10/2023 à 15:39
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Coucou Cathy,
Beaucoup de plaisir à lire ton dernier post et d'apprendre que tu es bretonne avec le mal du pays. Et je te comprends très bien car je te réponds en direct de Dinard en week-end chez mon amie qui est aussi d'origine bretonne tout en ayant vécu de longues années en région parisienne.
Sans entrer dans ta vie intime après tant d'années en couple, je pense qu'il est possible de rebondir à condition d'être déterminé(e) et d'avoir un plan B sans partir sur un coup de tête.
Je t'en parle plus facilement car je suis dans cette réflexion de migrer à Dinard pour ma retraite en quittant la ville de mon histoire : Le Havre.
Mais je ne suis pas encore décidé car cela doit passer d'abord par l'octroi d'un logement social intermédiaire. Je suis inscrit pour un T2 chez le bailleur social de référence dans l'agglomération de Saint-Malo : Emeraude Habitation.
Si le bord de mer te plaît de ce côté là de la côte d'émeraude, il n'y a aucun problème pour avoir un T2 ou un T3 sous conditions de ressources. L'inscription d'une demande de logement social en Ille-et-Vilaine (35) se fait intégralement en ligne.
En logements intermédiaires, actuellement il y a des logements T2/T3 vacants dans deux résidences neuves BBC : Quai Ampère à Dinard et Clos des Régatiers à Saint-Malo.
Si tu es à bout de nerfs et que ton choix c'est rester en Ariège avec des idées noires à n'en plus finir car tu n'y arrives plus même avec des psychotropes &Cie, alors prends tes valises et viens respirer le grand air ici comme moi cet après-midi sur le chemin de ronde entre Port blanc et St Enogat. Un pur bonheur !
Si tu as des chaînes (virtuelles) alors n'hésite pas à te poser les bonnes questions pour te libérer seule ou à deux si c'est possible encore de le faire en couple.
"La vie ne vaut rien, mais rien ne vaut la vie".
Je te souhaite de trouver ta voie et que cela soit enfin le bonheur pour toi. La vie est simple en fin de compte. Il suffit de ne pas se tromper. C'est là que cela se complique mais nous sommes nombreux sur le site Carenity pour t'aider à baliser ton cheminement vers ta libération. Dans tout projet humain, il y a une part d'utopie. Mais le renoncement est pire que l'espoir de réussir ou d'échouer. La prise de risque existe mais la délivrance au final est un accès prometteur au bonheur.
Avec mes salutations toutes amicales.
Sylvain
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Sylvain
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Utilisateur désinscrit
Je suis plus souvent dépressive que maniaque, j'ai perdu mon boulot mes amis et quelque membre de ma famille suite à sa. J'arrive pas à accepter la maladie et le traitement qui va avec. Comment vous faite pour vivre avec? J'ai tout perdu et pu envie de me battre. Je laisse la maladie gagner. Aidez moi s'il vous plaît à comprendre.