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Patients Douleurs chroniques
Je ne sais plus comment faire pour soigner ses douleurs, connaissez vous des médecins internistes ?
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Tous les commentaires
Aurélien.D
Bon conseiller
Aurélien.D
Dernière activité le 17/08/2024 à 10:03
Inscrit en 2021
574 commentaires postés | 13 dans le forum Douleurs chroniques
3 de ses réponses ont été utiles pour les membres
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Ami
Bonjour @Mylyne,
Je vous remercie pour l'ouverture de ce sujet.
Je l'ai déplacé dans le groupe "Vivre avec des douleurs chroniques" pour plus de visibilité.
J'invite ici quelques membres à y participer : @Marie-alice @bydgie @Jeessy27 @RolandeB @leojpe @AcrobateB @Nana10 @Lilieanim44 @LEMONTAUDREY76 @cannabillionParis
Belle journée,
Aurélien de l'équipe Carenity
bydgie
bydgie
Dernière activité le 01/11/2024 à 23:04
Inscrit en 2021
23 commentaires postés | 14 dans le forum Douleurs chroniques
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Ami
@Aurélien.D
BONJOUR ENFIN J 'y arrive merci .
Au plaisir
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bydgie
Coco2510
Bon conseiller
Coco2510
Dernière activité le 18/11/2024 à 14:14
Inscrit en 2022
19 commentaires postés | 1 dans le forum Douleurs chroniques
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Bonsoir je me retrouve da ns votre commentaire depuis novembre 2022 on m'a diagnostiqué une hernie hatiale de 3 cm et gastrite et depuis rien ne va je ne sais pas si c est lié ne me pose des questions si c est pas plus grave en ce moment j ai une douleur au milieu ventre qui me bloque ma respiration je pense enfin les douleurs sont tellement présentes que je me.dema'de si ce n' est pas plus grave je pense a une maladie (cancer) j en suis devenue hypocondriaque
Shego02
Shego02
Dernière activité le 07/07/2024 à 22:01
Inscrit en 2023
1 commentaire posté | 1 dans le forum Douleurs chroniques
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Explorateur
Bonjour
J'ai eu la même chose, ça a commencé par des problèmes respiratoires puis des douleurs digestifs, j arrivais plus à manger alors que j adore et j'ai perdu 5kg
On m a sortie c est le stress on va faire des examens mais c'est votre tête, faut voir un psychiatre
Scanner abdominal et angioscanner bon et enfin fibroscopie et hernie hiatale, on m a dit c'est ça qui fait vos problèmes. J'ai un médicament, mais c'est encore difficile surtout niveau respiratoire quand je mange et marche
Je vais faire un test d'effort également
Courage à tous
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Vivre avec des douleurs chroniques
Incompréhension de l'entourage, se sentir seule face à la douleur
Dadou67
Bonjour à toutes
Il faut souvent du temps pour que les proches acceptent la maladie. Il nous en faut d'ailleurs aussi quand le diagnostic tombe.
Pour ma part j'ai 42 ans et j'ai une polyarthrite rhumatoïde étendue à toutes les articulations et le déclic chez mon mari c'est fait au passage du traitement par injection. Je pense que l'effet seringue me rend plus malade à ses yeux.
La maladie m'a appris à penser plus à moi, à m'occuper de moi et les laisser se débrouiller pour les tâches du quotidien, à profiter de la vie car ma vie de maman m'a relégué au second plan pendant 15 ans.
Je n'attends plus de la compassion, de l'aide de mon mari et mes enfants par contre dès qu'une crise survient je deviens égoïste, je me soigne, me repose et étonnamment tout ce petit monde se réveil et vient prendre soin de moi.
Alors peut être que c'est ça le secret....penser à soi!E n tout cas chez moi ça a marché.
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Vivre avec des douleurs chroniques
Comment comprendre une personne qui souffre de douleurs chroniques ?
Ric.spa
Compte tenu des différents symptômes de la maladie, j’ai essayé de catégoriser les traitements possibles selon les atteintes.
💊 Médicaments sur ordonnance : en cas de poussée, et peu importe la localisation, il existe plusieurs type de médicaments pour soulager la douleur :
- Antalgiques : du type paracétamol ou paracétamol codéiné (selon l’intensité de la crise)
- Anti-inflammatoires + oméprazole : afin de soulager ponctuellement à l’inflammation
- Anti-dépresseurs : certains médicaments comme l’amitriptyline (Laroxyl) sont prescrits pour rendre la douleur « plus supportable » psychologiquement.
Pour tous ces médicaments, il convient de consulter votre rhumatologue et d’adapter le traitement selon votre sensibilité et vos besoins.
🏊🏻♂️ Physiothérapie : le sport est d’importance primordiale pour réduire les douleurs axiales. Encore faut-il choisir prudemment l’activité pour ne pas créer l’effet inverse. A ce stade, je recommande deux sports :
- La natation : deux nages idéales dans ce cas, le crawl et le dos crawlé.
- La kinésithérapie : je vous conseille de consulter un kinésithérapeute du sport qui saura vous construire un programme adapté à vos besoins et à l’état actuel de votre spondylarthrite.
La maladie étant imprévisible, la pratique du sport peut donner lieu à des scénarios très différents : vous pouvez avoir mal durant l’entraînement et ne plus avoir mal après, ne pas avoir mal avant mais avoir mal pendant, avoir mal avant mais ne pas avoir mal pendant etc… Il est donc essentiel d’écouter son corps. Si une légère douleur pendant l’entraînement peut être acceptable, vous devez cependant mettre une limite et cesser votre séance si la douleur est insupportable.
🧴 Crèmes : plusieurs crèmes sans ordonnance peuvent être pertinentes pour remédier aux douleurs, notamment périphériques (genoux, talons etc…) :
- Baume du tigre rouge : naturel et agréable avec son effet chauffant, il a cependant l’inconvénient de tâcher vos vêtements à cause de sa couleur.
- Voltaren Actigo.
🧊 Douches froides : certes peu agréables sur le moment, elles peuvent cependant casser la douleur inflammatoire. Pour maximiser les effets, je vous recommande d’en prendre une par jour pendant 1 mois. Pour qu’elles soient plus supportables, il est préférable de les prendre l’après-midi ou le soir et de privilégier les mois chauds.
💡 Mon conseil ultime : créer une fiche avec chaque douleur répertoriée, et les traitements associés pour y remédier. Cela vous aidera vous, mais également vos proches s’ils doivent vous aider.
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Vivre avec des douleurs chroniques
Incompréhension de l'entourage, se sentir seule face à la douleur
Dadou67
Bonjour à toutes
Il faut souvent du temps pour que les proches acceptent la maladie. Il nous en faut d'ailleurs aussi quand le diagnostic tombe.
Pour ma part j'ai 42 ans et j'ai une polyarthrite rhumatoïde étendue à toutes les articulations et le déclic chez mon mari c'est fait au passage du traitement par injection. Je pense que l'effet seringue me rend plus malade à ses yeux.
La maladie m'a appris à penser plus à moi, à m'occuper de moi et les laisser se débrouiller pour les tâches du quotidien, à profiter de la vie car ma vie de maman m'a relégué au second plan pendant 15 ans.
Je n'attends plus de la compassion, de l'aide de mon mari et mes enfants par contre dès qu'une crise survient je deviens égoïste, je me soigne, me repose et étonnamment tout ce petit monde se réveil et vient prendre soin de moi.
Alors peut être que c'est ça le secret....penser à soi!E n tout cas chez moi ça a marché.
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Ric.spa
Compte tenu des différents symptômes de la maladie, j’ai essayé de catégoriser les traitements possibles selon les atteintes.
💊 Médicaments sur ordonnance : en cas de poussée, et peu importe la localisation, il existe plusieurs type de médicaments pour soulager la douleur :
- Antalgiques : du type paracétamol ou paracétamol codéiné (selon l’intensité de la crise)
- Anti-inflammatoires + oméprazole : afin de soulager ponctuellement à l’inflammation
- Anti-dépresseurs : certains médicaments comme l’amitriptyline (Laroxyl) sont prescrits pour rendre la douleur « plus supportable » psychologiquement.
Pour tous ces médicaments, il convient de consulter votre rhumatologue et d’adapter le traitement selon votre sensibilité et vos besoins.
🏊🏻♂️ Physiothérapie : le sport est d’importance primordiale pour réduire les douleurs axiales. Encore faut-il choisir prudemment l’activité pour ne pas créer l’effet inverse. A ce stade, je recommande deux sports :
- La natation : deux nages idéales dans ce cas, le crawl et le dos crawlé.
- La kinésithérapie : je vous conseille de consulter un kinésithérapeute du sport qui saura vous construire un programme adapté à vos besoins et à l’état actuel de votre spondylarthrite.
La maladie étant imprévisible, la pratique du sport peut donner lieu à des scénarios très différents : vous pouvez avoir mal durant l’entraînement et ne plus avoir mal après, ne pas avoir mal avant mais avoir mal pendant, avoir mal avant mais ne pas avoir mal pendant etc… Il est donc essentiel d’écouter son corps. Si une légère douleur pendant l’entraînement peut être acceptable, vous devez cependant mettre une limite et cesser votre séance si la douleur est insupportable.
🧴 Crèmes : plusieurs crèmes sans ordonnance peuvent être pertinentes pour remédier aux douleurs, notamment périphériques (genoux, talons etc…) :
- Baume du tigre rouge : naturel et agréable avec son effet chauffant, il a cependant l’inconvénient de tâcher vos vêtements à cause de sa couleur.
- Voltaren Actigo.
🧊 Douches froides : certes peu agréables sur le moment, elles peuvent cependant casser la douleur inflammatoire. Pour maximiser les effets, je vous recommande d’en prendre une par jour pendant 1 mois. Pour qu’elles soient plus supportables, il est préférable de les prendre l’après-midi ou le soir et de privilégier les mois chauds.
💡 Mon conseil ultime : créer une fiche avec chaque douleur répertoriée, et les traitements associés pour y remédier. Cela vous aidera vous, mais également vos proches s’ils doivent vous aider.
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Mylyne
Mylyne
Dernière activité le 15/01/2022 à 14:19
Inscrit en 2021
1 commentaire posté | 1 dans le forum Douleurs chroniques
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Explorateur
Bonjour, j'ai 21 ans et voilà 3 ans que j'ai des problèmes de douleurs abdominales vraiment importantes...
J'ai déclenché une hernie hiatale il y a 4 ans, qu'on a diagnostiqué très tardivement après les premiers symptômes et des mois d'allers- retours à l'hôpital en ressortant toujours le même bilan "c'est à cause du stress". Il faut savoir qu'à cette époque je passais le bac et que j'ai osé une seule fois dire à une infirmière qui m'a posé la fameuse question du stress que je stressais seulment quand je passais un diplôme (comme bon nombre de personne je pense). Sinon en règle générale, je suis quelqu'un de très vivante, rare sont les fois où je suis triste ou même négative dans ma vie en général, je suis même de ceux qui apaisent leur entourage. Bref, le diagnostic a été très long en effet, un soir sans raison j'ai commencé à avoir des nausées, je me suis dis que c'était peut-être une gastro mais rien de bien méchant. J'étais loin de me douter que c'était le début de mois de calvaire. Au début, on m'a donné du charbon contre les poches de gaz et fait passer une radio, rien d'alarmant à part le fait que j'étais constipée mais cela mon médecin l'avait également décelé et m'avait dit que c'était dû au stress pour le bac. Puis, ça a été des mois avec les mêmes douleurs abdominales et de grosses brûlures au niveau du thorax comme si on mettait le feu en moi. J'ai passé un été vraiment affreux, après la 3 ème radio c'est mon médecin qui s'est chargé de me donner un traitement pour aller à la selle ce qui m'a soulagé pendant 2 semaines et tout a recommencé. Entre temps, on était arrivé au mois de septembre et je devais rentrer en études supérieures ( je suis quelqu'un qui adore les études et j'avais été prise dans plusieurs écoles suite à l'obtention de mon bac avec mention) j'étais donc très heureuse d'y aller mais j'avais toujours de grosses douleurs et je n'avais toujours pas très une grande alimentation. J'ai donc tenu 1 mois avant de faire de nouveau des allers-retours à l'hôpital jusqu'à ce qui me garde une nuit puisque j'étais épuisée (mentalement et physiquement) et qu'un matin dans ma chambre d'hôpital je me retrouve avec une psychologue expliquant à ma mère qu'elle pensait à de l'anorexie et que mentalement j'étais en burn out. La réaction de ma mère a été très vite réactive puisqu'elle m'a dit clairement de prendre mes affaires pour qu'on s'en aille de cet hôpital. Il faut savoir que je ne demandais que ça de pouvoir manger et j'étais loin d'inventer de tels symptômes ou de me faire vomir. Bref la suite a été sans appel après des mois sans avoir une réelle nuit de sommeil un matin j'ai demandé moi même à ma mère de me faire hospitaliser en maison de repos car j'étais épuisée. Durant mon hospitalisation et malgré un traitement psychologique, les vomissements étaient toujours présents et les douleurs également. Dans l'un de mes rendez-vous avec le psychiatre, je lui demande si je peux faire une fibroscopie, il me dit clairement que si ils me le font ça sera seulement pour me rassurer mais qu'il n'y aura rien car je m'invente clairement les douleurs. Après 4 mois d'hospitalisation, ma fibroscopie arrive enfin avec comme résultat "hernie hiatale par glissement+ malformation au niveau du clapet de l'estomac" sur les clichés mon œsophage était clairement brûlé et la gastro-entérologue m'a clairement dit qu'en effet je pouvais avoir mal. On m'a mis sous traitement et je suis finalement sortie 1 semaine plus tard de la maison de repos, j'avais perdu 27 kg en tout.
Depuis celle-ci a été soignée pour autant je fais régulièrement des gastrites érosives. Je suis sous lansoprazole depuis 3 ans sans option de l'arrêter car normalement le traitement devait durer 6 mois mais dès que je l'arrête j'ai encore des brûlures, je fais également de la constipation chronique on m'a diagnostiqué suite à une colo : " une colopathie fonctionnelle " alors je prends du movicol tous les soirs depuis 2ans.
J'ai fais tous les examens possibles: "colocospie, fibroscopie, scanner, échographie" rien de bien grave à part en 2020 à la suite d'une prise d'anti-inflammatoire à cause de tendinites aux épaules, on m'a diagnostiqué une hépatomégalie et un foie gras ( les anti-inflammatoires se sont collés sur la paroi de mon foie), j'ai également attrapé la mononucléose à l'hôpital alors s'est ajouté aux douleurs : une splénomégalie.
Je suis très souvent constipée où à l'inverse je fais des selles jaunes et graisseuses. Parfois il m'arrive même d'avoir des aliments entiers dans mes selles, s'ajoute de grosses douleurs musculaires à certains moments. Mes analyses sont toutes bonnes aucun problème grave au foie, à l'estomac et au colon ( et c'est tant mieux :)) pour autant douleurs constamment présentes au niveau de l'estomac, du flanc droit et du bas ventre. Je fais souvent des allers-retours aux urgences, je vous avoue que c'est épuisant aussi bien pour moi que pour mon entourage, on ne connaît pas la cause de toutes ces douleurs récurrentes et aux urgences on me dit à chaque fois que c'est "le stress ". Mon médecin traitant est heureusement là pour m'accompagner elle est très à l'écoute de mes douleurs et me connaît, elle essaye de son côté de faire des recherches pour savoir d'où pourrait provenir toutes ces douleurs mais comme elle me l'a dit, elle n'est pas spécialiste !
Je suis un régime bien spécifique tous les jours.
J'en suis à mon 4 ème gastro-entérologue et bien que ce dernier soit bien plus à l'écoute que les autres il n'a pas vraiment de solution pour moi, nous avons essayé le pepsane car il a remarqué que j'avais des problèmes de digestion cela a très bien marché durant 1 mois mais par la suite mon corps s'est habitué. Alors je voudrai savoir si quelqu'un avait eu recours à un médecin interniste? j'en ai entendu parlé mais je dois avouer que je n'y connais rien..
Je vous avoue qu'à 21 ans j'aspire à d'autres choses que des allers-retours à l'hôpital cela fait déjà 4 ans que je traîne avec ses douleurs sans solutions durables. Je suis quelqu'un de très ambitieuse et j'ai beaucoup de projets professionnels à faire mais je dois les reculer constamment..