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Un an sans sucre: «Ma santé s'est clairement améliorée»
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Aller au dernier commentaireUtilisateur désinscrit
j'ai également bani le sucre sous toutes ses formes,plats cuisinés,sucre,gâteaux .peur de mon diabète et tous ce que j'ai pu lire.
déjà j'ai beaucoup maigrie,de plus je me sent mieux je dors mieux est se la cause à effet je ne sais pas quoi qu'il en soit le sucre ne me manque absolument pas.
amicalement
erwannono
Bon conseiller
erwannono
Dernière activité le 22/11/2024 à 16:57
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Bonsoir EMMILIA, tu ne fais plus aucun dessert, crême, patisserie ? Je te fécilite j'en suis encore incapable j'essaie pour l'instant de réduire mais ça m'est très dur, bonne soirée, amitiés
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erwannono
verveine
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verveine
Dernière activité le 05/12/2019 à 17:32
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Emmi j'en prends note surtout pour maigrir. Bisous
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VERVEINE
Utilisateur désinscrit
NON PLUS RIEN DE CELA.sa ne me manque pas du tout je fais quelques fois des crèpes.lait de soja.farine de blé noire.ou épautre.la blanche c finie.
verveine si tu veux pèrdre du poid il faut tout doser.
bisous.
@erwa bises à toi aussi
Utilisateur désinscrit
Bonsoir,
j'aimerais bien pouvoir me passer de sucre, car je suis en surpoids et cela aggrave ma bpco, malheureusement, si je n'ai pas ma dose de sucre, je fais de l' hypoglycémie et suis obligé de manger une dizaine de morceaux de sucre rapidement
De plus pour ma bpco, je mange beaucoup de bonbons à la menthe
Utilisateur désinscrit
bonsoir 001 comment peut on avoir du diab.et ètre obligé de manger du sucre pour éviter de l'hypo.je ne comprend rien à cette maladie.
il y a des bonbons à la menthe sans sucre?
amitiés.
NICKITA03
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NICKITA03
Dernière activité le 22/11/2024 à 19:49
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Eh oui aussi illogique que cela puisse paraitre un diabétique doit toujours avoir du sucre sur lui.
En effet l'insuline injectée dans l'organisme n'agit pas comme la précision d'un pancréas qui lui injecte la dose en fonction de la glycémie si celle-ci est trop basse, un signal envoie au foie de libérer du glucagon (sorte de glucose), et si elle s'élève le pancréas libère de l'insuline mais juste ce qu'il faut, et rééquilibre le tout.
Mais chez nous les insulino-dépendant tout est déréglé, si l'insuline agit trop hypo et obligation de toujours avoir des morceaux de sucre sur soi ou autre produit sucré.
Tout cela est surement un peu complexe pour ceux qui ne sont pas sous insuline, j'en conviens.
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Nickie
Utilisateur désinscrit
merci Nikita.excusez ma question idiote pour une diabètique.mais j'ai des personnes qui pensent pour moi,je ne cherche pas à comprendre et de plus je ne suis pas comme vous dites sous insuline.il y a tellement de choses à comprendre sur cette maladie.lorsque c'est chez les autres on fait pas attention quand vous l'avez vous c'est plus pareil.
cordialement.
Utilisateur désinscrit
Bonsoir
en ce qui me concerne, je ne suis pas diabétique, mais je fais de 'hypo plusieurs fois par an malgré ma consommation de sucre importante
Des bonbons à la menthe sans sucre . Oui cela existe, j'en ai acheté : au triple prix et ils sont petits et ils ne dégagent pas assez de menthe
Utilisateur désinscrit
oui sa c'est vrai.
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Julien
Bon conseiller
Julien
Dernière activité le 12/06/2024 à 11:32
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Danièle Gerkens, journaliste à Elle , s'est interdit tout aliment à base de sucre pendant une année. Une expérience dont elle raconte les hauts et les bas dans un livre, Zéro sucre
Journaliste spécialisée dans la santé et l'alimentation, Danièle Gerkens aime cuisiner autant qu'elle aime manger. Elle s'est pourtant lancé un défi inédit en France: supprimer tout sucre simple de son alimentation pendant un an. Si elle s'est autorisée les sucres complexes (riz, pommes de terre, farine…), elle a dit adieu aux gâteaux, yaourts, compotes, jus de fruits, confitures, plats industriels... Une expérience inédite en France qu'elle décortique, arguments scientifiques à l'appui, dans son livre Zéro sucre (Editions Les Arènes)
LE FIGARO. - Un an sans sucre, ça paraît très long. L'expérience a-t-elle été difficile ?
Danièle GERKENS. - Il ne faut pas se leurrer, c'est frustrant. D'autant que je suis très gourmande, que j'adore cuisiner, que je vois défiler de magnifiques patisseries au bureau et que je n'avais jamais tenu de régime de ma vie jusque là! Au début, la frustration est physiologique, émotionnelle et gustative et les quatre premières semaines ont été… raides. S'ensuit une transition de 15 jours où ça va mieux, et au bout de 6 à 8 semaines, c'est fascinant: on rentre dans une nouvelle phase où on n'en a plus envie. On peut conserver des envies intellectuelles qui conduisent à se dire devant un gâteau magnifique «je me demande quel goût ça a», mais ce n'est plus une pulsion. En revanche il peut subsister une frustration sociale car on vous renvoie facilement l'image de la fille pas drôle, pas bonne vivante.
Vous racontez justement que votre projet a suscité des réactions parfois agressives dans votre entourage.
Je ne m'y attendais pas du tout. Ma mère elle-même, qui pourtant est diabétique, a mal pris que je refuse un gâteau qu'elle avait préparé. Cette réaction négative est symptomatique de personnes qui ont une relation compliquée avec un produit addictogène, comme l'alcool ou le tabac. Je pense que qu'il y a eu un effet miroir. Mon projet les renvoyait à une incapacité de gérer une conduite addictogène. Par ailleurs, le Pr Michel Lejoyeux de l'hôpital Bichat à Paris (spécialiste des addictions, NDLR) m'a fait remarquer que ma démarche questionnait un produit ultra courant et socialement accepté, ce qui revient, d'une certaine façon, à interroger les valeurs de la société.
Vous estimez pourtant avoir beaucoup bénéficié de ce régime atypique.
Oui, énormément. Je n'ai pas arrêté le sucre pour maigrir mais j'ai quand même perdu six kilos sans effort, alors même que je mange beaucoup plus gras. En plus, j'ai fondu au niveau du ventre - une graisse dont on sait qu'elle est particulièrement nocive pour la santé. Je n'ai plus jamais de baisses d'énergie comme avant alors que je n'ai rien changé dans mon rythme de vie: je ne dors pas plus, je ne fais pas plus de sport… Je digère mieux et on m'a complimentée sur la qualité de mon teint. Mais surtout, moi qui suis très sensible sur le plan ORL à raison de 8 à 10 sinusites par an, je n'en ai eu que deux cette année. C'est un gain de bien-être colossal. De la même façon, une forte allergie aux pollens m'impose ordinairement de prendre des antihistaminiques quotidiennement de janvier à mai. Nous sommes le 3 avril, et je n'en ai toujours pas ressenti le besoin malgré des déplacements dans des pays où il y a avait des arbres auxquels je suis très allergique.
Avez-vous trouvé une explication à cela ?
Très peu car cela n'a pas été étudié. Quelques études scientifiques semblant dire que le sucre a un effet inflammatoire, ce qui pourrait expliquer la disparition de ma cellulite aussi, car on sait qu'il s'agit d'une inflammation des graisses. Pour avoir un point de vue scientifique probant et extrapolable, il faudrait que des centaines d'autres personnes fassent la même expérience que moi, ce qui semble peu probable.
En quoi l'année écoulée a-t-elle transformé votre perception de notre alimentation ?
Les habitudes alimentaires sont une construction sociale. Elles sont donc le produit de notre époque mais aussi, depuis un siècle, du marketing. Je pense sincèrement que notre organisme n'est pas fait pour accumuler des quantités importantes de sucre. L'homme est apparu dans un environnement où les sucres simples étaient très rares et il me semble qu'il faut lui rendre cette rareté. Or depuis une cinquantaine d'année, le sucre est omniprésent, notamment dans les plats industriels. Je ne dirais pas que c'est une substance dangereuse mais c'est un produit dont il ne faut pas abuser. D'ailleurs, j'ai recommencé à en consommer un peu après la fin de cette année «sans sucres», mais je me rends compte que j'en ai peu envie spontanément. Quand je mange un bon gâteau, je me contente de quelques cuillères: je trouve ça délicieux et ça me suffit. Actuellement, j'en mange une à deux fois par semaine, plus deux carrés de chocolat hebdomadaires. Ce qui est troublant toutefois, c'est que j'ai réalisé que depuis que j'en remange un peu, j'y pense plus souvent qu'avant.
santé.lefigaro.fr