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Travailler trop peut conduire à boire trop d'alcool
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Aller au dernier commentaireUtilisateur désinscrit
Bonjour,
Au prime abord, ma réaction est celle-ci :
Travaillant plusieurs décennies avec une moyenne de 50 à 80 heures hebdomadaires, comment aurais-je pu trouver le temps de boire ? et aussi assurer mon travail ?
Durant mes expériences professionnelles, je remarquai que les Dirigeants d'Entreprises négociaient les Contrats, certes par téléphone, mais la finalité se réglait au restaurant, boissons comprises où l'eau ne trônait pas sur la table.
De même, ces mêmes Dirigeants possédaient dans leur bureau, un réfrigérateur. Lors de RDV fin de matinée, ou AM, l'apéritif était servi. Mais le Dirigeant, seul derrière son bureau, je doute qu'il prenne "un remontant" plusieurs fois par jour : il travaillait car il avait la charge d'Administrer une Ets qui passe par l'Economie propre mais également la responsabilité de centaine d'employés.
Hors travail, je présume sans doute davantage de laisser-aller mais ce n'est une généralité.
Je constatais dans une autre Multinationnale.....que les Commerciaux avaient chacun une bouteille de whisky dans le tiroir. Cela ne me regardait pas, je constatais que physiquement cela se voyait et aussi dans leur attitude parfois...
Je connus un enployé qui dès 8H du matin.... sentait le whisky. Il ne pouvait assurer son travail. Licencié, aggravation certaine.
J'ai aussi connu des personnes qui en situation de chômage ou leur vie personnelle étaient des facteurs déclenchant ou aggravant. En retrouvant une activité, une vie meilleure, des finances, l'alcool est renforcé malheureusement.
Selon la Législation en vigueur en France, la consommation d'alcool est interdite au sein d'une Société même hors des heures légales. Entre la Loi et ce qui se vit entre les murs....
Ce ne sont que des expériences personnelles visuelles.
Désolée pour la longueur, je suis longue à trouver les mots sans choquer quiconque. Mémoire omniprésente juste une concentration en berne. Merci
Serena
matinclair
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matinclair
Dernière activité le 12/05/2022 à 10:37
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Bonjour,
Alors moi je dis qu'il ne faut tout généraliser !! je suis d'une époque ou l'on travaillait plus de 45 h par semaine plus des heures sup !! et ce n'est pas pour çà que toute la population était alcoolo!!!!! moi perso j'ai toujours eu horreur de çà !!
Par contre j'ai une histoire à vous racontez !!!
Jai eu un cas dans la famille qui est devenu alcoolo mondain au début !! bon whiski plus de 3 verres noyés dans du périer en apéro à chaque repas, comme çà on voyait rien !! ou caché dans du jus d'orange !! ni vu ni connu !!! plus du vin rouge à table, plus de la bière toute l'am et ensuite il partait travailler !!! je vous dis pas dans quel état !!! et le soir en rentrant hop il remettait çà !!! comme le midi !!! plus le vin à table, et plus rebellote la bière toute la soirée et on recommencait comme çà tous les jours !!! et ce beau mr était docteur !!! et il a fini par être radier de l'ordre des médecins bien sur, car les gens ont commencé à se plaindre !! ce qui est normal !!! et il n'est plus médeçin à l'heure actuelle mais il continue de picoler comme un trou !! et ce qui est lamentable dans cette histoire c'est qu'il a entrainé sa femme dans la descente au enfer !! c'est triste d'en arriver là !!! et bien sur on a tout essayé dans la famille pour faire arrêter tout çà !!! mais rien n'a fonctionné car ils font du dénie et ils ne veulent pas se soigner et çà continue toujours !! Que faire quand tout cela arrive dans une famille ???? surtout quand ils ne veulent rien entendre ???? bien triste !!!
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matinclair
scoobidoo
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scoobidoo
Dernière activité le 27/01/2024 à 01:45
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2 713 commentaires postés | 460 dans le groupe Revue de presse
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L'alcoolisme est une maladie, les malades sont souvent dans le déni car ils sont convaincus de pouvoir maîtriser.
Ce monsieur n'a pas entraîné son épouse, elle l'a suivi inconsciemment.
L'alcoolique ne peut s'en sortir sans aide, mais comment demandera t-il de l'aide si vous lui mettez une telle image devant lui. Si vous dites : il picole, c'est de sa faute, sur qu'il ne peut pas accepter.
La seule chose à faire est le refus. D'accord, tu ne peux pas faire sans, alors ce sera sans moi, je n'assiste plus aux réunions de famille ou autres où tu seras, je sais que c'est une maladie qui peut se soigner.
Comme il n'y a que les douloureux qui peuvent vraiment parler de la douleur, il n'y a que les dépendants qui savent ce qu'ils ressentent.
Etes vous coupables de vos maladies ?Je précise, j'ai été dépendante et il y a 25 ans que je n'ai pas consommé d'alcool.Francine
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La vie est belle si on ne lui demande pas plus que ce qu'elle peut donner.
ayla55
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ayla55
Dernière activité le 06/10/2024 à 18:15
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c'est pour ça que j'essaye de ne pas trop travailler . je fais le service minimum . je préfère largement me reposer . donc à vos transat .
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la vie est belle
Utilisateur désinscrit
Il ne faut pas généraliser en effet. Mais quels mots trouver ? notamment pour la famille sans culpabiliser l'autre =incitation à reprendre un verre.
On ne peut obliger qqun d'arrêter de boire, ou autres addictions telles drogues, cigarettes....comme de l'obliger à se soigner.
En revanche, on peut inciter/obliger qqun à le faire....pour suivre le mouvement social. Et cela est dommageable, c'est l'engrenage; je pense notamment aux jeunes plus influençables ou des adultes fragilisés à un moment de leur vie pour X raisons.
Cela rejoint le sujet de Francine "comment faire comprendre à ses proches la douleur" ? . Et ne pas tomber ds "les formules de motivation " qui renforceront celles "de douleurs psychologiques"
Physiques ou psychologiques ce sont des douleurs.
Séréna
Utilisateur désinscrit
bonsoir:Il ne faut surtout pas faire comme moi,s'arrêter brutalement et sur un coup de tête,j'en ai fait un A.V.C.dont je me souviendrais toute ma vie.enfin je m'en suis remis grace au jeu d'echec et beaucoup de volonté maintenant et depuis deux ans je bois de l'eau rouillée de mon robinet.c'est triste mais c'est comme ça
Utilisateur désinscrit
Personnellement j'ai beaucoup travaillé et quand on discute de cela avec mes amis je dis parfois en riant que j'ai travaillé longtemps 35 heures par jour et non 35 heures par semaine (inclus mon bénévolat pour des Associations de Diabétiques les dimanches, le soir très tard, les jours fériés et des traductions toujours en bénévole pendant mes vacances aussi). Mais je n'ai jamais bu d'alcool sauf en des occasions exceptionnelles : fêtes, anniversaires, célébration de diplômes concernant des amis, de la famille... ou moi-même.
Ce qui me surprend c'est que des études en tous genre sont de + en + effectuées partout. Bien sûr, les chercheurs sont payés pour chercher. J'aimerais mieux peronnellement qu'ils trouvent de temps en temps, surtout les moyens de certaines maladies incurables.
Alors je me demande parfois si certaines études ne sont pas faites pour justifier un emploi... ou le salaire qui va avec, ce qui pourrait expliquer pourquoi on oriente certaines recherches sur certains sujets.
Utilisateur désinscrit
bonjour,moi j'avais un médecin qui était sourd comme un pot et j'ai fallie mourir a cause de lui:suivie par lui tout les mois pour mon diabète il écoutait mon coeur comme si de rien n'était jusqu'au jour ou je me suis apperçu qui ne pépondais pas a mes questions et qu'il regardait surtout mes lèvres.Après ma décompensation cardiaque j'ai compris,et depuis je l'ai quitté et il a repris ses études pour se spésialiser dans le dommaine de la psychiatrie.il ne se sert plus du stétoscope,mais je souhaite bonne chance aux déprimés et autre malades
Utilisateur désinscrit
minuscule : il me semble que ce que tu dis sort complètement du sujet puisqu'il est question d'un article qui constate que les gens qui travaillent trop sont + exposés que les autres à tomber dans l'alcoolisme.
Utilisateur désinscrit
trop travailler n'oblige pas à boire.ceux qui boivent c parce qu'il aime sa ou sont entrainé par d'autres.
c mon point de vue.
je n'aime pas l'alcool en général.je n'en bois jamais.
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Julien
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Julien
Dernière activité le 12/06/2024 à 11:32
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10 075 commentaires postés | 815 dans le groupe Revue de presse
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Attention si vous travaillez trop ! Des chercheurs mettent en garde contre le double excès - travail et alcool - préjudiciable à la santé dans une étude publiée mercredi 14 janvier.
L'analyse d'une série d'études englobant plus de 400.000 personnes montre que les individus qui travaillent plus de 48 heures par semaine, soit au-dessus du seuil d'une directive européenne sur le travail, ont une plus grande probabilité de s'engager dans une consommation à risque pour leur santé, selon l'étude parue dans "The British Medical Journal" (BMJ).
Une consommation à risque d'alcool correspond à plus de 14 boissons alcoolisées par semaine pour une femme et plus de 21 pour un homme, note les auteurs. La référence pour une boisson est généralement l'"unité" d'alcool, soit 10 grammes d'alcool pur, correspondant à un verre standard (verre de bistrot ou de bar), comme par exemple un petit verre de whisky (3 centilitre ou cl), un verre de vin (10 cl à 12°) ou une chope de bière (25 cl à 5°).
Les données individuelles montrent que les personnes qui travaillent de 49 à 54 heures par semaine, ou celles dont le travail hebdomadaire s'étend sur 55 heures ou plus, ont un risque accru du même ordre (13% et 12% respectivement) d'abuser de l'alcool, par comparaison à des employés travaillant 35 à 40 heures par semaine.
Les longues heures de travail ont été liées auparavant à un risque accru de maladies cardiovasculaires, d'accidents du travail et des problèmes de santé mentale, notent les auteurs.
Revoir la réglementation du temps de travail
Cette recherche, réalisée par une équipe internationale, englobe 14 pays développés : l'Allemagne, l'Australie, la Belgique le Canada, le Danemark, l'Espagne, les Etats-Unis, la France, la Finlande, le Japon, la Nouvelle Zélande, le Royaume-Uni, la Suède, et Taïwan.
L'augmentation de la probabilité de développer des habitudes de consommation à risque en raison d'un excès de travail est faible dans l'absolu, mais justifie un examen attentif relève dans un commentaire dans la revue, Cassandra Okechukwu de l'Ecole de santé publique d'Harvard (Etats-Unis).
Avoir un travail est associé avec une fréquence moindre de consommation d'alcool et de plus grandes chances de guérir d'un abus d'alcool que lorsque l'on est au chômage, ajoute-t-elle. Néanmoins ce risque doit être pris au sérieux, selon elle.
Ces résultats pourraient donner un nouvel élan à une nouvelle réglementation du temps de travail au titre de la santé publique, estime cette spécialiste en évoquant "la pression croissante" pour exclure une proportion grandissante de travailleurs des normes actuelles qui limitent les heures de travail en Europe et dans d'autres pays développés.
Le Nouvel Observateur