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Stress au travail : une perception difficile, une réalité destructrice
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Utilisateur désinscrit
comme je l'ai évoqué sur un autre sujet ...j'ai vécu une période de chômage suite à un licenciement qui finalement fut "arrangé" entre avocats..(en ma faveur) === harcélement psychologique (afin que je démissionne 30 ans ds la même entreprise!) et tout ce qui en découle...stress, malaises, dépression... très dur à vivre...
ayla55
Bon conseiller
ayla55
Dernière activité le 06/10/2024 à 18:15
Inscrit en 2014
1 054 commentaires postés | 28 dans le groupe Revue de presse
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le stress en entreprise est partout. il y en a marre des ordres bidon, de la pression de la hiérarchie.
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la vie est belle
Utilisateur désinscrit
Je pense qu'il existe 2 sortes de stress au travail : celui des conditions de travail et le travail en lui-même.
Séréna
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Julien
Bon conseiller
Julien
Dernière activité le 12/06/2024 à 11:32
Inscrit en 2012
10 075 commentaires postés | 815 dans le groupe Revue de presse
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Ordre et contre-ordre, pression des objectifs, manque de reconnaissance et de temps, absence de sens sur ce que l’on fait… Les sources de stress au travail sont nombreuses et souvent mal perçues. Entre les problèmes personnels et les angoisses professionnelles la frontière est également souvent ténue, parfois niée. Une chose est certaine : le stress au travail est beaucoup plus négatif que positif, tandis que le mieux-être est toujours productif.
« Difficile de définir le stress au travail », reconnaît Anne-Marie Penzo, consultante à la direction régionale du cabinet Secafi, responsable de l’équipe « changement, travail, santé ». « Un état de stress survient quand il y a déséquilibre entre la perception qu’une personne a des contraintes que lui impose son environnement, et la perception qu’elle a de ses propres ressources pour y faire face. » De fait, en entreprise, le stress peut découler de multiples facteurs : le contenu et l’organisation du travail, l’environnement de travail, une mauvaise communication, etc.
Moins de souffrances physiques...
« La situation n’est pas neuve, sauf qu’auparavant, on abordait la question en lien avec la charge et les conditions de travail. Aujourd’hui, on doit prendre conscience que la souffrance psychique découle aussi de l’organisation et du contenu du travail. On passe de contraintes physiques en recul, vers une tension au travail en augmentation. »
... plus de souffrances psychiques, comme la dépression
Une souffrance psychique malheureusement mal quantifiée, le stress n’étant pas reconnu au titre des maladies professionnelles. En 2012, l’Atlas régional de la santé au travail réalisé par la DIRECCTE (direction régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi) estimait que 33 % des pathologies signalées étaient qualifiées de souffrances psychiques. Parmi elles, 70 % étaient des situations de dépression, 18 % de l’anxiété, 6 % des troubles du sommeil, 4 % des burn-outs (syndrome d’épuisement professionnel).
« Les exigences qui pèsent sur les individus ou les collectifs ont évolué, estime Anne-Marie Penzo. Les conditions de réalisation du travail ont changé. Que ce soit au niveau de la flexibilité plus grande du temps de travail, de la pression temporelle accrue par les nouvelles technologies, de l’angoisse liée à l’incertitude du lendemain. Les exigences psychologiques sont plus fortes ».
Les formations à la gestion du stress ne suffisent pas. « L’enjeu est la mise en place d’actions de prévention et de réflexion directement intégrées à l’organisation des entreprises. Former les managers, suivre les situations individuelles, ou mettre de jolies plantes vertes dans les bureaux ne régleront pas de mauvaises conditions de travail. Plus encore que la qualité de vie au travail, la qualité du travail est à prendre en compte. »
Lavoixdunord.fr