- Accueil
- Échanger
- Forum
- Forums généraux
- Revue de presse
- Santé : le pilotage des dépenses se tend
Santé : le pilotage des dépenses se tend
- 121 vues
- 3 soutiens
- 10 commentaires
Tous les commentaires
Utilisateur désinscrit
Espérons qu'aucune épidémie particulière ne montre le bout de son nez...
Utilisateur désinscrit
pfff et après on veut faire reconnaître le burb-out comme maladie professionnelle
Lorkasil
Bon conseiller
Lorkasil
Dernière activité le 24/10/2024 à 12:12
Inscrit en 2014
10 354 commentaires postés | 254 dans le groupe Revue de presse
4 de ses réponses ont été utiles pour les membres
Récompenses
-
Bon conseiller
-
Contributeur
-
Messager
-
Engagé
-
Explorateur
-
Evaluateur
Eh ouais, Le Sage, cela sent encore les augmentations de cotisations, le gel des pensions en ts genre et le déremboursement à plein nez !! On va y arriver à grand pas à une assistance à deux vitesses !! l'écart se creuse de plus en plus !!
Voir la signature
Lorkasil
Utilisateur désinscrit
bah ouai !!!!
malheureusement ce sont tjrs les mêmes qui trinquent, pas les hauts gradés ni les fraudeurs qui EUX coûtent très chers
Utilisateur désinscrit
Et oui
alyzée
Bon conseiller
alyzée
Dernière activité le 14/05/2023 à 11:44
Inscrit en 2015
1 596 commentaires postés | 164 dans le groupe Revue de presse
1 de ses réponses a été utile pour les membres
Récompenses
-
Bon conseiller
-
Contributeur
-
Messager
-
Explorateur
-
Ami
et l'initiative d'AXA qu'en pensez vous ?
En Juin, Axa proposera aux 2,2 millions de bénéficiaires de ses contrats collectifs santé, un service de télémédecine ouvert à toute heure du jour et de la nuit. Le médecin au bout du fil sera payé par l'assureur.
Plus que de simplement vous conseiller en fonction des symptômes que vous expliquerez au téléphone, le médecin pourra aller jusqu'à transmettre une ordonnance à la pharmacie de votre choix.
En revanche, ils ne seront pas habilités à vous fournir des certificats médicaux, des arrêts de travail ou à renouveler vos ordonnances. Si votre cas est urgent, il vous redirigera vers le 15. Tous les entretiens seront protégés par le secret médical.
S'il n'y a pas d'objections légales à faire concernant la mise en œuvre du dispositif de télémédecine d'Axa, le Conseil de l'Ordre ne s'est pas gardé d'adresser une note à la Ministre de la santé, Marisol Tourraine, pour dénoncer une « aberration » : un médecin donnant un conseil par téléphone n'est pas rémunéré, les actes de télémédecine n'étant pas facturables. Pourtant, le médecin chargé de la télécommunication sera payé par l'assureur. En soit, cela ne change rien pour le patient : dans les deux cas, il ne débourse pas un centime.
La plupart des diagnostics nécessitant une consultation physique, le service d'Axa relèvera surtout du téléconseil plutôt que de la télémédecine, mais restera un outil apprécié dans les déserts médicaux où un rendez-vous chez le médecin peut nécessiter jusqu'à deux semaines d'attente.
Par Sylvain Leleu le 04 juin 2015 |
alyzée.
Utilisateur désinscrit
Ce service de télémédecine sera néanmoins payant car il fera partie des clauses des contrats collectifs santé de l'assureur. Faut-il encore bénéficier d'un tel contrat. J'en avais un, justement chez AXA, lorsque j'étais encore salariée. Une merveille. Pour avoir l'équivalent à la retraite il m'aurait fallu dépensé plus de 150 € par mois pour la couverture alors que je payais un dixième de ce montant en tant que salariée et rien du tout ensuite en ALD...
quesaquo
Bon conseiller
quesaquo
Dernière activité le 30/09/2024 à 09:06
Inscrit en 2012
839 commentaires postés | 94 dans le groupe Revue de presse
25 de ses réponses ont été utiles pour les membres
Récompenses
-
Bon conseiller
-
Contributeur
-
Messager
-
Engagé
-
Explorateur
-
Evaluateur
J'ai l'impression que la santé est devenue un business dont nous sommes devenus les otages, non? Était - ce cela aussi, avant? Comment cela s'explique t' il? En plus de la maladie, c'est dur à gérer!Et n’améliore pas le stress...bientôt le burn out des malades?
alyzée
Bon conseiller
alyzée
Dernière activité le 14/05/2023 à 11:44
Inscrit en 2015
1 596 commentaires postés | 164 dans le groupe Revue de presse
1 de ses réponses a été utile pour les membres
Récompenses
-
Bon conseiller
-
Contributeur
-
Messager
-
Explorateur
-
Ami
c'est à nous de faire nos choix sans être "sous influence"..
Utilisateur désinscrit
J'ai fait un copier/coller, dans la rubrique Revue de presse, d'un article lu ce matin et intitulé "la mafia du médicament". Allez donc voir...
Donnez votre avis
Articles à découvrir...
23/11/2024 | Actualités
18/11/2024 | Actualités
Médicaments et libido : les traitements qui peuvent affecter votre désir sexuel ?
16/11/2024 | Actualités
Troubles de l’attachement : quelles conséquences sur nos relations interpersonnelles ?
08/11/2024 | Conseils
La procrastination : mauvaise habitude ou stratégie secrète pour prendre soin de soi ?
09/01/2019 | Nutrition
14/02/2019 | Conseils
La vie amoureuse à l’épreuve de la maladie : comment faire face ?
15/04/2019 | Conseils
S'abonner
Vous souhaitez être alerté des nouveaux commentaires
Votre abonnement a bien été pris en compte
Julien
Bon conseiller
Julien
Dernière activité le 12/06/2024 à 11:32
Inscrit en 2012
10 075 commentaires postés | 815 dans le groupe Revue de presse
25 de ses réponses ont été utiles pour les membres
Récompenses
Bon conseiller
Contributeur
Messager
Engagé
Explorateur
Evaluateur
Le respect des objectifs de dépenses d'assurance-maladie va devenir de plus en plus compliqué. En avril, 425 millions d'euros ont été retranchés du budget 2015 de l'Assurance-maladie, lorsque le gouvernement a donné un nouveau tour de vis à la progression de l'objectif national des dépenses (l'Ondam), revu de + 2,1 % à + 2,05 % (soit 0,35 point de moins qu'en 2014). Ce qui implique au total 3,2 milliards d'économies par rapport à la croissance naturelle des coûts. L'objectif de dépenses est désormais fixé à 181,9 milliards.
La marge de manœuvre pour exécuter le budget se réduit. C'est ce que souligne le comité d'alerte sur l'évolution des dépenses d'assurance-maladie, dans un avis rendu public mardi. « L'Ondam, tel qu'il a été voté en loi de financement de la Sécurité sociale pour 2015, devrait pouvoir être respecté », mais « assurer le respect de l'Ondam voté, et à plus forte raison de l'Ondam revu à la baisse suite au programme de stabilité, impose de renforcer le pilotage des dépenses », prévient cette instance indépendante.
Ce qui inquiète le comité, à court terme, ce ne sont pas les dérapages du prix des médicaments contre l'hépatite C. En 2014, deux laboratoires ont procédé à 600 millions de remises sur le tarif de vente de leur molécule. Cela a permis de ramener la totalité des dépenses de l'année à 177,9 milliards, soit 400 millions de moins par rapport à la prévision d'octobre. L'ennui, c'est plutôt la quasi-disparition du « matelas » de sécurité permettant de garantir l'atteinte de l'objectif. « Contrairement aux années précédentes, l'exécution 2015 ne bénéficie d'aucun effet de base favorable », souligne le comité. Les efforts réalisés sur les soins de ville ont été contrebalancés par le coût de l'hépatite C. Ceux sur l'hôpital doivent beaucoup à l'annulation de crédits mis en réserve.
Résultat, le stock de crédits gelés n'est plus que de 372 millions, soit 0,2 % de l'Ondam, « un montant faible pour faire face aux aléas inévitables de la gestion 2015 ». Or, les rémunérations forfaitaires des médecins montent en puissance, les charges d'indemnités journalières atteignent des sommets (malgré une baisse, encore non significative, en avril), et le coût des dispositifs médicaux galope. En cas de risque sérieux de dérapage, le rôle du comité est de donner l'alerte, un mécanisme qui obligerait le gouvernement à présenter des mesures de redressement. Ce n'est pas d'actualité pour l'heure, mais la situation sera scrutée de près dans les prochains mois
LesEchos.fr