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Médicaments : le grand gâchis des traitements mal suivis
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tanamdsr
Bon conseiller
tanamdsr
Dernière activité le 28/09/2020 à 09:56
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Ami
Bonjour à tous
C'est dommage mais un peu normal, lorsque l'on vous donne le droit d'être malade, il y a quelques temps il y avait en publicité sur les camionnettes de livraison pharmacie "LA PHARMACIE C'EST LA VIE" un peu grave comme pub.
Le fait que c'est gratuit "beaucoup en profite" c'est presque un droit. Et de toutes façons l'argent santé déduis sur les salaires vont dans la manne des Laboratoires ont vous aide lors d'une maladie, mais pour les yeux,les prothèses dentaires et les appareils auditifs les remboursement sont nuls et pour causes ça n'intéresse pas les labos. Dans la nature toute la pharmacie est présente et puis certains médecins chercheurs ont été écarté et pour cause ils avaient trouvé la ou les solutions à moindre coût
Utilisateur désinscrit
Si tout le monde est responsable alors pas de quoi s'affoler pour une fois qu'on n'accuse pas les mêmes : les patients. De plus, les contrôleurs sont les professionnels et parfois on se demande où ils se planquent.
Dans le forum "des génériques". On n'est pas débiles et pourtant on se plante parce que les pharmaciens ne disent rien, n'écrivent pas sur les boîtes l'original et même le médecin pourrait indiquer entre guillements l'original.
Mais si le médecin en 1er ne l'indique pas, c'est pour éviter que le patient ne s'en rende compte. Il est mis au pied du mur par le pharma qui ordonne le générique et sans les finances, le patient est pieds et poings liés.
Séréna
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Julien
Bon conseiller
Julien
Dernière activité le 12/06/2024 à 11:32
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Parmi les pathologies étudiées, seuls 13 % des asthmatiques sont considérés comme « observants ». Il en est de même pour l’hyper-tension artérielle (HTA), dont seuls 40 % des patients suivent régulièrement leur traitement. Cela est d’autant plus dommageable que l’HTA est la première cause d’accident vasculaire cérébral.
Les causes sont multiples, tenant au patient lui-même, au médecin et au pharmacien, aux caractéristiques des médicaments (posologie, présentation, durée de traitement etc.) et enfin à la manifestation des pathologies.
Les auteurs suggèrent de sensibiliser les professionnels de santé à cette problématique et d’améliorer l’information des patients. Les nouveaux outils technologiques offrent une aide précieuse et un accélérateur d’observance. Enfin, ils soulignent l’intérêt d’une action spécifique en direction des associations de patients et de l’environnement social et familial des malades.
50 % d’observance d’ici à 2020
L’étude met en lumière le vaste champ d’amélioration des prises en charge thérapeutiques actuelles. Celles-ci justifient une mobilisation des pouvoirs publics et de l’industrie pharmaceutique dont les intérêts sont, pour une fois, alignés.
Un objectif raisonnable pourrait être d’atteindre 50 % d’observance d’ici à 2020. A cet égard, les pouvoirs publics devraient adopter une politique incitative pour promouvoir l’observance. Cette incitation pourrait être d’ordre financier, en rémunérant les efforts effectués par les pharmaciens et médecins pour parvenir à ces objectifs.
L’enjeu n’est pas seulement financier. « On devrait parler d’une grande cause nationale. Avec une meilleure observance, l’efficacité des traitements est décuplée, ce qui va rejaillir de façon décisive sur toutes les étapes de la prise en charge des patients », conclut Vincent Bilstein.
LesEchos.fr