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L'UE défend la vaccination après des morts suspectes en Italie
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Utilisateur désinscrit
"Risque de ramener la tuberculose !" depuis 25 ans elle revient en France. Or, le BCG n'est plus obligatoire depuis 2006 !
Ayant été vacciné, j'ai malgré tout contracté une "primo-infection" en 94.
Une fois de plus la vérité est ailleurs et vacciner en masse.....on n'est pas des bestiaux ! ils recherchent de nouveaux vaccins.....ou de nouvelles maladies ?
Séréna
rashid
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rashid
Dernière activité le 17/08/2024 à 20:45
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Ami
Pour ce qui du vaccin contre la grippe je le recois annuellement durant le mois d'octobre, mais à lire a/s des trois décès en Italie , j'ai un froid au dos.bonne soirée a vous.
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Rachid Kerrache
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Julien
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Julien
Dernière activité le 12/06/2024 à 11:32
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Après la suspension d'un vaccin contre la grippe en Italie, suite à trois mort suspectes, les ministres de la Santé de l’UE ont serré les rangs lundi en faveur de la vaccination qui suscite une méfiance croissante chez les Européens.
La suspension jeudi par l’Agence italienne de pharmacologie de deux lots du vaccin fluad, du groupe suisse Novartis, a été décidée «à titre de précaution» dans l’attente des résultats des analyses menées, a indiqué la ministre italienne, Beatrice Lorenzin, à son arrivée à une réunion avec ses homologues. La mesure suit trois décès suspects, selon la presse italienne, de deux femmes âgées de 87 et 79 ans et d’un homme de 69 ans, dans le sud de l’Italie.
La vaccination «est d’une importance fondamentale» pour la santé publique, «nous ne pouvons pas baisser la garde» devant la méfiance qui se développe en Europe«sur des bases non scientifiques» face à cet outil de prévention, a souligné Mme Lorenzin. Devant ses homologues, elle a mis en garde contre le «faux sentiment de sécurité» entretenu en Europe face aux menaces sanitaires. L’épidémie d’Ebola en Afrique«devrait rappeler à chacun l’importance» de la lutte contre les agents pathogènes, a-t-elle insisté.
«Scepticisme»
«Nous devons inverser la tendance actuelle de scepticisme», qui risque de ramener en Europe des épidémies de poliomyélite, rubéole ou tuberculose, a également plaidé le commissaire européen à la Santé, Vytenis Andriukaitis. Alors que la vaccination est de moins en moins obligatoire dans les Etats membres, il a souligné la nécessité d’étendre les programmes de vaccinations au delà de l’enfance.
Dans leurs conclusions, les ministres plaident aussi pour plus de vaccination des personnels de santé, et le développement de la recherche de nouveaux vaccins. Face au «nombre croissant de refus de vaccination dans certains États membres», ils rappellent la dimension collective de la protection offerte par les vaccins.
«Les campagnes générales de vaccination ont permis d’interrompre la circulation de pathogènes grâce au phénomène de l''immunité de groupe'», qui «pourrait dès lors être considérée comme un objectif des plans de vaccination nationaux», relèvent-ils.
Libération.fr