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Don d’organe : l’Ordre des médecins s’oppose au principe du consentement présumé
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Utilisateur désinscrit
Rien d'étonnant ! L'ordre des médecins a toujours organisé la pénurie... Il est dans son rôle...
belfegor18
Bon conseiller
belfegor18
Dernière activité le 10/08/2024 à 12:11
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Personne n'est sensée ignorer la loi ; et pourtant combien savent ce que projette Mme TOURAINE ? Combien pourraient se trouver devant un fait accompli ? Comme on l'a dit récemment, il y a encore des gens qui pour diverses raisons se refusent à l'amputation du corps d'un être qui leur est cher. Ceci est le point de vue de tout un chacun, et doit être respecté.
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Belfegor18
Chris31
Membre AmbassadeurBon conseiller
Chris31
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Dernière activité le 21/11/2024 à 16:23
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Dans un tel moment , et en l'absence de directives énoncées par le défunt , il est normal que la famille du défunt soit décisionnaire !
Non au prélèvement automatique et contre l'avis de la famille !
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Chris31- Faites que le rêve dévore votre vie, afin que la vie ne dévore pas votre rêve. Antoine de Saint-Exupéry
Utilisateur désinscrit
CONTRE AUSSI.
Utilisateur désinscrit
Entièrement d'accord avec Chris...
Moi-même qui est déjà rédigé mes directives anticipées en cas de fin de vie, je n'ai pas pensé à y inclure si je voulais ou on être donneur d'organes. De même, là, de suite, je ne sais même pas si je voudrai l'être. Dans l'absolue, il me semble évident que si certains de mes organes peuvent sauver ou aider quelqu'un, alors il faut qu'ils soient prélevés. D'un autre côté, ne sachant ce que ma compagne et famille penserait de cette décision dans ce moment douloureux que serait déjà la gestion dans leur coeur de ma mort, je me demande s'il ne vaut pas mieux que je les laisse décider le moment venu. Ce post me fait donc penser qu'il va falloir que j'en parle avec eux...
chris94
chris94
Dernière activité le 01/12/2020 à 13:44
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Bonsoir, voilà une sage décision...mon mari attend un cœur depuis presque 5 mois et il faut absolument en parler en famille. A ce sujet je viens d'envoyer un PDF sur le don d'organes à tous mes amis et famille afin d'en parler, il faut prévoir les choses, on ne sait pas ce que la vie nous réserve et ne laissons pas la décision à nos proches dans ces moments difficile.
Utilisateur désinscrit
Bien d'accord Chris en parler c'est important, ça simplifie la prise de décision le moment venu (si moment venu il y a), tout comme parler de l'acharnement thérapeutique, de ses obsèques .. est important
Utilisateur désinscrit
chris94 merci d'avoir remis "l'objet du don d'organe" en perspective.
S'il arrivait quelque chose d'irréparable à mon fils et qu'on me demande à prélever un ou plusieurs de ses organes, je crois que je serais profondément heureuse de dire oui afin que sa mort serve à quelque chose ou plus précisément à quelqu'un. Nous en avons déjà parlé ensemble et je crois que nous avons la même vision des choses aujourd'hui encore.
Parler en famille de ces questions-là est important.
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Julien
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Julien
Dernière activité le 12/06/2024 à 11:32
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Présenté par Jean-Louis Touraine et Michèle Delaunay, cet article stipule que « le prélèvement peut être pratiqué sur une personne majeure dès lors qu’elle n’a pas fait connaître, de son vivant, son refus d’un tel prélèvement ». La personne peut exprimer son refus – révocable à tout moment – « principalement par l’inscription sur un registre national des refus » ou au moyen d’autres voies, qui seront déterminées à l’issue d’une concertation puis d’un décret.
Le médecin devra « informer » les proches du défunt « de la nature et de la finalité » du prélèvement, à la différence d’aujourd’hui où la famille est « consultée » pour connaître la position du défunt lorsqu’elle n’a pas été explicitée au préalable.
Refus d’exclure les proches
L’Ordre des médecins « plaide pour que le prélèvement d’organes sur une personne décédée soit subordonné à sa décision, de son vivant, ou à défaut, à l’assentiment de ses proches », lit-on dans un communiqué. « Il s’oppose fermement à ce que les proches soient exclus de ce processus », insiste le CNOM.
Dans l’ignorance des souhaits du défunt, « les médecins refuseraient le prélèvement s’ils devaient se dispenser du consentement de la famille en amont. Le don d’organe se fait lors d’un drame. Il serait très brutal d’aller voir les proches en disant "on prélève un œil car on a besoin de la cornée" », assure au « Quotidien » le Dr Jean-Marie Faroudja, président de la section éthique et déontologie de l’Ordre. « Dans ce cas, il faut une discussion avec la famille sur ce qu’aurait pu être l’intime conviction de la personne, et non sur ce que la famille désire », précise l’élu ordinal.
Comme la fin de vie…
Pour répondre au besoin criant d’organes (argument mis en avant par les auteurs de l’amendement), le Dr Faroudja croit au développement de la communication, afin que les citoyens expriment leur position de leur vivant. Aux médecins et professionnels de santé d’aborder la question lors du colloque singulier.
« Il faut une politique d’information en amont pour amener les Français à faire connaître leurs volontés à froid, que ce soit dans le dossier médical partagé, lors de la rédaction des directives anticipées sur la fin de vie, ou de la désignation de la personne de confiance » explique-t-il. « Parler des directives anticipées peut amener à parler du don d’organe, et réciproquement », souligne-t-il.
Plutôt qu’un registre du refus, le Dr Faroudja juge essentiel un « registre du oui », au moins en parallèle.
La ministre de la Santé Marisol Touraine s’est dite favorable à une concertation pour aboutir à un consensus. « Sur un sujet comme celui-là, nous ne pouvons pas donner le sentiment d’imposer une démarche : nous avons besoin d’engager une démarche qui rassemble tous les acteurs concernés – les professionnels, les familles, les associations », avait-elle déclaré.
L’Ordre approuve. « Il faut interroger les équipes de préleveurs, en lien direct avec les familles, et de transplanteurs, ainsi que tous les professionnels, pour savoir ce qu’ils pensent et organiser une large concertation », indique le Dr Faroudja.
Lequotidiendumédecin.fr