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Dépénalisation du cannabis : l'avis d'un psychologue
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Aller au dernier commentaireUtilisateur désinscrit
bonjour, je vous parle de choses que j'ai vues..certain que le cannabis fumé aide à supporter la chimio. c'est indéniable. mais au vu des cancers des bronches à petites cellules qui ont tué mes potes 3 ans après....ça fait réfléchir. un seul joint bien tapé en résine, ça mitraille les poumons comme 50 cartouches....peut être consommé sous une autre forme. tout le monde est démuni car la morphine doit doubler tous les 3 jours et les effets secondaires....avec la douleur, on est dans une m....noire! crasse de maladie!
AFIFMAHJOUB
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AFIFMAHJOUB
Dernière activité le 09/08/2018 à 23:01
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Ami
bonjour
je fume huile de canabis
tous les soirs après manger
franchement ca m change la vie
je dors bien je m réveil comme un
si j'ai 25 ans je sens plus les douleurs de ma jambe et les problèmes avec ma femme
bizou afif
a bientot
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Afif
Utilisateur désinscrit
Bonjour,
Nous sommes en France et même si le Décret n° 2013-473 du 5 juin 2013 (modifiant en ce qui concerne les spécialités pharmaceutiques les dispositions de l’article R. 5132-86 du code de la santé publique relatives à l’interdiction d’opérations portant sur le cannabis ou ses dérivés) autorise le cannabis et ses dérivés dans les médicaments « ne sont pas interdites les opérations de fabrication, de transport, d’importation, d’exportation, de détention, d’offre, de cession, d’acquisition ou d’emploi, lorsqu’elles portent sur des spécialités pharmaceutiques. » au vu des études ayant en effet démontré que le THC possède plusieurs vertus, l’utilisation et la consommation de cannabis sont autorisées mais encore toujours très encadrées et encore une fois ne concernent que les médicaments.
Fumer un joint pour calmer ses douleurs ou ses angoisses sur son canapé en toute légalité, ce n’est pas pour tout de suite et comme tout médicament il y a lieu de peser le bénéfice et le risque avec votre médecin responsable
Cette autorisation a du changer la vie de beaucoup de patients, et plus particulièrement de personnes atteintes de maladies graves comme des cancers ou la sclérose en plaques qui devaient se procurer ce type de médicaments à l’étranger ou fumer de l’herbe en toute illégalité.
Ces médicaments permettent en effet notamment de diminuer les nausées et les vomissements de patients qui suivent des chimiothérapies.
Jolepotager
kivivra
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kivivra
Dernière activité le 06/11/2024 à 16:42
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Ami
bonjour à vous
oui je ne peux qu etre daccord avec vous .juste reste les soucis de pouvoir en avoir.malgré mes neuropathies, mes névralgies d arnold, sida ..rien ne m est proposé ,il faut que je me débrouille oui mais comment?
merci de vos soutien
joel
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!
Utilisateur désinscrit
J'étais à un conférence internationale sur "cannabis thérapeutique" à Strasbourg, nous avons encore un long chemin à faire en France.... Pourtant d'après des études le cannabis marche bien pour l'épilepsie, la fibromialgie, troubles neurologiques graves, TOC, polyarthrite rhumatoïd etc..... la liste est longue. 900 personnes sont traitées en Allemagne de façon tout à fait légale, en Espagne également, en Hollande on en parle même pas, et d'autres pays de la communauté européenne.
maribel
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Dernière activité le 04/02/2021 à 14:37
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Certains médicaments sont à base de cabinoides, amphétamines, opioides... pour autant ils ne sont que le résultat sous forme chimique de produits éxistant au naturel... que dire des effets indésirables de ces médicaments prescrits ... il n'y à qu'a voir la liste des effets secondaires ... Alors pourquoi faut il absolument passer par ces gros laboratoires alors que les produits peuvent nous être délivré par la nature .... encore une histoire de gros sous ... dommage, il me semble parfois que nous sommes pris en otage afin de faire vivre l'industrie pharmaceutique ... et augmenter ainsi le trou de la sécurité sociale ... et oui le sativex n'est pas commercialisé en France pour une histoire de prix ? Alors que .. pouvoir cultiver serait gratuit ... mais non... cela ne rapporte pas aux principaux intéressés qui se moquent éperdument de notre santé et qui ne pensent qu'a l'argent dégagé ainsi....
maritima
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@G I G I
Vu ton post.....tu as muté?
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maritima. "l'amour pour épée, l'humour pour bouclier" Bernard Werber.
GIGI
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Oh @maritima j'ai un mal de dog qui m'empêche de taper et je cherchais une solution pour me soulager mais mon qui est contre ce moyen a sauté sur le pavé (dont je ne me sers pas) et je ne savais même pas que le message avait été envoyé ..
Rassure-toi, je n'ai pas muté
maritima
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maritima
Dernière activité le 21/11/2024 à 23:07
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Je suis rassurée .... mais ton mal de dog ( tu noteras qu'on ne dit jamais mal de cat....) me désole. C'est demain que tu vas chez le coiffeur , je crois. Encore un moment pas facile à passer! .
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maritima. "l'amour pour épée, l'humour pour bouclier" Bernard Werber.
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lailaine
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lailaine
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"Le cannabis entraîne une dépendance, un trouble des fonctions exécutives chez les adolescents. Il altère la concentration, la mémoire, la prise de décisions, l'analyse des situations. Chez des personnalités prédisposées, il peut avoir un impact sur le déclenchement d'une maladie psychiatrique. Enfin, comme pour toute substance psychotrope, il peut favoriser la survenue d'accidents de la circulation, une perte de contrôle", explique le psychologue.
Sur la question de la dépénalisation, Jean-Pierre Couteron estime qu'il faut trouver un "système intermédiaire" car "la prohibition qu'on voudrait nous imposer, coûte très cher et n'a pas apporté de résultats [...] quant à la libéralisation absolue, ce serait une catastrophe assez évidente pour tout le monde".
Le spécialiste évoque trois approches très différentes de la consommation de cannabis. L'exemple "libéral" du Colorado aux Etats-Unis où le cannabis est devenu un produit de consommation courante. Le cas de l'Uruguay où l'on a un "monopole d'Etat". Les consommateurs se déclarent auprès de l'Etat et doivent respecter des règles d'usage en échange de cet accès. Enfin, le système portugais basé sur une "dépénalisation" dans le sens où l'usager simple n'est pas sanctionné. En revanche, les mineurs, eux, sont orientés vers des dispositifs de soins pour limiter les risques de dérives.