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Adolescents : une génération plutôt optimiste
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Chris31
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Chris31
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Dernière activité le 21/11/2024 à 16:23
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Que tu as raison cathy , et c'est bien pour cela que l'espoir qu'ils veulent grandira essentiellement à travers ce qu'ils vivent dans leur cocon (cellule - parents qui sont les + proches) , ce qu'ils vivent à l'extérieur ( lycée - Fac- amis...)puis de ce qu'ils voient tout autour , (l'actualité économique notamment , la prise de conscience et de responsabilité grandissant avec l'ado) en tenant compte du comment ça les affecte...
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Chris31- Faites que le rêve dévore votre vie, afin que la vie ne dévore pas votre rêve. Antoine de Saint-Exupéry
Chris31
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J'ai deux jeunes de 18 et 23 ans qui sont comme beaucoup dégoûtes de pas mal de choses mais qui gardent cependant foi en leur avenir , et ils se bougent (rien n'est acquis , tout se gagne en se bougeant ...) et la foi ils la gagnent quand ils voient que leurs efforts "payent" pas en espèces sonnantes pour l'heure mais par une réponse positive au bout d'un projet , d'une réussite
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Chris31- Faites que le rêve dévore votre vie, afin que la vie ne dévore pas votre rêve. Antoine de Saint-Exupéry
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j'ai eu la chance d'élever mon fis et mes 2 filles,crises dados j'ai eu pourtant nous parlions beaucoup avec eux.mais pas si grave au fond.lorsqu'ils ont de bonnes bases de l'écoute ,des réponses à leurs questions.cela s'arrange tous seul il faut les laisser s'exprimer et les redresser lorsque cela ne va pas.
et puis important les fréquentations très important.
ils sont presque plus raisonnable que nous.ils voient écoutent.se font leurs opinions.j'aime cette jeunesse je trouve qu'ils sont interessant.
pas tous à mettre dans le même sac.
Ellipse
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Ellipse
Dernière activité le 17/06/2019 à 20:09
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Bonjour,
Je suis maman d'une ado de 16 ans ...Malheureusement, elle fait une dépression. Chaque ado réagit à sa manière quand ça ne va pas. Ma fille s'isole totalement. Discuter? Oui bien sûr! Je suis disposée pour discuter, mais le problème de la dépression chez les ados est que cela passe par l'agressivité!
De plus, les psy vous le disent bien : pour les amener à une thérapie, il faut que l'ado soit disposé à parler! On ne peut l'obliger sinon cet ado peut se refermer sur son mal être pour des années!
Perso, il faut le vivre au quotidien pour savoir ce que c'est!
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bon courage,tu as raison chaque ado est different.l'éducation est une chose et l'état d'esprit une autre.chacun ,agit, réagit en fonction du problème qui l'occupe sur le moment.c pas facile.
bon courage à tous avec vos ados.
Ellipse
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Ellipse
Dernière activité le 17/06/2019 à 20:09
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Merci emmilia
Lorkasil
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Lorkasil
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Comme je le disais plus haut, on ne peut forcer un ado à se confier ! ma fille à 32 ans, est restée la même personne, qui quand on lui parle de choses qui la contrarie, se ferme comme une huitre et voilà !! C'est son tempérament et elle seule peut changer quand le déclic se fera !!
Et oui les ados font les adultes !!! Ne l'oublions pas !! N'en sommes ns pas la preuve ??!!!
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Lorkasil
Utilisateur désinscrit
c très juste .
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Julien
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Julien
Dernière activité le 12/06/2024 à 11:32
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L’adolescence est une période charnière dans la vie. Un moment de bouleversements psychologiques mais aussi corporels. Pour certains adolescents, le passage de l’enfance à l’âge adulte peut être source mal-être, de déprime voire de dépression.
Une grande enquête, coordonnée par l’Unité Inserm 1178 « Santé mentale et santé publique » et le pôle Universitaire de la Fondation Vallée, dresse un tableau de « la complexité des problématiques des adolescent aujourd’hui. » L’étude aborde leur santé physique et mentale, leurs consommations de tabac, drogues et alcool, leur scolarité ou encore la perception de leur corps et la sexualité.
Plus de 15 000 jeunes de 13 à 18 ans ont répondu à un auto-questionnaire anonyme concernant leur propre adolescence. L’enquête « Portraits d’adolescents » montre que près de 50 % des adolescents français, surtout les garçons, ont confiance dans l’avenir.
Une génération confiante dans l'avenir
Souvent présentée comme insouciante, désenchantée et dépendante des objets plus que des liens avec les autres, la génération d’aujourd’hui démontre pourtant le contraire. Le moitié des répondants se déclarent confiants dans l'avenir (58,6 des garçons et 39 % des filles) et 88 % considèrent que leur propre valeur ne dépend pas du nombre d’objets qu’ils possèdent. « La valeur qu’ils s’accordent est liée à l’image qu’ils donnent aux autres, à leurs résultats scolaires mais aussi à leur créativité », expliquent les auteurs.
Par ailleurs, une grande majorité se sent bien dans ses relations avec ses parents et pense que ceux-ci posent un regard positif sur eux. Par ailleurs, plus de 70 % estiment que les adultes en général sont trop inquiets pour eux. Bien que la moitié des jeunes estime que les adultes posent trop de limites, les trois quarts reconnaissent en avoir besoin. Une maturité qui va à l'encontre des clichés véhiculés par certains.
Idées noires et dépression
Toutefois, la représentation des limites chez les 13-18 ans met en évidence « l’ambivalence bien connue des adolescents ». En effet, 77 % des personnes interrogées reconnaisent que les limites poussent à prendre des risques et plus d’un tiers considère que « pour bien vivre, il faut prendre des risques sans les calculer ».
L’enquête s’est aussi penchée sur la vulnérabilité psychopathologique des adolescents « propices aux conduites à risques ». Les auteurs révèlent que les tentatives de suicide sont plus fréquentes qu’auparavant : 7,8 % ont déjà tenté une fois de se suicider. La dépression touche 16,8 % des filles et 7 % des garçons.
« Des chiffres alarmants, d'autant que 74,5 % de filles et 57,6 % de garçons privilégient l'isolement » quand ils souffrent. Ce repli sur soi rend le repérage du mal être encore plus difficile, d’autant que les adolescents considèrent leurs amis comme la 3e ressource, derrière l'écoute de la musique (surtout les filles) ou les jeux vidéo (surtout les garçons). »
Pourquoidocteur.fr