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Première mondiale: un cancer du sein avancé guéri par immunothérapie
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coletteb
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coletteb
Dernière activité le 25/05/2022 à 10:06
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14 commentaires postés | 5 dans le groupe Recherche et liens utiles - Cancer du sein
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Je vais le joindre dans la loi que je prépare pour les maladies graves et l’handicap en demandant les mises immédiates en place en France et en Europe des essais thérapeutique fait à l’étranger afin que nos chercheurs travaillent de concert avec les chercheurs des autres pays (comme s’est déjà le cas) pour les essais et ne pas attendre l’aval du gouvernement, de la Haute Autorité de santé de tous y compris des laboratoires qui ont pignons sur rue dans ces institutions.
maintenant, c’est vrai que ça peut ouvrir la boîte de Pandore à n’importe quel charlatan qui peut dire qu’il fait des essais pour guérir le cancer.
il va falloir faire attention de comment on va pouvoir le formuler pour le faire appliquer.
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Coletteb
Restonica
Restonica
Dernière activité le 18/08/2019 à 11:23
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2 commentaires postés | 1 dans le groupe Recherche et liens utiles - Cancer du sein
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Bonjour,
Je viens de lire des témoignages sur l'immunothérapie datant de 2018. je suis étonné de lire que la france ne fait pas ce traitement alors que mon amie à été traité par immunothérapie en 2017 ou début 2018 en France??????
Bonne santé,à vous tous.
JOSS51
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JOSS51
Dernière activité le 01/04/2020 à 09:48
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727 commentaires postés | 60 dans le groupe Recherche et liens utiles - Cancer du sein
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@Restonica Je me demande bien où en France votre amie a été traitée ? Ne confond t -elle pas avec une autre thérapie ? car s'il y avait des essais et tt en France, Curie serait averti...... merci si vous avez des précisions.
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Joss
coletteb
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coletteb
Dernière activité le 25/05/2022 à 10:06
Inscrit en 2014
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Bonjour Restonica,
C’est peut-être du traitement ciblé que vous parlez.
le traitement ciblé est fait chimiquement et on fait des anticorps pour encercler les mauvaises cellules les étouffer et les faire mourir (il me semble que ça, si j’ai bien tout compris) en sachant que l’herceptin qui est injecté ou perfusé est Cardio toxique et que l’on peut pas le faire indéfiniment.
je suis sous herceptin depuis le mois d’août 2018.
mais c’est une avancée car avant pour ce type de cancer on avait la chimiothérapie et c’est tout et les personnes qui avaient un HER2 triple positif mourraient maintenant on arrive à des rémissions plus ou moins longues.
on commence juste l’immunothérapie qui est le prélèvement de cellules avec ça ils travaillent pour que nos propres cellules saines attaques les mauvaises cellules et les tuent.
ils ne le font pas partout car ce n’est pas encore généralisé, il faut être mis dans les protocoles de recherche et il faut regarder les recherches en cours et demander avec votre oncologue de vous inclure dans ce protocole auprès des centres de recherche.
est-ce vous faites du sport en même temps que le traitement c’est un protocole de soins pour mieux supporter les traitements et vous booster.
là, aussi ce n’est pas tous les hôpitaux qui le proposent car manque de moyens et d’argent pour mettre en place ce type de protocole qui a été expérimenté à Curie et dit qu’il y a une meilleure acceptation du traitement par l’organisme et plus de rémission.
ils prennent très peu de patients quand c’est mis en place dans les hôpitaux.
car le coach sportif doit avoir maxi 4 personnes pour pouvoir faire travailler chaque patients correctement en veillant à ce qu’ils soient bien et se fasse pas mal.
c’est pour ça qu’ils ont autorisé les ordonnances pour que le sport soit pris en charge par la sécurité sociale car dans les hôpitaux il n’y a pas assez de place.
Bonne journée à vous tous
colette
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Coletteb
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Louise
Animatrice de communautéBon conseiller
Louise
Animatrice de communauté
Dernière activité le 06/10/2020 à 12:05
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Une femme atteinte d'un cancer du sein à un stade avancé, contre lequel la chimiothérapie était impuissante, a été soignée par un traitement expérimental ayant fait triompher son système immunitaire, ont annoncé des chercheurs lundi.
Bénéficiant d'une première mondiale, la patiente est considérée comme rétablie depuis deux ans, a indiqué l'équipe de chercheurs qui a travaillé sur son cas à l'Institut national du cancer à Bethesda et à l'université de Richmond (États-Unis). Son état de santé était critique, avec un cancer métastasé qui avait atteint d'autres organes, dont le foie.
Au sujet de cette femme, l'étude publiée dans la revue Nature Medicine précise seulement qu'elle avait 49 ans quand a commencé à être testée sur elle cette "nouvelle approche en immunothérapie". L'immunothérapie, traitement qui stimule les défenses immunitaires, a déjà fait ses preuves chez certains patients dans les cancers du poumon, du col de l'utérus, du sang (leucémies), de la peau (mélanome) et de la prostate. Dans ceux des ovaires, des intestins et du sein, les découvertes restent à faire.
La méthode décrite a consisté à prélever des lymphocytes (cellules du système immunitaire) sur la patiente, à les manipuler et à les réimplanter. Pris sur une tumeur, ils ont été triés pour voir lesquels reconnaissaient les cellules cancéreuses. Ils ont été "réactivés" pour s'attaquer à ces cellules. Et ont été accompagnés d'un "inhibiteur des points de contrôle de l'immunité", pour débloquer la contre-attaque du système immunitaire. Les chercheurs ont ainsi fabriqué une thérapie anticancéreuse "hautement personnalisée" qui a permis "une régression totale de la tumeur", ont-ils expliqué.
Exploiter la puissance du système immunitaire
La réaction au traitement a été "sans précédent" dans un cas aussi grave, a commenté un autre chercheur en oncologie, Laszlo Radvanyi, de l'Institut ontarien de recherche sur le cancer à Toronto (Canada). "Nous sommes aujourd'hui à l'aube d'une vaste révolution, qui va nous faire enfin atteindre le but de cibler la pléthore des mutations qu'implique le cancer grâce à l'immunothérapie", a-t-il écrit dans Nature Medicine.
Ces travaux "constituent une avancée majeure dans la démonstration de faisabilité, en exposant comment la puissance du système immunitaire peut être exploitée pour s'attaquer aux cancers même les plus difficiles à traiter", a estimé un professeur d'immunothérapie de l'Institut de recherche sur le cancer de Londres, Alan Melcher, cité par Science Media Centre. Mais "cette technique particulière est fortement spécialisée et complexe, ce qui signifie que pour beaucoup de gens elle ne sera pas adaptée", a tempéré un oncologue de l'hôpital de Southampton, Peter Johnson.