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Bipolaire et rechute dépressive après 20 ans de stabilité, aucun traitement ne me convient, des conseils ?
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Olivier4585
Olivier4585
Dernière activité le 20/01/2024 à 10:55
Inscrit en 2024
1 commentaire posté | 1 dans le groupe Les traitements des troubles bipolaires
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Explorateur
Bonjour, je suis aidant pour ma femme bipolaire diagnostiqué en août en cour de recherche du bon traitement aussi. Je sais que tu peux t en sortir tu as tenu bon pendant 20 ans et je comprend que la c est dure en se moment mais j'ai foi en ta capacité à te relever et retrouver le sourire. Derrière chaque nuage y a le soleil. Se soleil est en toi il va briller de nouveau. Courage à toi tu n es pas seule.
_Jennifer_
_Jennifer_
Dernière activité le 15/10/2024 à 16:40
Inscrit en 2021
2 commentaires postés | 1 dans le groupe Les traitements des troubles bipolaires
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Explorateur
Bonjour, mon conseil serai de trouver un psychiatre sur Doctolib et de faire des consultations par visio.
Ne lâcher pas!
Iris2709
Bon conseiller
Iris2709
Dernière activité le 14/12/2024 à 10:45
Inscrit en 2023
14 commentaires postés | 12 dans le groupe Les traitements des troubles bipolaires
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Ami
Bonjour, je connais cette situation, j'ai eu un épisode maniaque à 20 ans, j ai été hospitalisée et j 'ai reçu de fortes doses de neuroleptiques et puis graduellement une baisse de ces médicaments, au bout de quatre ans j étais stabilisée, après un mariage, deux enfants, un divorce, j ai eu plusieurs crises maniaques , n arrivant plus à gérer mes enfants, me rabattant sur l'alcool et les antidépresseurs qui à la moindre contrariété provoquaient des crises et ensuite un état de fatigue chronique, je viens de reprendre un travail mais ne suis pas productive, je suis suivi par un psychiatre qui me voit tous les deux mois 10 mn, je suis actuellement sous depakine chrono 500 et anxiol et Brentelix 10 mg, même si je suis stabilisée, je me suis isolée, je commence l'hypnothérapie le 1er février , je verrai les résultats, je vous souhaite beaucoup de courage et entourez vous de personnes qui comprennent votre maladie, faites de la marche , écouter de la musique apaisante, malheureusement la chimie de notre cerveau ne suffit pas à régler les problèmes, c'est notre situation affective et financière qui jouent sur notre bien-être,
Utilisateur désinscrit
Bonjour Erevan,
Contrairement à vous, le Lamictal me convient parfaitement mais en une seule prise de 200mg le matin. L'antidépresseur qui m'a vraiment aidé est le Nardil. Il ne peut être prescrit que par un psychiatre travaillant dans un hôpital (pas en libéral). C'est un traitement sous ATU (Autorisation Temporaire d'Utilisation) et n'est distribué que par la pharmacie centrale d'un hôpital pour un mois. Je fais donc le trajet chaque mois Blois/Paris en train pour aller le chercher à Ste Anne. Cet antidépresseur à beaucoup changé ma vie puisque je suis bipolaire résistant. Tout comme vous, j'ai obtenu l'AAH et c'est vrai qu'il est très difficile de finir le mois avec une si petite allocation.
Je vous souhaite énormément de courage pour la suite.
Orlando
Tardigrade
Tardigrade
Dernière activité le 08/08/2024 à 18:27
Inscrit en 2023
16 commentaires postés | 1 dans le groupe Les traitements des troubles bipolaires
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Explorateur
Bonjour Erevan,
Comment votre psy a-t-il réussi à vous obtenir l'AAH à vie ?
J'ai la même pathologie que vous, je l'ai demandée mais refus, or les renouvellements m'angoissent énormément.
Merci !
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Erevan40
Erevan40
Dernière activité le 29/11/2024 à 19:43
Inscrit en 2023
2 commentaires postés | 2 dans le groupe Les traitements des troubles bipolaires
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Explorateur
Mon ancien psy est parti à la retraite. Je suis bipolaire depuis la naissance de mon premier enfant à l'âge de 23 ans. J'ai actuellement 52 ans. J'ai fait environ 10 tentatives de suicide dont 2 faillirent m'être fatales. J'ai connu les hauts (achats compulsifs qui ont entraîné 3 plans de surdentemment, TOC, pertes de sommeil....) et les très bas. J'ai eu plus d'épisodes dépressifs que maniaques. Mais, tout cela, je peux le nommer car malgré des suivis psychiatriques, jamais personne n'avait mis un nom sur ma souffrance psychique. Puis, j'ai rencontré le bon. Il m'a dit que j'étais bipolaire, que l'on en guérissait pas mais qu'il existait des traitements pour parvenir à vivre avec. J'ai commencé avec le lithium. Je ne l'ai pas toléré, pas plus que tous les autres thymoregulateurs. J'ai fini avec le trileptal, mais il a fallu composer avec une hyponatremie et c'était là un jeu de funambule. Malgré tout, j'ai tenu 20 ans sans trop de hauts et surtout sans TS !! Mon psy prenant sa retraite m'a obtenu l'aah à vie. Puis, après beaucoup de recherches, il a transmis mon dossier à mon nouveau thérapeute. Il m'a fallu faire le deuil de cette séparation d'avec celui qui m'avait redonné goût à la vie. J'ignorais qu'un nouvel enfer m'attendait. Mon nouveau psy m' à fait hospitalisée pour changer mon ancien traitement à ses yeux dangereux et inneficace !! Je me suis retrouvée sous pregabaline 75 matin midi et soir et lamotrigine 25 1 le matin et 2 le soir. Puis, mon seresta 50, 4 fois par jour (vieux compagnon de route dont je n'ai pu me passer) . J'avais de la quetiapine. Je n'arrivais plus à me lever de mon lit. Je ne parvenais plus à lire, et quand j'émergeais de ma torpeur, j'étais à cran et hurlait sur mon mari, dans des accès de colère dont je m'étais défaite avec mon ancien traitement. Je l'ai stoppé seule après 3 jours d'un sevrage quasi intolérable. Mais, après je suis devenue sereine et plus de somnolence diurne ! Puis mon nouveau psy m'a expliqué qu'il fallait faire une prise de sang afin de doser la lamotrigine. Il est apparu qu'il fallait augmenter l'a dose journalière. Chose faite, assez rapidement j'ai eu de violents effets secondaires (maux de tête intolérables, tremblements, douleurs musculaires, insomnies... .) Donc il a fallu revenir à la dose initiale. Puis, après avoir exhorté mon psy à me represcrire du trileptal, et face à son refus, je me suis tournée vers la phythoterapie et compléments alimentaires : rhodiole, safran, prebiotiques et probiotiques, oméga 3, plantes pour dormir (ça marche même s'il faut savoir patienter un peu...) OK ! Ce n'est pas la panacée mais cela m'a aidée. Puis, j'ai commencé à souffrir du dos, et des tremblements, des plaques d'eczéma... Ensuite sont revenus les cauchemars qui m'ont laissée incapable d'affronter mes nuits par crainte que cela recommence. J'ai perdu l'appétit et le goût de la lecture. J'ai cessé d' aller me promener et je me suis enfermée dans ma maison. J'ai refusé les invitations de mes amies. Hier, soudain, le gouffre sous mes pieds. J'ai fait une chute sans fin, j'ai dégringolé la pente du bonheur pour me retrouver en enfer... Le désespoir, personne ne peut le comprendre s'il ne l'a pas connu. Et surtout ces idées terribles dans ma tête, ce souhait d'en finir enfin pour que stoppe cette souffrance morale, le sentiment effrayant de sombrer dans la folie. C'est horrible ! 20 ans que rien de tout pareil ne m'était arrivée. La perte de toute estime de moi, l'impression de n'être plus rien, en dessous de tout, inutile, mère indigne, compagne inutile, meilleure morte, si seulement je me rappelais comment faire pour tout arrêter, définitivement !! Mais que vais-je devenir ? Là lamotrigine ne sera à rien en-dessous de sa dose thérapeutique. J'ai usé tous les thymoregulateurs qui existent, je n'en ai toléré aucun. Je suis en sursis. Ce nouveau psy me voit 10 minutes en tout et pour tout 1 fois par mois, est injoignable et je n'ai aucun psychiatre autour de mon. domicile à moins de faire 2 heures de route ! Mon mari a une petite retraite. Je n'ai que l'aah. Avec la montée des prix et du carburant, nous n'avons pas les moyens de rouler autant. Obligés de nous retirer à la campagne à cause de la hausse des loyers, nous sommes sans transports en commun. Je n'ai que ce psy et je viens de m'écrouler, désespérée et en état de survie. Aidez-moi ! Un conseil, un avis, oh ! J'ai si peur... Merci de m'avoir lue.