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Dépression et fibro
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Bonjour Blandi, je peux avoir accès au site moi, c'est lequel stp ? Merci
blandi63
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blandi63
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Bonjour Mocouk ,
C'est Jim.fr
Bonne soirée à toi
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Ok merci, bon week end
Camellia
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Je crois que l'un est l'autre sont liés, la douleur entraîne la baisse de moral. Renforcer le psychisme pour être plus fort contre la stress ! C'est une chose à prendre en compte à mon avis.
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Camellia - «Les batailles de la vie ne sont pas gagnées par les plus forts, ni par les plus rapides, mais par ceux qui n’abandonnent jamais»
blandi63
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blandi63
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Tu as raison Camellia, pour le stress as tu lu mon post sur ce sujet?
Bonne journée à toi
Camellia
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Oui, bien sur !
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Camellia - «Les batailles de la vie ne sont pas gagnées par les plus forts, ni par les plus rapides, mais par ceux qui n’abandonnent jamais»
Utilisateur désinscrit
bonjour,
oui mais on y arrive pas toujours!moi je sombre de plus en plus!!en plus ne plus recevoir les mails de mes amies pour me soutienir me manquent!!seule je n y arriverais pas,j ai rdv chez une psy lundi,j ai hate car je vais mal et j ai aml!!
bon courage a tous!
bisoux
blandi63
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blandi63
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Cathy bonjour
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Bonjour,
Je dois admettre qu'une dépression a été associée à ma fibromyalgie par mon médecin traitant. Le rendez vous avec mon neurologue en août dernier a été un interrogatoire afin de comprendre ce qu'il m'arrivait.
Le terme dépression a été une surprise, à aucun moment je me suis sentie dépressive au sens propre. J'ai rencontré un certain nombre d'épreuves que j'ai su surmonter mais en 2011 je pense qu'il y en a eu trop d'un coup et même si je ne me suis pas effondrée mon organisme lui a beaucoup souffert, conflits conjugaux, projet de déménagements sans intérêt pour moi sauf pour préserver ma famille, la découverte d'une trahison pour aboutir à une séparation, puis la disparition volontaire de mon ami d'enfance.
J'ai laissé de coté mes loisirs, peinture et équitation ce qui pourrait être le signe de la dépression.
Une chose est sure et n'est pas facile ... rester positive !
Utilisateur désinscrit
Cathy je t'écris mais tu ne reçois pas
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blandi63
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blandi63
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Je vous mets un article que j'ai trouvé sur un site profesionnel (médical et para), je ne peux vous donner le lien car pour y avoir accès il faut être du milieu médical.
Une dépression dans le sillage d’une infection ?
On suppose depuis longtemps qu’il peut exister un « lien causal » entre une infection aiguë et une dépression sévère. S’appuyant sur des informations disponibles dans les grandes bases de données de la littérature médicale (Embase, MEDLINE, PsycINFO et PubMed), une recherche australienne s’efforce de jauger cette hypothèse récurrente d’une composante infectieuse ou inflammatoire dans le déterminisme de la dépression et d’examiner les mécanismes physiopathologiques concernés.
Les résultats des études rétrospectives suggèrent effectivement « une association entre une infection et des perturbations thymiques subséquentes, y compris une dépression sévère », et cette association a été « confirmée par des études utilisant des modèles prospectifs. » Les preuves disponibles relèvent d’une « assise multifactorielle de vulnérabilité à la dépression, dans un contexte d’infection aiguë » où divers éléments (génétiques, neuroendocriniens, psychosociaux…) peuvent, chez certains individus, « interagir pour potentialiser la probabilité d’une réponse dépressive sévère et prolongée à un facteur de stress immunitaire. » Les auteurs estiment que ces perturbations thymiques seraient peut-être susceptibles de « jouer un rôle protecteur » pour le sujet souffrant d’une maladie infectieuse. Mais cette « réponse adaptative » habituellement réversible et de courte durée peut parfois se prolonger et s’aggraver chez des personnes vulnérables, en débouchant sur une situation « plus marquée et sévère de modifications comportementales et physiologiques » caractéristiques d’une grave dépression.
De plus amples recherches sont nécessaires pour préciser les facteurs prédisposant à cette évolution dépressive dans le sillage d’une maladie infectieuse aiguë, avec bien sûr l’arrière-pensée d’élaborer de nouvelles stratégies de prévention ou/et de traitement efficaces où une maîtrise thérapeutique de cette éventuelle dimension anti-inflammatoire et anti-infectieuse pourrait alors présenter un impact antidépresseur.
Dr Alain Cohen