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Vacances, repos : quel impact sur la santé ?
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J'attends avec impatience l'autorisation de mon chirurgien pour partir car il trouve un peu juste ma récupération pour faire de la voiture une foi en vacance je coupe internet je ne garde que le portable donc pendant 2 à 3 mois silence radio. Bonnes vacances à toutes et à tous
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Je suis comme vous Eauclair j'habite en zone rurale le calme cela ne manque pas mais le changement d'air est important voir le comportement des gens en bord de mer ou en montagne est totalement différent il y a les sans gênés bruit à volonté toute la nuit la nature étant leur poubelle ils jettent tout à terre quand aux chiens ils divaguent et font leurs crottes partout que le chien aie des des envies normal mais un petit sac dans la poche pour ramasser c'est urbain. L'année dernière dans mon camping il y avait des gens envoyée par la CAF comme j'ai un bateau , que je ramène du poisson je leur en ai donné imaginez- vous que je le retrouvais dans la poubelle, cela ne fait pas plaisir car je le faisais au détriment de gens à qui j'en donne occasionnellement enfin cela doit être compliqué de finir de nettoyer un poisson sachant que je nettoie le plus gros (vidé écaillé repas des mouettes et des goelands) donc plus grand chose à faire à part le rincer sous l'eau? puis bien d'autre comportement qui font que je préfère de loin ma solitude?
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Pas d'accord @Eauclair , mais alors pas du tout! J'ai l'intime conviction ( tiens ...les vieux réflexes reviennent ...) que la bonté ,la bienveillance ( et j'ajouterai l'honnêteté) sont des qualités cardinales qui payent ( expériences perso) . Dans le cas contraire elles sont, de toutes façons, toujours bienfaisantes pour ceux qui les pratiquent. Ceci n'implique pas , bien sûr, que l'on tende la joue gauche quand la droite est frappée...... Belle journée!
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maritima. "l'amour pour épée, l'humour pour bouclier" Bernard Werber.
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De fait, oui @Eauclair , vous avez une famille qui donne à penser ... et qui n'encourage pas à être généreux. Sinon lorsque votre première pension tardait à arriver et que vous étiez dans le besoin , l'avez-vous dit à votre entourage ( hors famille!) ou à des associations ou bien encore à la Mairie? Parce que ,effectivement, si vous avez préféré par amour- propre ( ce que je conçois très bien) rester silencieux, qui pouvait connaitre vos difficultés? Je suis désolée pour vous et je comprends parfaitement vos désillusions.
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Vous savez @Eauclair faire le premier pas éclaircit souvent bien des situations ! Vous aviez tout à gagner en attirant l'attention sur vous , d'autant que.... demander ne coûte rien...
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maritima. "l'amour pour épée, l'humour pour bouclier" Bernard Werber.
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Eauclair la bonté de coeur ne demande pas de retour quand à votre cas personnelle il fallait le signaler mais il aie vrai que dans certain cas la société ne bouge pas ci vous avez été artisan ou travailleur indépendant avec la feuille d'impôt qui doit être présentée il est difficile d'obtenir quoi que ce soit, là il y a un problème de société, pas de personne, quand j'ai eu mon accident j'ai dû payer mes charges et les arrières, je ne touchais que 480 euros par mois, croyez moi là on rentre dans une phase méconnu de la société par beaucoup? Je ne regrette jamais quand je donne c'est ma façon d'être qui parle tout simplement mais comme le poisson cela me fait mal au coeur, mais à travers cela je donnerais encore à plus pauvre que moi.
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Les effets bénéfiques des congés sur la santé sont nombreux. Cependant, ils restent très dépendants des conditions de travail.
Les vacances sont-elles bonnes pour la santé? La réponse semble tenir de l'évidence. La préservation de la santé faisait d'ailleurs partie des objectifs de l'instauration des congés payés en 1936. Quelques études de longue durée comme celles sur la vaste cohorte de la population de Framingham, suivie depuis 1948, montrent une augmentation du risque d'accidents cardio-vasculaires chez les personnes qui prennent peu de congés. «Mais ces études indiquent aussi que les personnes qui partent régulièrement en vacances ont tendance à avoir un mode de vie globalement plus sain», souligne la chercheuse finlandaise Jessica de Bloom. Et ceux qui partent ne sont pas vraiment représentatifs de la population générale: en France, seuls 40 % des foyers à faibles revenus, mais 68 % des classes moyennes supérieures et 86 % des hauts revenus sont partis en vacances (c'est-à-dire, ont passé plus de quatre jours consécutifs hors de leur domicile) en 2014, selon une enquête du Crédoc. Et 40 % des Français ne sont pas partis du tout. D'où un biais de comparaison entre ceux qui partent et les autres.
«Certaines pathologies chroniques comme l'eczéma, les allergies, l'asthme, s'atténuent ou disparaissent pendant les vacances», rappelle le Pr Yves Roquelaure, médecin du travail (CHU Angers). Mais est-ce dû seulement à l'effet des vacances, ou aussi à l'arrêt de l'exposition professionnelle à des facteurs déclenchant?
Les antidépresseurs boudés en juillet
C'est peut-être la relation entre santé psychique, bien-être et vacances qui est la plus manifeste. Selon l'enquête du Crédoc, 74 % des personnes qui s'estiment globalement heureuses sont parties en vacances dans l'année, contre seulement 38 % de celles qui ne sont pas parties. Les vacances réduisent le risque de dépression, confirment plusieurs études. L'une d'elles, menée en Suède en 2013, a ainsi montré une baisse des ventes d'antidépresseurs avec l'augmentation, en juillet, du nombre des salariés en vacances. Mais, là encore, des biais sont possibles, comme l'ensoleillement estival qui accroît la production d'un neurotransmetteur à effet antidépresseur, la sérotonine.
Pour réduire ces biais, plusieurs chercheurs comme Jessica de Bloom ont évalué l'état des sujets juste avant, pendant et juste après les vacances. Résultat: celles-ci réduisent bien la fatigue accumulée, les plaintes de santé et améliorent le sentiment de bien-être. Mais cet effet reste modéré et s'efface dans les deux à quatre semaines suivant la reprise du travail…
Une pause hebdomadaire nécessaire
Il y a finalement plus de données sur l'effet de longues durées quotidiennes ou hebdomadaires de travail sur la santé que sur celui du repos. «Plus la charge physique de travail est élevée, plus on voit de syndromes métaboliques, de diabète, d'hypertension. Quelques études anciennes ont aussi montré, notamment dans la sidérurgie, qu'au-delà de 40 heures par semaine le travail avait un impact sur la santé. D'où la nécessité d'une pause hebdomadaire», explique le Pr Roquelaure. «C'est plus difficile d'évaluer la durée optimale des congés annuels, car les situations sont très différentes d'un pays à l'autre. Ainsi, les Américains ne prennent guère plus de quinze jours de congés annuels mais s'octroient bien plus souvent des week-ends prolongés.» Certains groupes restent toutefois exposés à une durée de travail excessive, comme les internes en médecine des hôpitaux. Récemment, celle-ci a été très théoriquement limitée à 48 heures hebdomadaires en France… et à 80 heures aux États-Unis!
Préserver un temps au loisir
Au-delà de la durée de travail, c'est de plus en plus son intensité qui a des répercussions sur la santé. «En France, le passage aux 35 heures s'est accompagné d'une intensification, d'une productivité accrue, avec une charge de travail qui dépasse souvent ce qui est faisable en 35 heures», analyse le Pr Jean-François Gehanno, médecin du travail (CHU Rouen). «De nombreuses études montrent que la charge excessive de travail, le stress constituent des facteurs de risque cardio-vasculaires.» Ainsi, le stress au travail augmente autant le risques d'infarctus que l'obésité abdominale. Selon une étude finlandaise, la réduction des conditions de travail défavorables (charge de travail, stress, travail posté…) permettrait de diminuer de 10 % le risque d'infarctus et de 18 % celui des décès par AVC.
«Cette intensification du travail accroît aussi le risque de dépression et de burn-out», souligne le médecin. Pour préserver la santé mentale, des coupures, des périodes de repos sont indispensables afin de pouvoir décrocher physiquement et psychiquement. Leurs modalités peuvent varier d'un continent, d'une culture à l'autre. En Europe, le mois de congé annuel est la règle. Mais pour le Pr Roquelaure, «ne voir dans le travail qu'une contrainte serait simpliste, voire dangereux. Le travail est aussi une ressource qui permet de se construire. Plus un travail est intéressant, valorisant, permet d'apprendre, plus il est protecteur. C'est donc l'équilibre entre temps de travail et temps de loisir qu'il faut préserver».
Source : Figaro Santé