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Les Français déplorent la détérioration de l’hôpital public...
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Utilisateur désinscrit
et si l'état ne fait rien on verra s'installer une médecine à 2 vitesses ! enfin c'est déjà un peu ça . si tu n'as pas de mutuelle tu ne te poses pas la question tu vas à l’hôpital.
malgré tout les C.H.U. restent tout de même mieux équipés que les cliniques . dans les cliniques on a plus de confort mais le matériel médical de pointe est dans les grands hôpitaux.
ce qui manque à l’hôpital c'est surtout les infirmières et les médecins.
oui à l’hôpital de jour, à la chirurgie ambulatoire et tout ce qui améliore le fonctionnement de l’hôpital sans nuire aux patients.
Utilisateur désinscrit
Pr les médicaments à la pharmacie il faut qd même une mutuelle.
Bonne soirée
maritima
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maritima
Dernière activité le 21/11/2024 à 23:07
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L'article semble bien refléter la situation actuelle :" il y a une urgence à penser différemment les soins et l'hôpital de demain".
J'ajouterais qu'il y a aussi urgence à financer autrement cet hôpital public fatigué mais...... c'est une autre question.
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maritima. "l'amour pour épée, l'humour pour bouclier" Bernard Werber.
Utilisateur désinscrit
Dans notre région , nous avions la chance , nous avons encore , euh? Je ne sais pas si on peu appeler ça une chance d'avoir des petits hôpitaux de proximité.
Il y avait des maternités dedans , ça a fermé faute de maman et surtout de spécialistes qui voulaient y travailler .
Il y avait des blocs pour opérer , mais les chirurgiens qui arrivaient ici , étaient en moyenne très médiocres , le dernier ayant tuer et rendu invalide , deux personnes dans une seule journée , ça a fermé aussi .
Il reste service d'urgence , qui font régulièrement rire les journaux par leur incompétences , le plus triste c'est qu'il y a des jeunes la dedans , ces imbéciles, font tout ce qu'il faut pour que ça finisse par fermer .
Il reste la médecine , quelque chambre , inchangées depuis les années 70 avec la télé a 36 cm , le lit qui ne change pas de position , c'est nul .
Ce qui les sauvent encore , c'est le centre de convalescence pour personnes âgées , ayant connues la guerre et les privations , elle se contentes de ce qu'on leur offrent , mais cela ne durera pas une éternité , une nouvelle génération arrive , j'en suis ( Vin dieu comme le temps passe vite ) qui demande plus de technologies , seront ils en mesure de nous le proposer?
Au jour d'aujourd'hui , si je dois aller a l’hôpital, je fais tout mon possible pour atterrir dans un CHU ou une clinique , j'ai peur de ces petits hôpitaux
maritima
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maritima
Dernière activité le 21/11/2024 à 23:07
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Votre peur est justifiée @Eauclair et c'est bien pour cela que peu à peu ces petits centres disparaissent au profit de structures régionales mieux équipées et plus performantes compte tenu du nombre, beaucoup plus élevé, d'actes pratiqués .
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maritima. "l'amour pour épée, l'humour pour bouclier" Bernard Werber.
Utilisateur désinscrit
Oui @maritima , mais j'ai connus enfant , ils en aidaient du monde , ils en sauvaient des vies , puis d'un coup fin des années 90 , tout a changer , c'est devenu plus un lieux pour mourir que pour vivre .
Je vois trop souvent le personnel de ces urgences , j'en ai parlé au CHU avec les chefs de services , jamais j'aurais crus une chose pareille , ils semblent tout faire pour que ça ferme , la cours des comptes , a préconisait depuis des années la fermeture , les habitants manifestes pour que ça reste , mais les soignant font tout pour faire sombrer l'affaire .
Il m'est arrivé une fois de voir , alors que j'attendais que l'on vienne me chercher , dans la salle d'attente , une femme du comité de soutient de l’hôpital, venir prendre un verre d'eau a la fontaine , il était environ 11h , son fils autiste , était entré la veille vers midi , et comme il ne s'exprimait pas , personne ne lui avait donné a boire , des exemples comme ça , j'en ai des centaines .
Il vaut mieux prendre ses précautions avant d'y être transporté , car une fois la bas et branché , vous pouvez bayauler un moment et faire sur vous avant que quelqu'un ne vous apporte ce qu'il faut , ils ne sont pourtant pas débordé , au pire il y a dix patients , mais si ce n'est pas cardiaque , ils s'en foutes carrément
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Louise
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Louise
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Dernière activité le 06/10/2020 à 12:05
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C'est le résultat d'un nouveau sondage paru cette semaine. Toutefois, près des trois quarts des personnes interrogées pensent encore que la France est le pays « ayant le meilleur accès à l’hôpital public ».
« Notre objectif, c’est de doubler les maisons de santé pour lutter contre les déserts médicaux », a déclaré Édouard Philippe le 13 octobre. Le chef du gouvernement, qui participait à l’inauguration d’une maison de santé à Chalus, en Haute-Vienne, a profité de son déplacement pour présenter le plan du gouvernement en faveur de la lutte contre les déserts médicaux en France.
Des mesures attendues par les Français : 94 % d’entre eux considèrent que la santé doit constituer une priorité de financement et d’investissement, selon le Baromètre santé 360 Odoxa-Le Figaro pour la FHF, MNH Group et Orange, réalisé avant la déclaration du premier ministre. Ce sondage a été mené sur Internet sur un échantillon de 1023 Français représentatifs de la population française âgée de 18 ans et plus et 3042 Européens (Français, Allemands, Anglais, Italiens et Espagnols) également représentatifs de ces cinq pays.
Si le sondage révèle que les Français sont fiers de leurs hôpitaux publics - près des trois quarts d’entre eux (71%) pensent que la France est le pays « ayant le meilleur accès à l’hôpital public » - , ils sont de plus en plus nombreux à considérer que la situation se détériore. Alors que 20 % des Français avaient, lors du précédent Baromètre santé (juin 2016), une mauvaise image des établissements de santé publics, ils sont aujourd’hui 28%.
Meilleure qualité des soins
Pis, le nombre de Français à estimer que le parcours de soins des patients se déroule de façon satisfaisante a diminué de 13 % (69 % des sondés lors du Baromètre santé de mai 2015 contre 56 % aujourd’hui). De même, 70 % des médecins assurent que ce parcours de soins ne se déroule pas bien (contre 49 % en mai 2015). Et la raison semble être politique : deux tiers des sondés (67 %) sont convaincus que l’avenir de nos établissements de santé publics est mal pris en compte par les pouvoirs publics.
« Ce sondage montre qu’il y a une urgence à penser différemment les soins et l’hôpital de demain », explique Gaël Sliman, le président d’Odoxa. Les Français seraient en effet prêts à faire évoluer leur parcours de soins. Deux tiers d’entre eux (64 %) opteraient même pour une prise en charge hors de l’hôpital (avec un accompagnement des professionnels de santé en ville) s’ils devaient être hospitalisés pour une pathologie lourde. Ils ne sont que 35 % à préférer être soignés à l’hôpital « car cela les rassure de se savoir totalement pris en charge dans un établissement ».
De même, 85 % des sondés seraient prêts à accepter une chirurgie en ambulatoire (c’est-à-dire une hospitalisation sur une journée). Concernant leur hôpital, les sondés (7 sur 10) acceptent la suppression de leur hôpital de proximité pour le remplacer par une structure régionale, à condition que cela implique une meilleure qualité des soins.
Enfin, le sondage révèle qu’une « très large majorité de Français plébiscite l’utilité pour le patient des outils et services numériques », note Gaël Sliman. Ils voient d’un bon œil « le fait que tous les soignants puissent disposer en un clic de toutes les informations de santé sur leur patient » (79%), « le suivi post-hospitalisation à domicile, via des objets connectés comme le tensiomètre » (71 %) ou encore « le développement de l’usage des robots en chirurgie » (57 %). Les nouvelles technologies biomédicales telles que « l’usage de traitements thérapeutiques faisant appel à la génétique » sont également appréciées (61 % d’avis positifs).
En revanche, ils craignent toujours certains changements dans la prise en charge à l’hôpital : « l’utilisation de la téléconsultation, la consultation à distance via une visioconférence » et « le développement de l’usage du big data en santé » sont craints par 54 % des sondés. « L’utilisation de l’intelligence artificielle pour préconiser des traitements » et « la généralisation des opérations effectuées à distance » ne recueillent respectivement que 39 et 37 % d’approbation.
Source : Le Figaro Santé
Et vous, quel est votre opinion de l'hôpital public ?