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La vie amoureuse à l’épreuve de la maladie : comment faire face ?
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Celsius
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Celsius
Dernière activité le 16/07/2024 à 13:03
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Je ne suis jamais entré dans cette discussion. Le sujet est parfois difficile à aborder. Il faut apporter de l’humour aussi . Divorcé depuis 15 ans, j’ai préféré m’occuper de l’avenir de ma fille qui était adolescente. Je ne le regrette pas aujourd'hui. Pour le sexe , c’était mis de côté et je ne cherchais pas de nouvelle compagne ni d'aventures . Ma jeunesse a été bien remplie. Aujourd'hui, à 64 ans, je me sens toujours jeune et beau. Je ne fais pas mon âge, je n’ai pas de rides ni de cheveux blancs. Pas de problème d’érections, une prostate de jeune homme. L’amour, je le fais sans contact ou à la Corse. Devinez la position!
Cordialement Celsius
12byron
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12byron
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@Reno62 parfaitement, quand j'ai été malade-souvent hélas- il a toujours été là et quand ça a été son tour, j'étais là, parce que malgré la maladie je l'adorais plus que jamais, peu importe le sexe a une certaine période de la vie, il reste la tendresse et ça n'a pas de prix
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12 Byron
mammifere
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Je n'ai aucune vie amoureuse, aucune vie de famille, aucune vie sociale. Ma maladie me prends tellement d'énergie que je n'arrive à rien faire d'autre. D'autant que c'est une maladie mentale alors les déceptions le plus loin possible.
Alain53600
Alain53600
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Bonjour, j'ai également lu le pourcentage d'échec de 80 pour cent lorsque c la femme qui est touchée, mais je n'ai pas vu "d'être quittée", vous êtes sûr ? Pour ma part c ma compagne sepienne qui m'a quitté (3 ème fois) et sur de nombreux forums g vu beaucoup d'hommes dans mon cas qui se retrouvent desemparés car amoureux sincèrement de leur compagne (et qui ne nient pas la maladie je précise)
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choco53
foumiwoug
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@Alain53600 J'ignore si des études ont été menées sur le sujet.Perso mon mari s'est trouvé en fauteuil à 38 ans et pendant environ 15 ans,je ne l'ai pas quitté puis c'est maintenant mon tour depuis 10 ans,il ne m'a pas quitté non plus.Nous cumulons plus de 50 ans de vie commune avec certes une activité sexuelle qui s'est réduite et se trouve peu à peu remplacée par une immense affection .Par ailleurs je connais plusieurs femmes qui ont été abandonnées suite à la survenance d'un handicap.
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O.ROLAND
Alain53600
Alain53600
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Comme quoi, ceux qui s'aiment vraiment surmontent tout❤
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choco53
12byron
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12byron
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@Alain53600 quand on aime, c'est pour la vie, et celui qui part est un égoîste ou pas attaché
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12 Byron
foumiwoug
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@Alain53600 @12byron C'est exactement ça les gars,quand on aime,c'est un échange permanent de bonnes choses.Cependant ce qui était valable de mon temps(l'après guerre) ne l'est plus forcément.Tout va plus vite e les compromis sont trop souvent difficiles à trouver,nous devenons individualistes à l'excès.Mes petits enfants envisagent plus des épisodes de vie variés.C'est toute la société qui va changer et notamment avec la confusion des genres et les tas de possibilités offertes par la science.Vastes réflexions à mener !!
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O.ROLAND
Alain53600
Alain53600
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Bah je ne suis pas né à la bonne époque ☹️
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choco53
12byron
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12byron
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@foumiwoug jele constate, moi aussi. .Je suis née pendant la guerre, mes parents m'ont inculqué des valeurs que je ne retrouve pas chez mes petits enfants, sauf un ..
je me pose donc la question, quand ils auront notre âge, que leur restera t il? auront ils encore des désirs? je crains qu'ils ne soeint si blasés que plus rien ne les intéresse.
on aime, et puis au bout de quelques années on a envie de changer - de chair fraiche, - si j'ose dire. pas de souvenirs attendrissant, des pages tournées sans cesse, et le vide affectif., finalement
mes enfants ont vécu une vie normal, avec des parents bosseurs et dont le but a été eux, et malgré parfois les disputes, sont restés et se sont aimé jusqu'au bout, même si a un certain âge le sexe a été absent, mais pas important la tendresse une très grande tendresse était là et l'a été jusqu'au bout
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12 Byron
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Louise
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Louise
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Conserver une vie intime et sexuelle : une difficulté pour 31,2% des répondants
À la question "en tant que patient ou proche, quel impact a la maladie sur votre vie amoureuse", une majorité des participants a répondu que leur vie intime et sexuelle était difficile. De nombreuses raisons peuvent expliquer ce constat : baisse de libido liée à la fatigue, dysfonctions érectiles, douleurs localisées… Être atteint d’une maladie chronique peut fortement troubler les relations intimes avec son partenaire. Quant aux proches de patients, eux-aussi peuvent ressentir un épuisement psychologique, voire physique.
>> Rejoignez notre groupe de discussion sur les dysfonctions sexuelles masculines
Pour les patients qui n’ont pas trouvé l’âme sœur, la maladie peut également freiner la rencontre de partenaires. Notre grande enquête sur l’isolement a révélé que 57% des patients avaient réduit leurs sorties en ville. Les occasions de rencontrer de nouvelles personnes sont donc plus limitées. De plus, 88% des patients ont constaté un impact de l’isolement sur leur vie intime et 98% sur leur vie sociale.
Les relations avec son partenaire sont plus difficiles pour 21,5% des répondants
Pour 21,5% des patients et proches de patients qui ont répondu à l’enquête, les relations avec leur partenaire se sont compliquées à cause de la maladie. En effet, les patients peuvent souffrir de l’incompréhension de leur conjoint ou ne plus avoir assez d’énergie pour leur consacrer du temps et de l’attention.
>> Témoignage : comment gérer ses relations avec ses proches lorsque l’on souffre d’une maladie mentale ?
Seuls 9,3% des participants ont eu le bonheur de voir leur couple renforcé par l’épreuve de la maladie. De nombreux couples se séparent suite au diagnostic d’une maladie ; par ailleurs, une récente étude a montré qu’une femme est six fois plus susceptible de vivre une séparation après avoir reçu un diagnostic de cancer ou de sclérose en plaques qu'un homme dans la même situation. On en discute par ici.
Rester seul, la solution pour 18,3% des répondants
"Je souhaite rester seul(e) en partie à cause de la maladie" est la réponse donnée par 18,3% des répondants à notre sondage. En effet, des cicatrices, la prise ou la perte de poids ou encore l’appareillage médical peuvent engendrer une mauvaise image de soi. Les difficultés à conserver une vie de couple normale ou la peur du rejet de l’autre peuvent ainsi décourager les personnes concernées.
>> Rejoignez notre groupe sur les traitements de la douleur et trouvez des solutions
Que faire pour retrouver une vie amoureuse épanouie ?
Le Ministère des Solidarités et de la Santé préconise avant toute chose de discuter avec son partenaire de ces problématiques. La communication est l’outil qui vous permettra, dans de nombreux cas, de faire évoluer les choses. Chacun, à son rythme, sans se forcer, pourra réapprendre à dialoguer avec son partenaire.
Si vous n’avez pas trouvé l’âme sœur, n’oubliez pas que vous n’êtes pas défini uniquement par votre maladie. Vous conservez les qualités que vous aviez avant d’être malade ou de vous occuper d’un proche souffrant. La sexualité peut prendre de nombreuses formes, que votre maladie soit handicapante ou non.
Il faut également traiter les symptômes de la maladie qui ont un impact sur la vie intime, dès que cela est possible. Des symptômes neurologiques, cardiovasculaires, physiques ou psychologiques peuvent affecter la sexualité, tout comme les effets secondaires d’un médicament. Parlez-en à votre médecin pour limiter la fatigue et la douleur et améliorer votre moral. Vous pouvez également consulter un spécialiste :
- Un psychologue pourra vous aider à surmonter vos blocages et accepter votre maladie ou celle de votre proche
- Un sexologue vous conseillera sur tous les aspects de la sexualité, qu’ils soient physiques ou affectifs
- Un gynécologue traite la physiologie et les affectations du système génital de la femme pour les aider à limiter la douleur ou des gênes diverses
- Un urologue s’occupe notamment de l’appareil uro-génital masculin et pourra vous conseiller face à des troubles érectiles ou autres douleurs
Et vous, votre vie amoureuse est-elle mise en difficulté par la maladie ? En parler, c’est déjà avancer vers une intimité amoureuse et sexuelle, quelle qu’elle soit, qui vous épanouira. Avez-vous traité des symptômes en particulier ?