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La vie amoureuse à l’épreuve de la maladie : comment faire face ?
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bouchramira
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bouchramira
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@aichadu13 bonjour et bon courage
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mekkki
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@pomme123 mon psy croyait dur comme fer en un malaise profond qui viendrait soit de l'enfance, soit d'une relation traumatisante qui m'aurait déstabilisée et bloquée, mais l'épilepsie n'a RIEN de psychiatrique ! heureusement que je consulte désormais un épileptologue au lieu d'un psychiatre ! mon psy avait dû zapper dans ses révisons, les fameuses "pointes-ondes" typiques des crises d'épilepsie.... la psychiatrie figure parmi les spécialités les plus mal classées en médecine, que ça se sache ! et je n'ai JAMAIS consommé de cocaïne, contrairement à Freud ! il devait avoir besoin d'inspiration ! mais puisqu'il avait des patients, il en avait les moyens !
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rochambeau
pomme123
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aaliyah parfois c'est dur de parler mais c'est libérateur , moi j'ai eu des passages de ma vie très douloureux ,j'ai écrit mon ressenti sur mes cahiers pour me libérer , mettre des mots sur les maux ,expliquez sur ce cahier toute ta souffrance, (ton jardin secret) le mieux c'st de parler à un psychologue si tu le peux (c'est cher aussi)
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pomme123
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bonjour rochambeau ,je ne suis pas épileptique , des tremblements d'attitude mais ce n'est pas grave on donne du naurontin et c'est mieux les blessures psychologiques anciennes que l'on a enfoui en soi , peuvent bloquer des situations d'aujourdhui
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pomme123
valyspondy
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valyspondy
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J ai un mari a double facettes.
Parfois il me pousse à bout dans le but de me surpasser et ne pas oublier ma force intérieur, parfois il a peur et devient maladroit.
Dans l'ensemble, 6 ans de vie commune, marié depuis 7 mois et heureux.
Je sais que je peux compter sur lui.
La maladie n'a jamais posé de problème. Plus il peut m aider, mieux il va, plus je suis soulagée.
On communique tant que possible mais comme tout le monde ici on sait bien que parfois il y a des haut parfois des bas.
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Valérie
Djeli
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@valyspondy
BRAVO VALYPONDY BON COURAGE CONTINUER !
fadada
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comme dirait ma femme on prend le meilleurs et le pire . Il faut faire avec , pas le choix . malade depuis 5 ans et toujours ensemble et tout se passe bien . Pour ma maladie cancer de la prostate et ablation de celle ci il y a 5 ans et pas de gros problèmes apres l'opération . Ma femme un nodule a son sein , il faut faire des examens tous les ans pour suivre l'évolution Il y a pire que nous . Il faut rien se cacher , a chaque fois je suis allé chez ma doctoresse ma femme était avec moi . Au bout de 40 ans de mariage elle a tout vu . Moi 62 ans et ma femme 57 ans , nous nous sommes mis ensemble de très bonne heure car elle était enceinte . Toujours heureux d'être ensemble
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fadada
Rochambeau
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à mon string, personne ne résiste ! à Font Romeu, à un commerçant qui me demandait comment ça allait, j'ai répondu : "je ne me retourne pas, je sais que ça tombe derrière moi !" mais je dois reconnaître que c'était en basse saison !
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rochambeau
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@pomme123 un psychologue, c'est pas remboursé, non ? tandis qu'un psychiatre si ! j'ai découvert la mosaïque à l'hôpital, ça nécessite beaucoup de précision et de concentration, et on n'a pas intérêt à m'embêter pendant que je tiens mes pinces coupantes !
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pomme123
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pomme123
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c'est vrai le psychologue n'est pas remboursé et c'est pas pour toutes les bourses ,c'est intérressant la mosaique ,tu fait des personnages, des dessous de plat!!! bien assembler les pieces avec les couleurs , moi j'aime peindre (aquarelle) il faut de la concentration aussi ,bonne journée, bravo
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pomme123
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Louise
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Louise
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Conserver une vie intime et sexuelle : une difficulté pour 31,2% des répondants
À la question "en tant que patient ou proche, quel impact a la maladie sur votre vie amoureuse", une majorité des participants a répondu que leur vie intime et sexuelle était difficile. De nombreuses raisons peuvent expliquer ce constat : baisse de libido liée à la fatigue, dysfonctions érectiles, douleurs localisées… Être atteint d’une maladie chronique peut fortement troubler les relations intimes avec son partenaire. Quant aux proches de patients, eux-aussi peuvent ressentir un épuisement psychologique, voire physique.
>> Rejoignez notre groupe de discussion sur les dysfonctions sexuelles masculines
Pour les patients qui n’ont pas trouvé l’âme sœur, la maladie peut également freiner la rencontre de partenaires. Notre grande enquête sur l’isolement a révélé que 57% des patients avaient réduit leurs sorties en ville. Les occasions de rencontrer de nouvelles personnes sont donc plus limitées. De plus, 88% des patients ont constaté un impact de l’isolement sur leur vie intime et 98% sur leur vie sociale.
Les relations avec son partenaire sont plus difficiles pour 21,5% des répondants
Pour 21,5% des patients et proches de patients qui ont répondu à l’enquête, les relations avec leur partenaire se sont compliquées à cause de la maladie. En effet, les patients peuvent souffrir de l’incompréhension de leur conjoint ou ne plus avoir assez d’énergie pour leur consacrer du temps et de l’attention.
>> Témoignage : comment gérer ses relations avec ses proches lorsque l’on souffre d’une maladie mentale ?
Seuls 9,3% des participants ont eu le bonheur de voir leur couple renforcé par l’épreuve de la maladie. De nombreux couples se séparent suite au diagnostic d’une maladie ; par ailleurs, une récente étude a montré qu’une femme est six fois plus susceptible de vivre une séparation après avoir reçu un diagnostic de cancer ou de sclérose en plaques qu'un homme dans la même situation. On en discute par ici.
Rester seul, la solution pour 18,3% des répondants
"Je souhaite rester seul(e) en partie à cause de la maladie" est la réponse donnée par 18,3% des répondants à notre sondage. En effet, des cicatrices, la prise ou la perte de poids ou encore l’appareillage médical peuvent engendrer une mauvaise image de soi. Les difficultés à conserver une vie de couple normale ou la peur du rejet de l’autre peuvent ainsi décourager les personnes concernées.
>> Rejoignez notre groupe sur les traitements de la douleur et trouvez des solutions
Que faire pour retrouver une vie amoureuse épanouie ?
Le Ministère des Solidarités et de la Santé préconise avant toute chose de discuter avec son partenaire de ces problématiques. La communication est l’outil qui vous permettra, dans de nombreux cas, de faire évoluer les choses. Chacun, à son rythme, sans se forcer, pourra réapprendre à dialoguer avec son partenaire.
Si vous n’avez pas trouvé l’âme sœur, n’oubliez pas que vous n’êtes pas défini uniquement par votre maladie. Vous conservez les qualités que vous aviez avant d’être malade ou de vous occuper d’un proche souffrant. La sexualité peut prendre de nombreuses formes, que votre maladie soit handicapante ou non.
Il faut également traiter les symptômes de la maladie qui ont un impact sur la vie intime, dès que cela est possible. Des symptômes neurologiques, cardiovasculaires, physiques ou psychologiques peuvent affecter la sexualité, tout comme les effets secondaires d’un médicament. Parlez-en à votre médecin pour limiter la fatigue et la douleur et améliorer votre moral. Vous pouvez également consulter un spécialiste :
- Un psychologue pourra vous aider à surmonter vos blocages et accepter votre maladie ou celle de votre proche
- Un sexologue vous conseillera sur tous les aspects de la sexualité, qu’ils soient physiques ou affectifs
- Un gynécologue traite la physiologie et les affectations du système génital de la femme pour les aider à limiter la douleur ou des gênes diverses
- Un urologue s’occupe notamment de l’appareil uro-génital masculin et pourra vous conseiller face à des troubles érectiles ou autres douleurs
Et vous, votre vie amoureuse est-elle mise en difficulté par la maladie ? En parler, c’est déjà avancer vers une intimité amoureuse et sexuelle, quelle qu’elle soit, qui vous épanouira. Avez-vous traité des symptômes en particulier ?