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Avancé médicale et nouveaux traitements
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Un dépistage de la rétinopathie diabétique à améliorer
La Haute Autorité de Santé, saisie par la Direction Générale de la Santé, a évalué les différentes techniques et modes d’organisation du dépistage de la rétinopathie diabétique. Selon les estimations, cette complication oculaire toucherait plus de 200 000 diabétiques. Elle peut entraîner une diminution des capacités de vision, voire la cécité si elle n’est pas dépistée et traitée à temps. La HAS émet ainsi des recommandations de santé publique pour améliorer le dépistage de la rétinopathie diabétique en adaptant ses modalités et en améliorant la coordination des différents intervenants.
Une action coordonnée entre médecin généraliste, diabétologue, ophtalmologiste…
De façon à optimiser la prise en charge du patient, une action coordonnée entre les différents intervenants doit être mise en œuvre et permettre l’échange d’informations relatives au patient. Le médecin généraliste devrait par exemple transmettre à l’ophtalmologiste le taux d’hémoglobine glyquée, l’existence ou non d’une hypertension ou encore l’ancienneté du diabète. En retour, l’ophtalmologiste enverra le type d’examen réalisé, le diagnostic, le rythme de dépistage et/ou le délai de consultation préconisé.
Une périodicité du dépistage à adapter selon les patients diabétiques
Jusqu’à maintenant, un dépistage annuel de la rétinopathie diabétique était recommandé. Ce rythme peut être porté à deux ans chez certains diabétiques à faible risque de complication oculaire : ceux qui ne sont pas traités par insuline, dont l’hémoglobine glyquée et la pression artérielle sont équilibrées, et dont un premier examen du fond d’œil indique l’absence de rétinopathie. En revanche, pour tous les autres diabétiques, un examen annuel du fond d’œil reste nécessaire.
Les techniques de dépistage recommandées par la HAS
Le dépistage de la rétinopathie diabétique repose sur l’observation du fond d’œil. Sa réalisation régulière chez les diabétiques doit permettre de détecter suffisamment tôt cette complication, pour la traiter et ainsi limiter les troubles de la vision. La Haute Autorité de Santé a évalué les différentes modalités qui peuvent être utilisées pour le dépistage de la rétinopathie diabétique, et a défini les critères de qualité pour chacune d’elles :
la biomicroscopie réalisée par l’ophtalmologiste reste validée par la HAS ;
la rétinographie couleur est validée par la HAS sous certaines conditions de réalisation (par exemple qualité des clichés…) ;
le dépistage peut également se faire par une lecture différée des clichés (rétinographies couleur) pris par un autre professionnel que l’ophtalmologiste. Cette modalité est validée pour des populations âgées de moins de 70 ans et sous certaines conditions (par exemple qualité de la transmission des images ou des résultats, lecture par un ophtalmologiste dans un délai d’une semaine maximum…).
Une adaptation régionale du dépistage à définir
Les raisons qui sont à l’origine d’une insuffisance du dépistage sont multiples et spécifiques à chaque territoire. Afin de pouvoir agir sur les nombreux déterminants du dépistage insuffisant, l’échelon régional semble le mieux adapté. En effet, c’est à cette échelle qu’il est possible d’intervenir sur les dimensions socioculturelles ou de prendre en compte les problèmes d’accès aux soins liés à la démographie médicale des ophtalmologistes ou à des facteurs économiques. Pour certaines de ces situations, un programme de dépistage par lecture différée de rétinographie couleur pourra constituer une solution adaptée.
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Une nouvelle approche du traitement de la Rétinopathie Diabétique https://www.retina.fr/content/une-nouvelle-approche-du-traitement-de-la-r%C3%A9tinopathie-diab%C3%A9tique
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Rétinite pigmentaire : une thérapie cellulaire prometteuse https://www.frm.org/retinite-pigmentaire-une-therapie-cellulaire-prometteuse
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Une nouvelle piste contre la dépression résistante aux traitements http://sante.lefigaro.fr/article/une-nouvelle-piste-contre-la-depression-resistante-aux-traitements/
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Accueil > Brèves > Diabète de type 1 : un antihypertenseur améliore la santé des patients
Avancées scientifiques, Santé
10 - 07 - 2018
Diabète de type 1 : un antihypertenseur améliore la santé des patients
Un antihypertenseur, le vérapamil, améliore dans un essai clinique la santé des personnes atteintes de diabète 1, un effet découvert chez la souris.
______________________________
En 2012 une publication informait qu’un antihypertenseur commercialisé depuis des décennies, le vérapamil, avait la capacité de protéger les cellules pancréatiques béta productrices d’insuline in vitro sur cellules de souris et de patients diabétiques, et in vivo sur des modèles souris de diabètes de type 1 et 2.
Le mécanisme découvert in vitro sur cellules humaines et de souris, s’avérait donc efficace sur modèle animal.
Ces travaux confirmés par différentes équipes, ont conduit à la réalisation d’un essai clinique de phase 2, d’une durée d’un an, mené sur 24 patients atteints d’un diabète 1 diagnostiqué depuis moins de trois mois et âgés de 18 à 45 ans. Onze patients ont reçu le vérapamil une fois par jour et treize un placebo. Les résultats de cet essai ont été publiés hier.
Le vérapamil a été bien toléré. Il a été associé à :
- une amélioration de la fonction des cellules béta sécrétrices d’insuline
- une diminution du besoin d’insuline et du nombre d’épisodes hypoglycémiques.
Le vérapamil est donc efficace dans la protection des cellules béta et la diminution des épisodes hypoglycémiques dans le diabète 1 récemment diagnostiqué.
Les prochains essais porteront sur des patients diagnostiqués depuis plus longtemps, sur des patients jeunes et aussi sur des patients atteints de diabète 2. En effet, les études épidémiologiques et les études chez la souris montrent que la prise de vérapamil est associée à un meilleur contrôle de la glycémie dans le diabète de type 2.
http://diabetes.diabetesjournals.org/content/61/4/848
http://www.uab.edu/news/research/item/9585-human-clinical-trial-reveals-verapamil-as-an-effective-type-1-diabetes-therapy
https://www.nature.com/articles/s41591-018-0089-4
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Insuffisance rénale : demain la thérapie génique ? Avancées scientifiques, Santé06 - 07 - 2018
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Un traitement de l’emphysème pulmonaire ? Avancées scientifiques, Santé
05 - 07 - 2018 https://www.recherche-animale.org/un-traitement-de-lemphyseme-pulmonaire
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Infarctus : des cellules pluripotentes humaines améliorent la récupération de la fonction cardiaque chez le macaque Avancées scientifiques, Santé
04 - 07 - 2018 https://www.recherche-animale.org/infarctus-des-cellules-pluripotentes-humaines-ameliorent-la-recuperation-de-la-fonction-cardiaque
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Un acteur de la fibrose hépatique découvert chez la souris Avancées scientifiques, Santé 03 - 07 - 2018
https://www.recherche-animale.org/un-acteur-de-la-fibrose-hepatique-decouvert-chez-la-souris
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dinouille

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@dinouille bonjour
très intéressant pour nous les emphysémateux ; je me permets de mettre le lien dans le forum emphysème .
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Un nouveau test sanguin utilise l’ADN pour détecter de nombreuses maladies
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L’analyse ADN d’une seule goutte de sang permettrait de détecter de nombreuses maladies, à l’image du cancer du pancréas, la sclérose en plaques ou le diabète. Ce nouveau test sanguin utiliserait l’ADN de cellules mourantes pour détecter les pathologies.
Jusqu’ici, le test sanguin permettait :
– de repérer les premiers stades d’une pathologie comme le développement d’une tumeur cancéreuse ou d’une maladie auto-immune ou neurodégénérative comme Alzheimer.
– de déterminer la progression d’une pathologie
– le succès d’une thérapie ou ses effets toxiques.
Le principal problème était de ne pouvoir déterminer l’organe auquel appartenaient les cellules, ce qui nécessitait donc un examen invasif.
Pour cette raison, des chercheurs de l’Hebrew University de Jérusalem ont effectué une série d’expériences sur 320 patients.
Ainsi le nouveau test sanguin élaboré permet désormais de détecter les tissus spécifiques dans lesquels les cellules mourraient, à partir de deux principes biologiques :
– les cellules mourantes libèrent des fragments d’ADN circulant un court moment dans le sang. Un procédé connu depuis des décennies, mais il était jusqu’ici impossible de déterminer le tissu d’origine.
– L’ADN porte une marque chimique unique appelée méthylation, stable dans les tissus sains comme dans les malades.
Ruth Shemer, coauteur de l’étude explique : « nos travaux démontrent qu’il est possible d’identifier de quels tissus dans l’organisme proviennent les fragments d’ADN qui circulent dans le sang ».
« Cela représente une nouvelle méthode pour détecter des cellules mourantes dans des tissus spécifiques et une approche très prometteuse pour diagnostiquer des maladies ».
Benjamin Glaser, professeur et patron du département d’endocrinologie au centre médical Hadassah à Jérusalem ajoute même : « à plus long terme, nous envisageons un nouveau test sanguin capable de détecter des dommages dans des tissus même sans suspecter a priori que des maladies touchent un organe spécifique ».