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- 60% des malades chroniques se sentent seuls : 5 solutions pour aider les patients et leurs proches
60% des malades chroniques se sentent seuls : 5 solutions pour aider les patients et leurs proches
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@Laloudouchka voilà il est 3h31 de cette nuit et je n’arrive pas à trouver le sommeil tellement je souffre de partout et personne pour me soutenir. La solitude me devient insupportable et je me traîne sans plus avoir d’envie de rien !
J’ai les velus du. Tour de France qui le tournent dans la tête sans mener nulle part sinon que tout est embrouillé ! Je suis fatigué et je n’en puis plus. J’avais 19 ans lors de mon accident de voiture paraplégie incomplète mais avec son lot d’emmerdes (auto sondage, irrigation colique, etc.) souffrances à 7 / 8 en permanence lombaires en vrac suite aux fractures et maintenant depuis 2005 RIC et SPA traité par SIMPONI. Cela n’emoeche Pas que ma 39 ème intervention sera pour une prothèse totale de la hanche droite, la 39 ème rhizarthrose du pouce droit (le gauche est déjà fait) et la 40 ème sera les canaux carpiens (j’ai reperdu la sensibilité des mains avec des fourmillements insupportables).
Alors,seul mon épouse est partie, ma fille ne veut plus me voir et donc je ne vois plus non plus mes 3 petits enfants et mon fils vit à MONTRÉAL et il a aussi 3 enfants. J’ai encore quelques rares amis mais je me sens bien seul, trop seul. Je n’en’peux plus et je cherche la radicale solution ! J’ai échoué l’annee dernière malgré la prise de 800 mg de morphine plus des somnifères .
Alors voilà au delà des mots la souffrance et la complète solitude me sont insupportables !
Utilisateur désinscrit
Bonjour,
voilà il est 3h31 de cette nuit et je n’arrive pas à trouver le sommeil tellement je souffre de partout et personne pour me soutenir. La solitude me devient insupportable et je me traîne sans plus avoir d’envie de rien !
J’ai les velus du. Tour de France qui le tournent dans la tête sans mener nulle part sinon que tout est embrouillé ! Je suis fatigué et je n’en puis plus. J’avais 19 ans lors de mon accident de voiture paraplégie incomplète mais avec son lot d’emmerdes (auto sondage, irrigation colique, etc.) souffrances à 7 / 8 en permanence lombaires en vrac suite aux fractures et maintenant depuis 2005 RIC et SPA traité par SIMPONI. Cela n’emoeche Pas que ma 39 ème intervention sera pour une prothèse totale de la hanche droite, la 39 ème rhizarthrose du pouce droit (le gauche est déjà fait) et la 40 ème sera les canaux carpiens (j’ai reperdu la sensibilité des mains avec des fourmillements insupportables).
Alors,seul mon épouse est partie, ma fille ne veut plus me voir et donc je ne vois plus non plus mes 3 petits enfants et mon fils vit à MONTRÉAL et il a aussi 3 enfants. J’ai encore quelques rares amis mais je me sens bien seul, trop seul. Je n’en’peux plus et je cherche la radicale solution ! J’ai échoué l’annee dernière malgré la prise de 800 mg de morphine plus des somnifères .
Alors voilà au delà des mots la souffrance et la complète solitude me sont insupportables !
JL S
Laloudouchka
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Laloudouchka
Dernière activité le 03/05/2019 à 12:51
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Bonjour Guillemi,
J'espère qu'à cette heure toute ces souffrances t'auront laissées au moins un ou deux heures de sommeil.
Oui, tu es hélas, encore un exemple de cet abandon face à la souffrance. Les gens ne savent souvent pas aider, même si les tiens t'aiment. Ils ne savant pas écouter, ils ont peur de ta maladie car elle les ramène à leur propre vie, peurs, souffrances.
Chaque souffrance est subjective, les seuils sont différents. Mais ceci reste la souffrance, et tout le monde en a peur.
Alors.... Je te dirai :
- je trouve ce site très chouette car il permet de t'exprimer , et c'est important !
De dire ton ras le bol de ce calvaire.
Il permet aussi à des gens comme moi d'écouter et de te dire "je suis là", et pas seulement moi, mais autour de toi, il y a tant de personnes qui souffrent, qui te comprennent.
Chaque instant de ta vie, où il y a une pause dans ta douleur, vis-le intensément.
Respire, imagine que tu te propulses dans une forêt, que tu t'adosses à un arbre, qu'il te donne sa force son énergie. Peut être écouter de la musique ?
Perso, je vais vers cela, mais aussi vers des vidéos mignonnes (exemple : les animaux savent se soutenir les uns les autres), qui m'arrachent un sourire. Et c'est bon de sourire.
Alors, je te donne un sourire, ce matin, et nul doute que j'aurai une pensée pour toi. Je te dis courage, je te dis même une minute cherche le plaisir, la douceur, écoute ta respiration comme si tu écoutais une petite rivière, dans le creux d'une forêt. Petite ? Oui, mais puissante !
Et toi aussi tu es puissant, et ton corps se bat, aide le....Aie confiance en lui.
Rien, tant que tu ne l'as pas décidé, n'est jamais perdu.
Tu es libre de choisir, tu es libre de tout. Bien amicalement...
ALBATROS
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ALBATROS
Dernière activité le 05/05/2020 à 10:57
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@Guillemi
Bonsoir,
Je souhaitais vous dire que vous témoigner d'un courage phénoménal et que vos enfants doivent être fiers de vous et vous soutenir. Chacun de nous, lorsqu'il est confronté à la douleur,, au travers des épreuves qu'affrontent un de leur proches doit réaliser qu'il ne faut surtout SURTOUT pas se dérober dans ces circonstances et bien au contraire prévoir une place dans son emploi du temps, organiser des relais -si possible- pour rompre la solitude. de ceux qui sont touchés et légitimement souhaitent un peu d'attention. Trop souvent, j'ai malheureusement eu à le constater, celles ou ceux qui se prétendent des proches, sont absents inexistants, dans des situations difficiles. il suffit souvent de passer un simple appel téléphonique. Personne ne peut dire qu'il n'a pas le temps de bavarder un petit quart d'heure ou de passer une heure par semaine auprès de quelqu'un qui souffre. Chacun de nous devrait penser : si c'était moi je voudrais quoi ? Vous avez reçu un très beau message de réconfort de Laloudouchka
Chacun de nous doit réserver du temps pour ceux qui souffrent physiquement et moralement, pour ne pas regretter et même culpabiliser quand il est trop tard. Alors que c'est bon aussi de se sentir utile pour autrui; Ne perdez pas courage - Vous avez déjà amplement démontré que vous êtes très fort et résistant
Cordialement
Utilisateur désinscrit
Mamie-Chatcolat?
dinouille
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dinouille
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Bonjour,moi je m'occupe aussi de ma mère en fauteuil suite à un AVC il y a 5 ans.C'est l’infirmière qui lui fait sa toilette et l'habille le matin et le soir en pyjama.Le reste de la journée c'est moi ou un de mes 2 frères ici,qui la lavons de son lit pour la mettre dans son fauteuil,et la mettre à table.Le plus dur c'est la mettre aux toilettes.Pour le reste j'ai,2 autres frères"2 autres étant décédé" et 4 sœurs"et 1 décédée",aucun(e)s ne prends des nouvelles de ma mère.Ou de moi.Pourtant on étaient très unis étant gosse,là plus rien.Moi,je dois faire attention mon dos et sa tout le monde s'en fiche,même la doctoresse.Famille,ou amis pour eux on est malade on est plus bon à rien,on fait avec,le plus dur c'est pour ma mère 81 ans,même si elle dit rien,parfois elle se met à pleurer,avoir élever des enfants pour ensuite se sentir oublier.Le plus à qui j'en en veux c'est à mes sœurs qui habitent toutes ici,mes deux frères un est à Lorient,l'autre en Belgique,mais le téléphone n'est pas fait pour les chiens.Voilà c'est comme ça.,on doit être contagieux.
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dinouille
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@dinouille , pas facile d'être aidant (je sais car j'ai connu ça). Tes frères et sœurs savent qu'ils peuvent cpter s/toi p/prendre soin de v/mère. As-tu déjà tenté d'avoir une discussion avec tes sœurs p/qu'elles s'en préoccupent un peu + et si possible que cela te soulages.
Bon courage.
dinouille
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@Daphnae Bonjour,merci.Mes frères non,celui qui est en Belgique est marié avec excusez moi le terme une pétasse qui pète plus haut que son c!! et qui n'est ni plus ni moins qu'une aide à domicile.L'autre habite à Lorient,petit appartement,pas d'ascenseur.Quand à mes sœurs,des logements pas adapter,et 2 sa se passe très mal avec elles.Une ne nous parle plus depuis des années,et l'autre,avait voulu mettre ma mère en hôpital après son AVC,pour revendre la maison,là elle est mal tomber,on a vu l'assistante sociale du centre de réadaptation,ma sœur ne lui a plus rendu visite.Sa va foutre le bazarre à l'hôpital alors qu'elle c'est jamais préoccuper de ma mère..Bisous.
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dinouille
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@dinouille , pas simple tt ça. Les ami(e)s qui ns enquiquinent on les envoie balader, la famille, c'est + difficile.
dinouille
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dinouille
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@Daphnae oui,mais bon moi ils viendront pas m'ennuyer
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dinouille
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Louise
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Louise
Dernière activité le 11/06/2021 à 09:00
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60% des patients se sentent seuls face à la maladie et l’incompréhension
60% des patients ont répondu lors de notre enquête qu’ils se sentaient « beaucoup » ou « énormément » seuls. Être atteint d’une maladie chronique fait peser un lourd poids sur la vie quotidienne des patients. Il est difficile d’expliquer ce que l’on ressent à des personnes qui ne partagent pas sa souffrance, d’autant plus que les traitements peuvent être contraignants, empêchant par exemple une sortie au restaurant ou une promenade en famille.
En effet, beaucoup de membres nous ont fait part de la fatigue intense qui mine leur énergie et ainsi leur sociabilité, ainsi que de la douleur qui les paralyse : 54% des patients estiment qu’ils se sentiraient moins seuls s’ils étaient moins fatigués, et 53% se sentiraient moins seuls si leur maladie était moins douloureuse. Les symptômes de leur maladie peuvent ainsi physiquement les empêcher de sortir de chez eux et, de fait, les isoler.
>> Rejoignez notre forum dédié aux traitements de la douleur
Au-delà de ces handicaps, les patients déplorent surtout l’incompréhension dont ils sont victimes, en particulier lorsque la maladie ne se voit pas extérieurement. Les personnes extérieures ne prennent pas la mesure de leur maladie : « Cette maladie est « invisible » et on se retrouve seule face à ses douleurs, l’entourage a juste l’impression que l’on se plaint constamment et qu’on en rajoute ». Beaucoup de patients n’osent pas ou plus aborder le sujet avec leurs proches, de peur d’être encore plus isolés : « Mon entourage ne connaît pas la gravité de la maladie. J’essaye de ne pas embêter mes proches avec ça », nous a confié une patiente. Expliquer sa pathologie à son entourage est un défi quotidien usant qui, au bout d’un moment, peut conduire les malades à s’isoler.
45% des patients ont même caché leur maladie à leur entourage pour ne pas les inquiéter, pour ne pas être pris en pitié, pour obtenir un emploi ou la garde des enfants, mais aussi, comme le résume une patiente, parce que « face à l’ignorance, à la méchanceté gratuite, aux raccourcis, je suis épuisée ».
Les proches des patients, plus isolés que les malades eux-mêmes : 60% des patients et 63,2% des proches se sentent seuls
Si 60% des patients se sentent seuls, pas moins de 63,2% des proches interrogés se sentent « beaucoup » ou « énormément » seuls.
>> Aider un proche en fin de vie, l’émouvante histoire d’Émilie
En France, l’écart entre les patients et leurs proches est encore plus important : 62% des patients se sentent seuls contre 66% des proches ! Les émotions des patients seraient-elles davantage prises en compte par les professionnels de santé que celles de leurs aidants ? Ces derniers doivent également faire bonne figure pour ne pas perturber le patient qu’ils aident : « Je me sens proche de mon épouse, ensemble nous restons unis, mais face à l’ampleur de la maladie qui la prive de sa mobilité, je me sens seul car je dois tout gérer, sans perturber le moral de mon épouse qui a besoin de calme et de tranquillité », explique un membre.
Les proches mettent souvent leurs activités de côté pour s’occuper du patient. Ils voient moins leurs amis et sont parfois victimes d’incompréhension, même si pour 80% des aidants, il n’a jamais été question de cacher la maladie de leur proche. Le pire rejet demeure peut-être celui du patient aidé lui-même : « son affection pour moi a diminué de manière significative en raison de la lutte qu'elle mène contre sa maladie », nous a confié un répondant.
La vie quotidienne des patients et leurs aidants bouleversée par la maladie
Seuls 14% des patients et 20% des proches n’ont pas diminué la fréquence de leurs séances de sport, de sorties en ville ou au restaurant et de leurs voyages. Une grande majorité de nos membres ont vu leur vie quotidienne être directement bouleversée par la maladie : 67% des patients ont diminué la fréquence de leurs activités physiques, 59% ont ralenti la fréquence de leurs repas au restaurant et 57% leurs sorties en ville.
Du côté de leurs proches, 53% vont moins souvent au restaurant et 52% ont limité le nombre de leurs voyages. Certaines maladies peuvent en effet induire l’adoption d’un régime alimentaire particulier, de la fatigue et un traitement trop contraignant pour continuer des activités extérieures. Ralentir la fréquence de ces activités n’est pas anodin : cela participe à isoler les patients et leurs aidants, leur laissant peu de respirations loin de la maladie.
La quasi-totalité des patients et proches interrogés ont vu un impact de la maladie sur leurs vies au quotidien : 98% des patients jugent que leur vie sociale a été perturbée par la maladie et 96% des proches ont constaté un impact sur leur vie familiale. Même la vie professionnelle des participants à notre enquête a été bouleversée pour 81% des patients et 77% des proches. Il est difficile pour les patients et leurs proches de faire abstraction de la maladie qui s’impose dans tous les aspects du quotidien.
La famille, un rempart contre la solitude des patients et de leurs proches
Si le sentiment de solitude est partagé par beaucoup, nos membres ont mis en place des solutions pour s’en protéger. Malgré les difficultés à expliquer la maladie, 40% des patients voient tout de même leur famille comme une aide pour se sentir moins seuls. Pour 31% d’entre eux, les amis sont également une aide majeure – et même les amis virtuels puisque 31% estiment que Carenity leur permet de lutter contre la solitude. L’entourage immédiat des patients est donc la clé pour qu’ils se sentent soutenus et compris. D’ailleurs, pour 38% des répondants, inclure davantage les proches dans le parcours de soins serait une solution pour se sentir moins seuls.
Du côté des aidants, c’est Carenity qui permet en premier lieu de se sentir moins seul (31%). Viennent ensuite la famille (29%) et les amis (28%). Les forums (26%) et les associations de patients (20%) sont également des solutions prisées par les aidants qui cherchent à se renseigner sur la pathologie de leur proche et à améliorer son quotidien.
>> Prenons soin de nos aidants !
Le rôle ambigu du médecin et des professionnels de santé
La relation entre les patients et leurs médecins n’est pas un long fleuve tranquille. 27% des patients se sentent proches de leur médecin traitant et considèrent qu’il leur permet de se sentir moins seuls. 39% de l’ensemble de nos répondants considèrent les professionnels de santé comme étant à l’écoute de leurs difficultés : la confiance envers les médecins est même majoritaire en Espagne, où 52% des patients et proches jugent leur professionnel de santé à l’écoute.
En revanche, au Royaume-Uni, ce score encourageant tombe à 28%. Face au manque de temps du médecin lors des consultations et à son potentiel manque d’empathie, de nombreux patients et leurs aidants n’osent pas aborder le sujet de leur solitude. « Le système médical ne me prend pas au sérieux » s’est plainte une patiente ; « peu de réponses de la médecine face à la douleur » déplore une autre ; « aucun professionnel de santé n’a pris le temps de m’écouter », ajoute un autre membre.
>> 70% des patients ont déjà menti à leur médecin, découvrez pourquoi !
Pour 37% des membres Carenity, obtenir des rendez-vous médicaux plus longs et plus réguliers serait une bonne solution pour se sentir moins seuls face à la maladie. Au Royaume-Uni, une majorité des membres (56%) juge que ce serait nécessaire. Sans remettre en cause le rôle primordial du médecin, nos membres semblent plaider pour une relation de confiance plus apaisée et plus humaine.
En bref : 5 solutions pour être mieux compris et soutenu
Face à l’isolement, nos membres, qu’ils soient proches ou patients, nous ont donné leurs idées pour améliorer leur quotidien. Voici les cinq solutions qu’ils ont classées :
1. Faire connaître les différentes maladies chroniques au grand public : cela permettrait d’éviter la méconnaissance et les maladresses des personnes extérieures (51%)
2. Bénéficier d’un soutien psychologique afin d’extérioriser ses émotions en tant que patient ou proche (39%)
3. Inclure les proches dans le parcours de soins pour partager le fardeau de la maladie chronique et épauler patient et aidant (38%)
4. Avoir des rendez-vous plus longs et plus réguliers afin que le médecin soit un réel soutien face à la maladie (37%)
5. Avoir plus d’informations sur les groupes de parole et associations : 72% des patients et leurs proches n’y ont pas eu accès (36%)
De notre côté, nous sommes fiers que Carenity aide 66% d’entre vous à se sentir moins seul ! Nous continuerons nos efforts pour vous aider à trouver du soutien et des informations utiles.
Et vous, vous sentez-vous isolé ?
Quelles solutions avez-vous mises en place ?