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- SPT chronique sévère - lié à contexte de guerre (passé) et victime de violences (passées) - quel soutien ?
SPT chronique sévère - lié à contexte de guerre (passé) et victime de violences (passées) - quel soutien ?
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Utilisateur désinscrit
J espère que tu auras des réponses.
Bon courage.
Utilisateur désinscrit
Grand merci. Un petit message comme cela, en passant, c'est ce qui fait plaisir aussi dans ce site que je suit. Assez aléatoirement.
Utilisateur désinscrit
"Coach ESPT Canada" est un petit logiciel gratuit de coaching pour smartphone. Il apporte un soutien concret aux "moments de creux" avec des parades/conseils plutôt futés. Cette information n'a évidement rien de commercial. Parlez en au professionnel de santé qui vous suit.
Utilisateur désinscrit
Infecte fin de semaine : nerveux, acidité d'estomac pain noir et Cola light (pas terrible).
Découverte jeudi soir sur la BBC en direct du "drame" (j'utilise ce mot moins chargé à dessein) de Nice.
Celui de notre aéroport de Bruxelles-National et du Métro Maelbeek (Bruxelles) n'a ravivé mon stress que progressivement et de façon différée après une ou deux semaines de distanciation (sirènes dans le quartier, ton des commentaires TV angoissants (souffle court, phrases de peu de mots, répétition sans fin des mêmes commentaires creux ou exacerbant l'émotionnel).
Celui de Nice dès le lendemain à provoqué un stress important de plusieurs jours. Je suis parti regulierement me promener. Ma respiration était par moment fort difficile. Comme un sentiment d'étouffement. Pertes d'équilibre. Je voulais rencontrer quelqu'un, mais qui pour dire quoi? À l'appartement, idées noires récurrentes. Plusieurs fois, amorce de crise de larmes, lors de mes promenades. Je me réfugie alors dans des coins d'immeubles et reprend la marche en donnant le change. Je me demande si je dois appeler les urgences medicales. Selon le jour, essais de me distraire : coiffeur, cinéma, resto. Rien n'y fait. Il fallait que je tombe sur un magnifique film scandinave (drôle et dramatique... sur le thème du suicide). Le second, toujours par hasard portuguais sur le thème d'une personne atteinte de maladie qu'il décide de ne plus soigner.
Coups de fil aussi à la famille qui ne saisi ni mon Etat, ni l'urgence. On ne s'est jamais trop attardé sur nos petits problèmes entre-nous. A un copain qui ne me répondra que quelques jours plus tard. Lors de mes balades jusqu'à épuisement, pertes d'équilibre régulières (effondrement des jambes). Mais je me reprends généralement instantanément. Rencontre d'un généraliste de permanence. Le mien est en vacances. On convient que je prends du sedinal 3 fois par jour et mon Rivotril le soir. J'avais arrêté le serlain et ne souhaitais pas avoir chez moi ni prendre de l'alprazolam. SMS à mon psy principal qui est + ou - en congé. Je lui relate la situation. Décision de prendre lundi contact avec un de mes anciens psy qui connaît mon histoire. Entre temps, mails reçu des RH pour un re cadrage dans la perspective d'une reprise du travail qui me permettrait de revenir à mon plein revenu. Si je tiens.
Ce n'est quand même pas simple. D'autant que les quelques phrases ne résument pas grand chose de ces cinq jours.
Bref, ici on prépare le 21 juillet. Fête nationale. J'irai peut être voir le feu d'artifice. S'il est maintenu. On pensera aux niçois. Avant tout. Les relations entre Nice et la Belgique sont particulière depuis l'après guerre. Il y avait des échanges d'enfants organisés par les amitiés belgo-belge niçoises.
Paisible soiree à tous.
Utilisateur désinscrit
Voilà, je parle tout seul. Pas grave, j'ai vu que quelques personnes ont lu. Ces temps-ci, je suis un peu en dessous de tout. Peut-être les médocs oubliés.
A ce propos, on me propose de suivre une thérapie brève pour me concentrer sur la prise de médocs en temps et heure. Peut-être une ou deux séances d'hypnose. On verra. Idem pour un ou deux troubles du quotidien don des cauchemards qui sont revenus tous les jours. J'ai pris congé au bureau. En France, il y a de la thalasso prise partiellement en charge. Pas évident en Belgique. Je pourrais faire une retraite dans un monastère ou un truc dans le genre. Cela m'est déjà arrivé malgré mon agnosticisme. Mes idées noires me taraudes. Bon, je me calme. Au moins côté message.
J'ai acheté un bouquin sur le stress post trauma publié chez Dunod. Intéressant mais conçu pour les praticiens. J'ai lu 20 pages et ai du faire une pose. On se sent trop impliqué. Je comprends mieux que le Medecin m'aie rappelé que l'on avait fait le choix de ne pas traiter en profondeur le parce que je cumule différents traumas. Le risque serait trop gros que je perde pied.
Quelle curieuse situation que d'être observateur conscient de soi.
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Utilisateur désinscrit
Au delà de l'hypnose, EMDR et des médocs, existe-il des approches de soutien originales ni déni / ni pesantes pour aider au quotidien : travail, vie sociale ou privée. Expérience du soutien d'un animal de compagnie specialisé, du soutien aux militaires/humanitaires étendu au civil ? Faut-il quitter la vie active au risque d'un repli complémentaire? Expérience sur la Belgique francophone ?