Epilepsie et monde du travail

@Cricri05

Salut , j'ai eu le même problème . Dés qu'ils l'ont su , j' ai fait plusieurs crises généralisée , ils ont tout fait pour me virer , car je ne pouvais plus conduire et malgré un traitement costaud : Dépakine 500 , lamictal 50 et 100 mg , Keppra 500 , j'ai encore des absences mais je connais la cause : le choc thermique, et cela me "rassure" ,car je peux faire plus attention . Aujour d 'huis je suis un peu perdu : je ne sais plus si je dois continuer de chercher du travail ou pas au risque de perdre ma pension , ma vie de couple est parfois dure pour ma femme ...

Oui, je suis aussi en catégorie 1. Mais moi, c'est plutôt la médecine du travail qui traine des pieds. En plus, le doc de la MDPH m'a dit il y a plus de 10 ans qu'il devrait me mettre plus de 50% mais qu'il le ferait pas parce que ça m'obligerait à m'ouvrir d'autres droits. Moi, je voulais surtout avoir le bon taux. C'est un abruti qui accorde ses faveurs à qui il veut. Oui, il a l'air de croire que c'est des faveurs. Il a aucune idée de ce que je vis à tous les jours, comme chacun d'entre nous, d'ailleurs. Ça me révolte.

Bonjour . A la retraite depuis 3 ans Épileptique depuis l'âge de 20 ans. Il y a des jours je me demande comment j'ai pu en arriver là. Après une carrière (façon de parler) Après 1 ans de recherche j'ai préféré ne rien dire si non c'était toujours un non. En travaillant dans la métallurgie en tant que soudeur mixte. Des accidents j'en ai fait 2 ou 3 mois le plus longtemps auquel j'ai tenu dans une entreprise c'est 8 mois. Tout ca pendant 55 ans. Le seul avantage c'est que j'en ai eu fait des entreprises l'avantage c'est qu'il y en avait du boulot je n'ai jamais été 1 seul jour au chômage. A part les accidents de travail auquel je ne pouvais pas faire grand chose je me reposait avec l'accident de travail. Après c'était reparti tout ca dans des boîtes intérimaire (la-dessus je ne ferai pas de commentaires). Il n'y en a pas une pour rattraper l'autre.. Mais il fallait gagner sa vie avec une femme et 5 enfants c'était pas rose tous les jours. Mais c'est un choix que j'ai fait et l'époque les seules propositions qu'on m'avait fait c'était de travailler avec des handicapés a enfiler des perles. Mais travailler ailleurs c'était interdit car je pouvais mettre ma vie en danger mais surtout celle de autres. Je ne sais pas si cela a changé. Mais ca a été sans moi, j'ai préféré prendre mes décisions moi même.