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Patients Dépression
Le nombre de gènes connus de la dépression triple
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erwannono
Bon conseiller
erwannono
Dernière activité le 21/11/2024 à 21:02
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Bonsoir et merci @Louise-T pour cette information encourageante, en souhaitant que nos chercheurs progressent rapidement pour de bons traitements
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erwannono
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Recherche et liens utiles - Dépression
L'activité physique est bonne contre la dépression, même le ménage !
Perceval46
@JeromeChauveau
Comme cela a été dit plus haut par d'autres et j'en rajoute une couche, la base c'est de ne pas avoir honte et se culpabiliser... Mais ce qui n'arrange rien, c'est vrai c'est qu'on a tendance à s'isoler et d'ailleurs pour la plupart d'entre nous c'est aussi une façon de nous protéger des autres ceux qui n'ont pas vécu ça et ne peuvent comprendre et sans forcément nous critiquer pensent nous aider en nous donnant des conseils...
Mais quand on est "cassé" c'est impossible de faire la plupart de ce qu'on nous propose...
Dans mon cas le psychiatre m'a rajouté un AD à celui que je prends... Au bout d'un mois je commence à sentir des améliorations au niveau psychique mais les effets secondaires augmentent aussi, il paraît que ça devrait s'estomper mais ce n'est pas le cas et c'est contraire au but recherché puisque c'est pour que je puisse sortir plus de chez moi et que les effets secondaires me donnent des malaises et je sors encore moins qu'avant...
Un truc qui nous aide bien c'est de sentir qu'on est pas seul à galérer, c'est pour ça que c'est important ce genre d'endroit comme ici, On n'a pas forcément de solutions pour les autres mais on se juge pas et on s'encourage virtuellement...
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vivi31
@Madison20
Bonjour Madison, bienvenue au club si je puis dire.... Je vais me présenter rapidos et en synthèse. Je fais depuis 5 ans une dépression chronique due à une coupure de ponts avec mon fils unique pendant 3 ans que j'ai élevé pratiquement seule puisque divorcée lors de ses 7 ans, il est revenu vers moi m'appelle assez souvent, il a 2 petits mais je ne les vois que 2 apresm par an !!! Pourtant, il habite Bourges et moi Toulouse, ce n'est pas le bout du monde !!! Cette situation est liée en grande partie à sa femme. Bon, bref, le pb est que l'on n'arrive pas à me trouver un anti-dépresseur qui me convienne car je suis intolérante à beaucoup d'entre eux avec des effets secondaires très invalidants. Alors, j'ai des doses faibles et je prends plusieurs médocs en même temps. J'ai essayé pas mal de thérapies parallèles, l'EMDR, la psychothérapie, le reiki, la sophrologie, et depuis l'an dernier la RTMS qui est celle qui me fait un peu d'effet, le reste rien. Alors, je comprends t.bien ton état, et, surtout, ne sois pas gênée du pourquoi de ton état, le pb est que tu souffres et qu'il faut trouver une solution. Sache que je compatis vraiment. Moi, en ce moment, ça ne va pas non plus, je ne sais plus quoi faire, je suis mal tte la journée, sauf la nuit où j'arrive à dormir depuis que je prends du norset. Je sais qu'il ne faut pas lâcher et garder espoir mais c'est dur, et comme dit Prunelle on arrivera à la stopper cette satanée maladie. C'est bien que tu te sois exprimée, c'est déjà t.bien. Moi, sur ce site , je communique avec Prunelle et Griffonia qui sont des personnes formidables et très courageuses. Alors, ne lâche rien, prends ton traitement et communique. Je te dis à bientôt si tu le désires, bien sûr. Prnds soin de toi.
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Perceval46
@JeromeChauveau
Comme cela a été dit plus haut par d'autres et j'en rajoute une couche, la base c'est de ne pas avoir honte et se culpabiliser... Mais ce qui n'arrange rien, c'est vrai c'est qu'on a tendance à s'isoler et d'ailleurs pour la plupart d'entre nous c'est aussi une façon de nous protéger des autres ceux qui n'ont pas vécu ça et ne peuvent comprendre et sans forcément nous critiquer pensent nous aider en nous donnant des conseils...
Mais quand on est "cassé" c'est impossible de faire la plupart de ce qu'on nous propose...
Dans mon cas le psychiatre m'a rajouté un AD à celui que je prends... Au bout d'un mois je commence à sentir des améliorations au niveau psychique mais les effets secondaires augmentent aussi, il paraît que ça devrait s'estomper mais ce n'est pas le cas et c'est contraire au but recherché puisque c'est pour que je puisse sortir plus de chez moi et que les effets secondaires me donnent des malaises et je sors encore moins qu'avant...
Un truc qui nous aide bien c'est de sentir qu'on est pas seul à galérer, c'est pour ça que c'est important ce genre d'endroit comme ici, On n'a pas forcément de solutions pour les autres mais on se juge pas et on s'encourage virtuellement...
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vivi31
@Madison20
Bonjour Madison, bienvenue au club si je puis dire.... Je vais me présenter rapidos et en synthèse. Je fais depuis 5 ans une dépression chronique due à une coupure de ponts avec mon fils unique pendant 3 ans que j'ai élevé pratiquement seule puisque divorcée lors de ses 7 ans, il est revenu vers moi m'appelle assez souvent, il a 2 petits mais je ne les vois que 2 apresm par an !!! Pourtant, il habite Bourges et moi Toulouse, ce n'est pas le bout du monde !!! Cette situation est liée en grande partie à sa femme. Bon, bref, le pb est que l'on n'arrive pas à me trouver un anti-dépresseur qui me convienne car je suis intolérante à beaucoup d'entre eux avec des effets secondaires très invalidants. Alors, j'ai des doses faibles et je prends plusieurs médocs en même temps. J'ai essayé pas mal de thérapies parallèles, l'EMDR, la psychothérapie, le reiki, la sophrologie, et depuis l'an dernier la RTMS qui est celle qui me fait un peu d'effet, le reste rien. Alors, je comprends t.bien ton état, et, surtout, ne sois pas gênée du pourquoi de ton état, le pb est que tu souffres et qu'il faut trouver une solution. Sache que je compatis vraiment. Moi, en ce moment, ça ne va pas non plus, je ne sais plus quoi faire, je suis mal tte la journée, sauf la nuit où j'arrive à dormir depuis que je prends du norset. Je sais qu'il ne faut pas lâcher et garder espoir mais c'est dur, et comme dit Prunelle on arrivera à la stopper cette satanée maladie. C'est bien que tu te sois exprimée, c'est déjà t.bien. Moi, sur ce site , je communique avec Prunelle et Griffonia qui sont des personnes formidables et très courageuses. Alors, ne lâche rien, prends ton traitement et communique. Je te dis à bientôt si tu le désires, bien sûr. Prnds soin de toi.
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Louise
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Louise
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Dernière activité le 06/10/2020 à 12:05
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La découverte de trente nouveaux gènes impliqués dans la dépression grave multiplie par trois le nombre de gènes connus pour jouer un rôle dans la maladie, d'après une étude réalisée sur près d'un demi-million de gens.
Cette base génétique élargie de la dépression majeure recouvre celle d'autres troubles psychiatriques, tels que la schizophrénie, relève le consortium de près de 250 scientifiques dont les travaux sont parus dans la revue spécialisée Nature Genetics. "Ça change la donne", estime Patrick Sullivan, directeur du Centre de génomique psychiatrique à l'Université de Caroline du Nord et co-responsable de cette recherche.
Ces résultats devraient fournir des cibles pour la mise au point de nouveaux médicaments et d'autres formes de traitement, selon la revue. "Nous sommes tous porteurs de variantes génétiques de prédisposition à la dépression", mais ceux qui présentent un profil génétique plus défavorable encourent plus de risques, souligne Naomi Wray, co-auteure principale,
chercheuse à l'Université du Queensland en Australie.
Le surpoids et l'obésité sont des facteurs de risque de dépression, selon les données de cette recherche. Le rapport entre les facteurs génétiques et les facteurs non-génétiques qui sous-tendent la dépression varie d'un individu à l'autre, mais il s'agit presque toujours d'une combinaison des deux. "Comprendre la base génétique de la dépression majeure a été très
difficile", commente M. Sullivan, pour qui l'étude permet une vision plus approfondie sur la base génétique de cette maladie humaine handicapante.
Le consortium a examiné des données concernant plus de 135.000 personnes atteintes de dépression, et a comparé leurs profils génétiques à ceux de 344.000 personnes sans aucun signe de la maladie. L'identification des trente nouveaux gènes repose sur une corrélation sans ambiguïté, d'après l'étude. Dans le monde, 14% environ des adultes sont sujets à des épisodes de dépression profonde, qui contribue également à l'invalidité à long terme, selon l'Organisation mondiale de la santé. Seulement La moitié environ des patients diagnostiqués répondent bien aux traitements existants.
Cette étude n'est toutefois "que le premier pas", selon la co-signataire Cathryn Lewis du King's College de Londres. De plus amples recherches sont nécessaires "pour découvrir plus de fondements génétiques, et comprendre comment la génétique et les facteurs de stress environnementaux travaillent ensemble pour augmenter le risque de dépression", précise la professeure Lewis.
-AFP-