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Patients Prostatite
Urétrite, Prostatite ou névralgie pudentale ? Le diagnostic est difficile
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Tous les commentaires
Aurélien.D
Bon conseiller
Aurélien.D
Dernière activité le 17/08/2024 à 10:03
Inscrit en 2021
574 commentaires postés | 2 dans le forum Prostatite
3 de ses réponses ont été utiles pour les membres
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Bon conseiller
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Ami
Bonjour @Donnie
Je vous remercie pour l'ouverture de ce sujet.
J'invite ici quelques membres à y participer : @Win711 @karimovfr @jordan152 @AxwellF @Nikolaï @Bekele83 @Ammarmejri @Fatigué72 @Marbeuck @fonnet
Avez-vous eu des symptômes similaires ?
Belle journée,
Aurélien de l'équipe Carenity
Donnie
Donnie
Dernière activité le 20/10/2021 à 07:52
Inscrit en 2021
2 commentaires postés | 2 dans le forum Prostatite
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Explorateur
Bonjour Aurélien !
Merci pour votre retour 👍
Bonne journée à vous
Win711
Win711
Dernière activité le 14/01/2023 à 16:04
Inscrit en 2021
2 commentaires postés | 2 dans le forum Prostatite
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Explorateur
Dsl j'avais pas vu ton message.... As tu fait echos de la prostate et psa? Tu peux essayé osteo et kiné mais ils faut qu'ils connaissent comment traité ca.... C'est difficile a dire car la nevralgie pudendale est différente pour tous ..moi ca fait 2 ans et j'en connais ou ca dure plus...l'errance medicale dans ce domaine est connu...tu en ai ou tu as trouvé la cause ?ca va mieux?
Taketheflo
Taketheflo
Dernière activité le 27/09/2023 à 18:52
Inscrit en 2023
24 commentaires postés | 24 dans le forum Prostatite
1 de ses réponses a été utile pour les membres
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Explorateur
Bonjour à toi. As tu des nouvelles rassurantes ?
Utilisateur désinscrit
Bonjour Donnie, je vis exactement le même cauchemar. Avez vous finalement trouver une solution à votre problème? Nico
Mglm23
Mglm23
Dernière activité le 30/03/2024 à 13:04
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2 commentaires postés | 2 dans le forum Prostatite
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Explorateur
bonsoir à tous
je viens d’effectuer un irm prostatique
mon urologue étant en congés et mon médecin aussi ( je sais aucune chance lol )
j’aimerais savoir si quelque qui peu m’aider .. a avec quelque phrase ?
car sur internet n’importe quel phrase que je met je meurs demain.. merci sa me rassurer et je communiquerai en priver à la personne qui veut maider
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Philippelo
Bonjour,
Je voulais à mon tour témoigner d’une guérison.
J’ai souffert d’une prostatite chronique pendant environ 10 ans, arrivée comme ça, sans événement particulier. 10 ans d’envies impérieuses, de gouttes retardataires, de stress, de déprime mais aussi de recherche… et puis ça va mieux.
J’ai lu et tenté comme tout le monde plein de recettes et méthodes … et je voulais faire part de celle qui a marché pour moi.
J’ai raisonné par pourcentage en me disant : qu'est-ce qui joue, en % sur la pénibilité de cette maladie ?
J’ai d’abord essayé d’en saisir les déclencheurs. J’avais lu que le stress, l’alcool, les exitants (caféine, théine), l’alimentation épicée étaient des amplificateurs de symptôme, sans vraiment y croire …
Avec le recul, je vois les choses comme ça (et c’est une perception totalement personnelle)
Stress (40%)
Oui, je l'ai longtemps nié mais l’aspect psychologique est très fort : il faut agir, d’une manière ou d’une autre sur le stress. La maladie se nourrit elle-même du stress qu’elle génère (t’es sûr que t’as pas envie de pisser, là ? sûr ?) … D’ailleurs rien que d’en parler … (!)
J’ai réalisé que je n’étais pas forcément conscient du stress que je subissais (ou me créais) : environnement professionnel, familial, fatigue, et maladie elle-même etc … Bizarrement ça diminuait beaucoup pendant les vacances.
J’ai appris, avec le temps, à lâcher prise d’une manière générale et les symptômes ont bien diminué … Un détail : je suis passé du caleçon au boxer, ça évite le stress de la dernière goutte ... j'ai mes petits rituels, je me nettoie soigneusement le gland avant de dormir notamment (et ça marche bien !)
M'écoutant sur cette maladie, ma femme lui a donné un nom ridicule qui l’a un peu remise à sa place (la prostatite, hein) : “la pissotte”.
Alcool (20%)
oui, des effets, sans aucun doute. Les lendemains de fête les symptômes étaient/sont plus forts, certains alcools particulièrement impactants (champagne, rhum blanc, whisky), d’autres presque bénéfiques (la bière notamment, avec un effet de purge, ou du moins l’ai-je vécu comme ça). Bon après, l’alcool, ça relaxe, donc effet sur le stress, bien sûr … mais attention les effets secondaires si trop grande quantité !
Je me suis fixé quelques règles : pas d’alcool avant le jeudi, par exemple … pas (trop) d’excès…
Alimentation (10%)
Je n’ai pas noté de vrai gros déclencheur. J’ai changé quelques habitudes : passé du thé au café puis à la chicorée mais sans me prendre la tête et en revenant à l’un ou l’autre de temps en temps … J’évite autant que possible le piment fort (ça c’est assez radical, en revanche).
Inconnu (10%)
Et puis parfois : une crise. Aucun signe vraiment annonciateur. Dans les salles de spectacle, notamment, comme si je me projetais sur scène alors que je suis dans le public ! Un peu de pression et ça recommence. J’en ai pris mon parti. Je n’angoisse plus : je sais que ça repartira tout seul.
Mécanique musculaire (20%) - j'ai pas trouvé plus parlant ...
j’ai essayé pas mal de médications mais rien n’a fonctionné. En revanche je m’astreins à faire du gainage, principalement assis sur une chaise : monter les genoux puis étendre les jambes à l’équerre : c’est quasi miraculeux ! La planche aussi, etc.
Tout ce qui permet de retenir les viscères pour éviter que “ça appuie” sur la zone sensible. D'ailleurs quand c’est trop fort je saisis les viscères à travers la peau du ventre et essaie de les remonter. Ça peut bien soulager … Parfois aussi, le travail digestif peut aider. Une gène ? je machouille un bout de pain ou autre et souvent, ça passe …
Bref, aujourd’hui, je m’estime quasi-guéri. Je sais que ça peut revenir mais aussi que ça peut disparaitre. Il n’y a pas eu de grande révolution, j’ai juste constaté un jour que je n’avais plus eu de vraie crise depuis longtemps et qu’il fallait peut-être que je partage ça avec ceux qui galèrent comme j’ai pu galérer …
Voilà : et donc surtout, relaaax !
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Philippelo
Bonjour,
Je voulais à mon tour témoigner d’une guérison.
J’ai souffert d’une prostatite chronique pendant environ 10 ans, arrivée comme ça, sans événement particulier. 10 ans d’envies impérieuses, de gouttes retardataires, de stress, de déprime mais aussi de recherche… et puis ça va mieux.
J’ai lu et tenté comme tout le monde plein de recettes et méthodes … et je voulais faire part de celle qui a marché pour moi.
J’ai raisonné par pourcentage en me disant : qu'est-ce qui joue, en % sur la pénibilité de cette maladie ?
J’ai d’abord essayé d’en saisir les déclencheurs. J’avais lu que le stress, l’alcool, les exitants (caféine, théine), l’alimentation épicée étaient des amplificateurs de symptôme, sans vraiment y croire …
Avec le recul, je vois les choses comme ça (et c’est une perception totalement personnelle)
Stress (40%)
Oui, je l'ai longtemps nié mais l’aspect psychologique est très fort : il faut agir, d’une manière ou d’une autre sur le stress. La maladie se nourrit elle-même du stress qu’elle génère (t’es sûr que t’as pas envie de pisser, là ? sûr ?) … D’ailleurs rien que d’en parler … (!)
J’ai réalisé que je n’étais pas forcément conscient du stress que je subissais (ou me créais) : environnement professionnel, familial, fatigue, et maladie elle-même etc … Bizarrement ça diminuait beaucoup pendant les vacances.
J’ai appris, avec le temps, à lâcher prise d’une manière générale et les symptômes ont bien diminué … Un détail : je suis passé du caleçon au boxer, ça évite le stress de la dernière goutte ... j'ai mes petits rituels, je me nettoie soigneusement le gland avant de dormir notamment (et ça marche bien !)
M'écoutant sur cette maladie, ma femme lui a donné un nom ridicule qui l’a un peu remise à sa place (la prostatite, hein) : “la pissotte”.
Alcool (20%)
oui, des effets, sans aucun doute. Les lendemains de fête les symptômes étaient/sont plus forts, certains alcools particulièrement impactants (champagne, rhum blanc, whisky), d’autres presque bénéfiques (la bière notamment, avec un effet de purge, ou du moins l’ai-je vécu comme ça). Bon après, l’alcool, ça relaxe, donc effet sur le stress, bien sûr … mais attention les effets secondaires si trop grande quantité !
Je me suis fixé quelques règles : pas d’alcool avant le jeudi, par exemple … pas (trop) d’excès…
Alimentation (10%)
Je n’ai pas noté de vrai gros déclencheur. J’ai changé quelques habitudes : passé du thé au café puis à la chicorée mais sans me prendre la tête et en revenant à l’un ou l’autre de temps en temps … J’évite autant que possible le piment fort (ça c’est assez radical, en revanche).
Inconnu (10%)
Et puis parfois : une crise. Aucun signe vraiment annonciateur. Dans les salles de spectacle, notamment, comme si je me projetais sur scène alors que je suis dans le public ! Un peu de pression et ça recommence. J’en ai pris mon parti. Je n’angoisse plus : je sais que ça repartira tout seul.
Mécanique musculaire (20%) - j'ai pas trouvé plus parlant ...
j’ai essayé pas mal de médications mais rien n’a fonctionné. En revanche je m’astreins à faire du gainage, principalement assis sur une chaise : monter les genoux puis étendre les jambes à l’équerre : c’est quasi miraculeux ! La planche aussi, etc.
Tout ce qui permet de retenir les viscères pour éviter que “ça appuie” sur la zone sensible. D'ailleurs quand c’est trop fort je saisis les viscères à travers la peau du ventre et essaie de les remonter. Ça peut bien soulager … Parfois aussi, le travail digestif peut aider. Une gène ? je machouille un bout de pain ou autre et souvent, ça passe …
Bref, aujourd’hui, je m’estime quasi-guéri. Je sais que ça peut revenir mais aussi que ça peut disparaitre. Il n’y a pas eu de grande révolution, j’ai juste constaté un jour que je n’avais plus eu de vraie crise depuis longtemps et qu’il fallait peut-être que je partage ça avec ceux qui galèrent comme j’ai pu galérer …
Voilà : et donc surtout, relaaax !
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Donnie
Donnie
Dernière activité le 20/10/2021 à 07:52
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2 commentaires postés | 2 dans le forum Prostatite
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Explorateur
Urétrite, Prostatite... ? Problème de diagnostic
Bonjour,
Je vais essayer d'être le plus clair et synthétique possible.
33 ans, je vous sollicite afin de savoir si quelqu'un a déjà vécu ma situation, qui me rends la vie infernal depuis 4 mois maintenant.
Tout a commencé par de simple brûlure au niveau de l'urètre, besoin d'uriner de plus en plus ( 10 fois/ nuit). Mon généraliste ma prescrit du ciprofloxacine pendant 15 jours après analyse urinaires ECBU qui c'est révélé négative.
Le traitement a été inefficace, et les brûlures persistait. Progressivement, au bout une dizaine de jours la douleur a commencé à se propagé au niveau de ma bourse, testicule et jusqu'au rectum. Sensation de chaleur intense a tous les niveau. Également très fatiguée, alors que je suis de base tres sportif avec une bonne hygiène de vie. Jamais eu de rapport non protégé.
Prise de sang et analyse d'urine toujours négative. J'ai eu le droit à un traitement probabiliste MST avec azytromicine pendant 5 jours. J'ai été tester contre toutes les MST, les résultats ont toujours été négatif.
Une injection de rocefine, ma soulager pendant 2 jours mais les brûlures et envie d'uriner pressente sont vite revenu.
Étant sous antibio, et cela pouvant fausser les résultats, j'ai eu le droit à tous les traitements probabiliste MST.
Doxicicline 7 jours
Rocefine 10 jours en injection intra musculaire 1g
La piste MST étant éliminer d'apres les médecins, L'urologue que j'ai vu ma tout de suite parlé de Prostatite, et que le problème allait partir avec le temps. Une échographie Prostatite/ vessie n'a rien révélé d'anormal.
Je n'ai jamais eu d'écoulement au niveau de l'urètre. Jamais de sang dans les urines.
3 semaines après mes premiers symptômes, et la sensation de chaleur intense niveau rectum. Je suis allez voir un proctologue qui me diagnostic de gros hémorroïdes internes.
Daflon + titanoreine en suppo n'on pas règlé le pb.
J'ai fais entre temps IRM, écho pelvi périnéale qui n'on rien révélé d'anormal. Pas d'abcès peri prostatique, pas d'atteinte des epydidyme... Ras a tous les niveau.
Ayant des antécédents. Je n'ai pas été traité sous anti inflammatoire.
Je me retrouve aujourd'hui dans une situation très délicate 4 mois après mes premièrs symptôme. J'ai toujours des brûlures au niveau de l'urètre, et de ma bourse.
Je suis actuellement un protocole sous anti inflammatoire pendant 1 mois en dernier recours qui me soulage mais ne résous pas le pb.
Je prévois une uretroscopie prochainement sans grande conviction quand j'écoute le discours des urologues qui me disent qu'il y aura rien.
Les médecins commence a me parler de névralgie pudentale. l'IRM a relevé aucune compression pathologique le long des nerf pudentaux.
Je pleure de douleurs tellement c'est compliqué malheureusement
Quelqu'un a t'il déjà vécu cette situation ? J'aimerais avoir un retour si quelqu'un a déjà vécu cela.
D'avance merci,
Cdt