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Médicaments : ces ordonnances qui tuent
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Les humains sont si méchants que je préfére me tourner vers les animaux , en sauce avec des petits oignons et des champignons
quesaquo
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quesaquo
Dernière activité le 30/09/2024 à 09:06
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Et quand vous serez jugé incapable de prendre tout cela correctement, on vous assignera une personne soignante à domicile pour vous faire prendre tout cela, aux frais de votre héritage...
Ces prestations ne sont elles pas récupérables sur la succession?Alors, où est le problème? C'est un business, c'est tout...mais c'est désespérant!
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Les humains sont si méchants que je préfére me tourner vers les animaux , en sauce avec des petits oignons et des champignons
Utilisateur désinscrit
On sait tous que les médicaments ont des effets secondaires sur l'organisme, il suffit seulement de lire les notices.
Le plus étonnant, c'est qu'on vous prescrit un médicament, pour soulager la migraine mais qui peut vous donner des maux de tête et cela encore pour beaucoup d'autres médicaments. Tout comme un traitement donné pour l'angine de poitrine mais à ne pas prendre si le patient a fait un infarctus, alors qu'il en a fait un. Trouvez l'erreur. Le médecin est sensé connaître le dossier de son patient.
Le patient va chez le médecin, le spécialiste avec les courriers, ordonnances, IRM, radios et autres...enfin tout compte rendu afin d'informer celui-ci, de tout son parcours médical. Là-aussi, faudrait-il encore, qu'ils prennent au moins le temps d'en lire les grandes lignes. Tout cela servant de support oral du patient.
Ont été instaurés les génériques, une grande découverte ! Dites-moi alors pourquoi en la majeure partie n'ont aucun effet pour traiter la maladie alors que le précédent était efficace. Disait-on aussi qu'il ferait une grande économie, là-aussi, regardons bien. Les médecins les plus honnêtes vous en donneront la raison et écriront à côté du médicament "non substituable", et celui-ci sera bien plus efficace. Alors ne servons pas de cobaye et si certains pensent qu'un médicament est inutile pour tel patient, qu'il soit honnête plutôt que de lui prescrire un placebo.
Je pense aussi qu'il faut savoir dire non quand le patient ne ressent aucune efficacité à un traitement ou bien s'il juge qu'il en prend trop. je sais très bien que c'est un engrenage, car c'est aussi difficile de dire non lorsqu'on est en grande souffrance. Je crois qu'aujourd'hui nous avons aussi la possibilité de nous tourner vers la médecine douce qui peut nous permettre de diminuer la médication en parallèle, du moins pour certaines pathologies.
De même un bon pharmacien qui vous connait bien, connait aussi votre traitement, celui-ci est enregistré, ainsi le pharmacien peut parfois détecter une erreur de prescription. On peut aujourd'hui autoriser à faire paraître notre traitement habituel sur notre carte vital, ce qui a pour avantage si vous changez de pharmacie de connaître votre traitement régulier et aussi de délivrer les médicaments à outrance selon la prescription donnée et la date du passage à la pharmacie.
Il est très courant de voir chez les personnes âgées des piles de médicaments qui n'ont jamais été utilisés mais qui sont aussi périmés.
Et arrêtons aujourd'hui de faire de la publicité pour l'auto-médication, il y a déjà bien assez d'erreur avec certains médicaments qui engendrent des interactions dont les molécules peuvent être très nocives pour la santé et qui peuvent entraîner un décès. Ce ne sont pas des bonbons mais bien des médicaments.
J'ai moi-même eu un traitement prescrit par un spécialiste, en parallèle avec un autre traitement pour une pathologie différente donné aussi par un autre médecin, le premier le sachant, n'a pourtant pas hésité à faire l'essai et j'ai failli perdre la vie. Et ceci malgré mon insistance. Alors si vous avez le moindre doute, n'hésitez pas à vous renseigner par ailleurs.
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Julien
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Julien
Dernière activité le 12/06/2024 à 11:32
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Un médicament est par définition censé nous soigner... Pourtant, chaque année en France, les médicaments sont responsables d’au moins 18.000 décès. C’est plus que les accidents de la route et les suicides réunis.
La France est le pays européen où l’on consomme le plus de médicaments et 9 fois sur 10 les consultations se soldent par la rédaction d’une ordonnance. Cette habitude a une conséquence directe : les risques d’accidents médicamenteux se multiplient.
Chaque année, on estime que 150.000 patients sont hospitalisés à cause d’effets indésirables provoqués par leurs traitements.
Ces accidents peuvent être la conséquence d’effets secondaires connus ou d’erreurs humaines : médicaments mal pris, mal prescrits, intéractions entre plusieurs molécules ou avec des aliments qui peuvent rendre les traitements inefficaces ou toxiques.
Une population est particulièrement exposée à ce risque : les personnes âgées. La moitié des médicaments est consommée par les plus de 60 ans et passé 75 ans, une personne prend en moyenne 9 médicaments par jour ! Un cocktail chimique aux conséquences désastreuses. Un tiers des hospitalisations des personnes âgées serait ainsi dû aux médicaments.
La Haute Autorité de Santé a récemment publié une mise en garde concernant l’abus de benzodiazépines (anxiolytiques, somnifères) chez les personnes âgées. Des médicaments qui seraient à l’origine de 20.000 chutes fracturées par an et de 1.800 décès.
Comment lutter contre ce problème de santé publique ? Quelle est la part de responsabilité des médecins, des patients et des laboratoires pharmaceutiques dans ces accidents ?Au-delà du problème de santé publique, cette overdose de traitements illustre une question de société : la médicalisation à outrance de la vieillesse.
Le documentaire de Marie Bonhommet "Médicaments, la vieillesse en otage" sera suivi d’un débat animé par Marina Carrère d’Encausse, Michel Cymes et Benoît Thevenet.
Pour découvrir ce documentaire : http://www.allodocteurs.fr/emissions/enquete-de-sante/enquete-de-sante-du-09-06-2015_25389.html
Allodocteurs.fr