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La santé des élèves de grande section de maternelle en 2013 : des inégalités sociales dès le plus jeune âge
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scoobidoo
Bon conseiller
scoobidoo
Dernière activité le 27/01/2024 à 01:45
Inscrit en 2014
2 713 commentaires postés | 460 dans le groupe Revue de presse
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Et il a fallu payer une enquête pour savoir ça ! ! ! J'aimerais bien savoir combien elle a coûté.
Encore de l'argent bien mal utilisé !
Francine
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La vie est belle si on ne lui demande pas plus que ce qu'elle peut donner.
Utilisateur désinscrit
Tout ça c'est le résultat de la "mal bouffe", des produits élaborés avec du sirop de glucose à la place du sucre de canne, des huiles douteuses (végétales pour de palme par exemple)... tout ce qu'on retrouve dans la nourriture à bas prix...
@scoobidoo a raison. Pas besoin d'une étude pour faire le constat ci-dessus. Il suffit d'observer le panier de la ménagère des clients des supermarchés...
Utilisateur désinscrit
Bonjour,
Je pense comme toi @scoobidoo des dépenses inutiles car tout le monde le sait.
Quand on entend manger 5 fruits et légumes par jours au prix ou ils sont.
Je pense pas que les bas salaires peuvent se permettre d'en offrir à leurs familles tout les jours et c'est sur qu'il est moins cher pour eux d'acheter des boites de conserves ou autres denrées premiers prix bourrés de sucre d'huile et de sel donc bien sur qu'ils sont plus gros plus de carries mais comment peuvent t'ils faire autrement.
Manger du poisson au prix ou il est c'est bien moins cher pour eux d'acheter du poisson panés à leurs enfants et la viande c'est pareil.
Ils font avec leurs moyens et bien sur cela ce répercute sur leurs santé.
Tout le monde ne peut ce permettre d'acheter des produits frais tout les jours pour avoir une alimentation saine et variée.
Utilisateur désinscrit
Ma famille n'était pas bien riche mais mon père, après le travail en usine toute la journée, passait une partie de ses soirées et tout le samedi après-midi dans le potager de personnes qui n'avaient plus la force de faire leur jardin. La récolte de fruits et légumes était partagée à moitié. Ma mère faisait, à la belle saison, n'arrêtait pas de faire des confitures et des conserves pour toute l'année.
Il est vrai qu'à l'époque l'habitude n'était pas encore de se mettre devant le petit écran tout de suite après le boulot... On se déplaçait à pied et à vélo, très rarement en voiture, et on se bougeait énormément comparativement à aujourd'hui...
Finalement le mode de vie il y a cinquante ans encore était bien plus sain...
kinou209
Bon conseiller
kinou209
Dernière activité le 10/02/2022 à 09:14
Inscrit en 2011
363 commentaires postés | 13 dans le groupe Revue de presse
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Sur les enfants de cadres font le sport qu'ils peuvent choisir, les enfants d'ouvriers font ceux qui sont gratuit si ils ont la chance d'y avoir accès.
Les enfants de cadres partent en vacances, vontau cine a la patinoire etc... les enfants des ouvriers pendant ce temps entendent souvent leurs parents et encore quand ils ne sont pas divorcé comment allons nous finir le mois, plus de factures que de salaires. Comment on parler d'égalité quand on cumul jobs pour payer c'c'esr factures, moi qui etait nourrice avec un enfant pendant dix ans et que l'on était payé a l'heure. Valais mieux se trouver un job pour les vacances surtout apres l'invention des rtt. Et trouver de petites astuces qui rapportait quelques sous....emploi que je n'ai pu remplacer que par un 30h merci a l'invention des mi-temps,,,, ces adultes la ne peuventmmeme plus prendre soin eux d'eux même alors meme si ils font le max pour leurs enfants il y a des manques,,,et de plusieurs natures pas besoin d'etre un geni pour le comprendre. Juste ne pas etre enferme deans un seul milieu,,,
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Julien
Bon conseiller
Julien
Dernière activité le 12/06/2024 à 11:32
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10 075 commentaires postés | 815 dans le groupe Revue de presse
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Ainsi, les enfants de cadres ont de meilleurs indicateurs de santé : 7 % sont en surcharge pondérale et 1 % sont obèses, contre respectivement 16 % et 6 % chez les ouvriers. La proportion d’enfants de cadres ayant au moins une dent cariée s’élève à 8 % contre 30 % chez les ouvriers.
Les habitudes de vie sont aussi fortement différenciées socialement : les cadres ont des comportements offrant plus de place à la prévention et au recours aux soins, ce qui explique en partie les disparités de santé observées. Si 60 % de leurs enfants se brossent les dents plusieurs fois par jour, cette pratique ne concerne que 47 % des enfants d’ouvriers. Les enfants de cadres consomment aussi moins de boissons sucrées et passent moins de temps devant un écran
drees.sante.gouv.fr