- Accueil
- Échanger
- Forum
- Forums généraux
- Revue de presse
- La non-observance médicamenteuse causerait 12.000 décès par an
La non-observance médicamenteuse causerait 12.000 décès par an
- 54 vues
- 0 soutien
- 2 commentaires
Tous les commentaires
NICKITA03
Bon conseiller
NICKITA03
Dernière activité le 21/11/2024 à 15:30
Inscrit en 2013
1 340 commentaires postés | 55 dans le groupe Revue de presse
66 de ses réponses ont été utiles pour les membres
Récompenses
-
Bon conseiller
-
Contributeur
-
Messager
-
Engagé
-
Explorateur
-
Evaluateur
Et ça coûte cher à la Sécu tous ces médocs non consommés et prescrits, quelque fois par des médécins complaisants (pas tous heureusement), qui délivrent des médicaments pas vraiment utiles, souvent pour faire plaisir à leur patient pas vraiment malade mais bon comédien !
Mais venons en plutôt au vrai sujet, à savoir prendre ou pas ces médicaments. Je pense que plus la maladie est grave et difficile au quotidien impossible de faire l'impasse sur son traitement indispensable à sa survie. Qui ne va pas prendre ses médicaments anti-rejet après une greffe qui est bien souvent la dernière ligne droite et qui aurait attendu des mois un greffon disponible et compatible, un diabétique dont l'insuline lui est indispensable ou tout autre maladie dépendante d'un traitement lourd.
Par contre je ne suis pas étonnée de constater que les diabétiques T2 ne prennent pas leur traitement régulièrement ou pas du tout, car souvent ceux qui sont aux comprimés se pensent moins malades que les insulino-dépendant et font un peu n'importe quoi avec leur santé mais très dangereux car T1 ou T2 cette maladie demande beaucoup de rigueur au quotidien et il serait dommage de la prendre à la légère!
Donc quelque soit sa maladie + ou - sérieuse et contraignante il ne faut pas jouer avec sa santé, c'est notre bien le plus précieux.
Voir la signature
Nickie
Utilisateur désinscrit
bonjour
Que veux tu, la bêtise humaine n'a pas de limite !!!!
clt
Donnez votre avis
Articles à découvrir...
18/11/2024 | Actualités
Médicaments et libido : les traitements qui peuvent affecter votre désir sexuel ?
16/11/2024 | Actualités
Troubles de l’attachement : quelles conséquences sur nos relations interpersonnelles ?
08/11/2024 | Conseils
La procrastination : mauvaise habitude ou stratégie secrète pour prendre soin de soi ?
04/11/2024 | Actualités
Les ballonnements : tout comprendre pour soulager cet inconfort !
09/01/2019 | Nutrition
14/02/2019 | Conseils
La vie amoureuse à l’épreuve de la maladie : comment faire face ?
15/04/2019 | Conseils
S'abonner
Vous souhaitez être alerté des nouveaux commentaires
Votre abonnement a bien été pris en compte
Léa.Blas
Animatrice de communautéBon conseiller
Léa.Blas
Animatrice de communauté
Dernière activité le 15/11/2024 à 09:32
Inscrit en 2013
411 commentaires postés | 9 dans le groupe Revue de presse
1 de ses réponses a été utile pour les membres
Récompenses
Bon conseiller
Contributeur
Messager
Engagé
Explorateur
Evaluateur
25% des médicaments prescrits par les médecins ne seraient jamais consommés par les patients, révèle l'Observatoire jalma mercredi 11 février. Cette non-observance serait responsable de 12.000 décès par an.
Dans son observatoire intitulé "Les enjeux de l'observance en France", le cabinet de conseil Jalma s'inquiète du manque de rigueur quant à la prise des médicaments prescrits par les médecins.
Et on ne parle pas seulement des malades touchés par la grippe et autres virus saisonniers.
Seuls 64% des patients atteints du Sida seraient sérieux avec la trithérapie. 66% des transplantés rénaux suivraient bien le traitement prescrit par les professionnels de santé, alors même que celui-ci permet la survie de la greffe. Autre inquiétude, seuls 65% des Français atteints de diabète de type 2 suivent scrupuleusement l'avis des médecins. Une proportion qui tombe à 55% pour ceux qui souffrent d'ostéoporose et 37% de goutte.
Plusieurs raisons expliquent ce manque de rigueur, telles que l'âge croissant des patients, les effets secondaires des médicaments, le manque de conviction en l'intérêt médical du traitement, une mauvaise relation entre le patient et le praticien santé, des problèmes financiers ou une couverture assurantielle insuffisante.
"Chaque année, 100.000 hospitalisations pourraient être évitées grâce à une meilleure observance des médicaments" souligne l'étude.
Cet observatoire s'appuie sur l'expertise du cabinet jalma ainsi que sur des chiffres provenant de diverses sources officielles.
Source : Le Parisien