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Hôpitaux: un patient sur vingt touché par une infection nosocomiale
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Utilisateur désinscrit
J ai été infecté par un s.a.r.m suite à une prothèse de hanche. Ils ont mis la faute sur mon diabète...Je suis sortie de l'hosto. 3 jours après l opération. J avais des vertiges, des nausées ,pas de fièvre... Un mois après les vomissements étaient violents, les vertiges aussi. Je suis allée chez le médecin ,il m a fait les tests pour les alcooliques... je ne boit pas une seule goutte ,sauf quelques mon chéri à noël... i Il a dit que je ne supportais pas les anti coagulants car les malaises s accentuaient après chaque injection. Il m'a dit de les arrêté alors que mes plaquettes étaient à plus de 500000 ... Le soir même j ai fait 40 de fièvre. Le lendemain je ne tenais plus debout ,mes oreilles sifflaient. Quand j'ai pris une douche pour retourner chez le médecin, une fistule c est ouverte sur la cicatrice et le pus à giclé... J ai compris...
Utilisateur désinscrit
J ai été infecté par un s.a.r.m suite à une prothèse de hanche. Ils ont mis la faute sur mon diabète...Je suis sortie de l'hosto. 3 jours après l opération. J avais des vertiges, des nausées ,pas de fièvre... Un mois après les vomissements étaient violents, les vertiges aussi. Je suis allée chez le médecin ,il m a fait les tests pour les alcooliques... je ne boit pas une seule goutte ,sauf quelques mon chéri à noël... i Il a dit que je ne supportais pas les anti coagulants car les malaises s accentuaient après chaque injection. Il m'a dit de les arrêté alors que mes plaquettes étaient à plus de 500000 ... Le soir même j ai fait 40 de fièvre. Le lendemain je ne tenais plus debout ,mes oreilles sifflaient. Quand j'ai pris une douche pour retourner chez le médecin, une fistule c est ouverte sur la cicatrice et le pus à giclé... J ai compris.
J ai téléphoné chez le chir. Il m'a dit de venir à la clinique avec la valise. Analyse ,scanner,..il fallait repasser à l opération ,peut-être même changer la prothèse... Chance pour moi le staphylocoque était entré le muscle et la graisse. 3 semaines de perf. de 3 antibiotiques d enfer et encore pendant 6 mois à la maison par voie orale pour faire descendre m a CRP de 320 à la normale... Je l ai échappé belle... si on peut dire ça... puisque maintenant j'ai une polyartrite bizarre...
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Un patient hospitalisé sur vingt est touché par au moins une infection nosocomiale (contractée dans l'établissement de santé), selon une enquête nationale réalisée en 2017, qui montre que cette proportion n'a pas diminué depuis 2012.
"On estime que 4.200 décès sont liés à des infections nosocomiales chaque année", a déclaré le docteur Bruno Coignard, responsable de la direction des maladies infectieuses de l'agence sanitaire Santé publique France, en dévoilant cette enquête. La proportion des patients infectés est stable entre 2012 et 2017 alors qu'elle avait diminué de 10% entre 2006 et 2012, selon cette 6e enquête réalisée un jour donné auprès de 403 établissements de santé. Ces enquêtes sont réalisées tous les cinq ans.
Au sein de ce total, la part des infections liées à une intervention chirurgicale est en hausse, selon l'enquête. Elle passe de 2012 à 2017 de 13,5% à 16% du total, se rangeant ainsi au deuxième rang des infections nosocomiales les plus courantes derrière les infections urinaires (28%) et devant les pneumonies (15,5%).
Un patient infecté sur quatre en service de réanimation
Parmi les bactéries le plus fréquemment responsables d'infections nosocomiales (associées aux soins) contractées au cours d'un séjour à l'hôpital figurent Escherichia coli (près d'un quart des infections) et le staphylocoque doré (13%). Les infections nosocomiales sont davantage constatées dans les services de réanimation (un patient infecté sur quatre) qui soignent des patients plus vulnérables et exposés à des dispositifs invasifs (cathéter, assistance respiratoire, sonde urinaire) qui augmentent les risques.
A peu près un patient hospitalisé sur sept reçoit un traitement antibiotique, une proportion qui diminue très légèrement par rapport à 2012. "Il faut poursuivre les actions en faveur du bon usage des antibiotiques. La France par rapport à ses voisins européens consomme beaucoup d'antibiotiques, donc on peut faire des progrès en la matière", selon le Dr Coignard.
Cette photographie des infections nosocomiales en France montre également que les infections dues aux staphylocoques dorés résistants à l'antibiotique méticilline continuent à diminuer. La proportion des patients infectés par ce germe résistant aux antibiotiques baisse de 7,5% entre 2012 et 2017. "Cela montre que les efforts quotidiens dans les hôpitaux, notamment d'hygiène des mains, portent leurs fruits", remarque le Dr Coignard.
-AFP-