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Face aux déserts médicaux, les collectivités locales se mobilisent
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Utilisateur désinscrit
merci pour l info julien!
ds ma region,on commence a manquer de medecins et autres spe de sante,alors quil y a de nombreuses fac;mais les etudients sont plus attires par les region plus belles,en bord de mer par exemple et avec un climat plus agreable!!hors,cette annee,nous avons 5 medecins qui partent en retraites sans etre remplaces,cela va creer de nombreux problemes!!c est un gros probleme de societe a regler!pour que tout le monde dispose de soins a portee de main!
GIGI
Bon conseiller
GIGI
Dernière activité le 22/11/2024 à 19:11
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Ami
Et le désert médical à la campagne !!!
Utilisateur désinscrit
oui,desolee gigi,cela etait sous entendu bien sur!!
GIGI
Bon conseiller
GIGI
Dernière activité le 22/11/2024 à 19:11
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Ami
Ah ! Ne sois pas désolée, ce n'était pas dirigé contre toi
Belle soirée
GAYALLE
GAYALLE
Dernière activité le 27/10/2024 à 12:12
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Ami
Bonjour à vous tous!
C'est un grave problème qui se pose, on met des quotas partout sans voir l'avenir et là nous sommes devant un problème qui sera loin d'être résolu.
Il y a de moins en moins de médecin généraliste, plus d’ophtalmologues, de dentistes, de cardiologue (je vais sur Paris dans 10 jours pour passer une échographie en urgence car ici, le délai d'attente est minimum d'un mois ) . Nous avions un servi ce santé qui était admiré par tous et maintenant nous commençons à faire un système à 3 vitesses. Ceux qui peuvent payer ou pour des raisons politiques sont prioritaires, au milieu vous devez être très patient et ceux qui ont la CMU n'ont pas le choix du praticien mais sont pris en charge plus rapidement.
Décidément rien ne change, l'égalité n'existe pas.
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Julien
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Julien
Dernière activité le 12/06/2024 à 11:32
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Six ans après sa création pour compenser une démographie médicale déficitaire - 4 à 5 oncologues pour toute la Franche-Comté, qui compte plus de 1 million d'habitants -, l'Institut fédératif régional du cancer (IRFC) est un succès. Ce groupement de coopération sanitaire compte aujourd'hui 23 oncologues rattachés au CHRU Jean Minjoz, à Besançon, qui interviennent sur tout le territoire régional, dans les 8 établissements partenaires. Les internes viennent maintenant de toute la France, attirés par ce mode d'organisation inédit. « L'idée, c'est de mettre des médecins sur les routes pour une expertise au plus près des patients »,explique Jacques Hostein, son administrateur, qui met en avant les bénéfices de la mutualisation et l'équité de prise en charge que permet la structure : de la télémédecine, quand cela est possible, un numéro d'appel unique et un système d'information « Bonnes pratiques en chimiothérapie ». L'IRFC s'installera bientôt dans le pôle cancérologie et biologie du CHRU de Besançon, auquel les collectivités locales auront contribué à hauteur de 10 millions d'euros, sur un budget total de 65 millions . Des collectivités locales auxquelles une commission est réservée au sein du conseil d'administration de l'IRFC.
Un village médical dans les quartiers Nord de Marseille
Au cœur du 14e arrondissement de Marseille, le plus touché par la désertification médicale, un « village de santé » vient d'ouvrir sur 4.000 mètres carrés. Il regroupe une cinquantaine de professionnels et veut à terme accueillir une centaine de généralistes et spécialistes (en gastro-entérologie, cardiologie, néphrologie…), ainsi que des infirmières, dentistes, pharmaciens et autres psychologues, recrutés jusque dans les beaux quartiers de la ville. « Les praticiens, vacataires ou à temps plein, conservent leur statut libéral, mais ils exercent dans le cadre d'un projet médical en lien avec les structures publiques », explique l'un d'eux. Pas loin de 7 millions d'euros ont été investis par deux promoteurs immobiliers dans cette opération située dans une zone franche. Ils toucheront un loyer de la part des médecins. L'Assistance publique - Hôpitaux de Marseille a aussi apporté son soutien, car ces quartiers peinent à attirer les médecins et à remplacer ceux qui partent en retraite. Les quartiers Nord de Marseille représentent près de 205.000 habitants parmi les plus pauvres de la ville et connaissent une fracture sociale grandissante. Les enfants des cités ont, par exemple, deux fois plus de dents cariées qu'ailleurs dans Marseille.
L'Allier aide les internes en médecine à s'installer
Depuis le lancement, en 2006, de son opération « Wanted étudiants troisième cycle médecine générale », le Conseil général de l'Allier a signé 27 contrats avec des carabins de toute la France. Le futur médecin perçoit une bourse d'études pendant ses trois années d'internat (38.400 euros au total). En contrepartie, il s'engage à s'installer dans une zone du département déficitaire en soins (selon la cartographie de l'ARS) et à y rester au moins six ans. « Nous avons eu cinq désistements pour des raisons familiales. Ils ont remboursé ce qu'ils avaient perçu », indique Marie-Béatrice Venturini Lenoir, coordinatrice de la politique d'accueil du Conseil général, qui invite les postulants à une découverte du département et précise que chaque étudiant signataire a, au préalable, construit un projet de vie en milieu rural. « Contrairement à ce qui peut se passer dans d'autres secteurs d'activité, il n'y a pas d'opportunisme. » Depuis 2010, onze jeunes médecins se sont installés et cinq installations sont prévues fin 2015. L'Allier est le département auvergnat où la proportion de généralistes de plus de 60 ans est la plus forte : 37%, contre près de 25% en moyenne régionale. 860 médecins doivent partir en retraite d'ici à 10 ans en Auvergne.
LesEchos.fr