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Ebola : des chercheurs espagnols travaillent sur un vaccin universel
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Utilisateur désinscrit
le virus Ebola est
de la famille des entérocoques virus non enveloppés . Ils rappellent le virus HIV .
PCR;permettra de mettre en évidence et de multiplier l’ARN .cf la
technique
de l’HIV afin de
differencier les souches .
le vaccin doit être de préférence d’origine humaine pour des raisons de compatibilité.
le
syste immunitaire du rat est
celui qui se rapproche de l’homme .
la fabrication du
vaccin pourrait éventuellement nécessité du liquide biologique décontaminé ou d’autres organes
Tels que : le foie ,
le rein , le cœur prélèvements effectués sur l’individu lors d’un accident avec l’accord préalable de la
famille et une équipe médicale entraînée et rapide. nécessite probablement un hélicoptère ou un avion sanitaire affrété pour la
circonstance .
le froid est indispensable pour garder l’organe à température constante
et le West Nile virus ?
rais
cf
per
:
c
la
Utilisateur désinscrit
Le West nile
VIRUS ?
Utilisateur désinscrit
vaccin contre l’Hepatite
C
Vaccin contre
Human immunodeficience virus
Utilisateur désinscrit
Arme absolue pour traiter le virus EBOLA : LE CHLORURE DE MAGNÉSIUM
PAS BESOIN DE VACCINS!
Qu’est-ce que le chlorure de magnésium ?
Le chlorure de magnésium est un composé chimique MgCl2 qui est présent de façon naturelle dans le sel alimentaire non raffiné. Il est indispensable au bon fonctionnement de l’organisme. La carence en magnésium, presque systématique du fait de l’alimentation moderne, provoque une fatigue, une excitabilité, des troubles de l’humeur et une mauvaise réaction de nos défenses immunitaires. On peut donc compléter notre alimentation par du chlorure de magnésium qui est la forme la plus aisément assimilable du magnésium par notre organisme.
Quels sont les symptômes du virus d’Ebola ? Comment le virus se transmet-il ?
Le virus d’Ebola est une maladie rare. Les épidémies sont limitées mais elles créent à chaque fois la panique. Cela tient au fait que l’issue est fatale dans 25% à 90% des cas. Après une incubation de deux à 21 jours, le virus d’Ebola provoque une fièvre brutale, des maux de tête, des douleurs musculaires, une conjonctivite, une faiblesse générale puis dans un deuxième temps des vomissements, des diarrhées et parfois une éruption cutanée. Le virus se répand dans le sang et paralyse le système immunitaire. L’Ebola est d’autant plus redoutable que ses virus ne sont pas tout de suite repérés par l’organisme. Quand ce dernier réagit, il est souvent trop tard. Les virus ont créé des caillots, bloquant les organes vitaux et provoquant d’importantes hémorragies. Les malades peuvent saigner abondamment, y compris par le nez ou via leur urine.
La maladie est transmise par un contact avec les fluides des personnes ou animaux infectés, comme l’urine, la sueur, le sang ou le lait maternel.
Le chlorure de magnésium peut-il stopper les effets du virus Ebola ?
L’épidémie africaine déclenchée par le virus Ebola est actuellement en train d’affoler le monde entier. L’état de misère profonde et de malnutrition des populations touchées augmente leur fragilité face à la maladie.
La médecine conformiste avoue par ailleurs son impuissance face à la maladie : elle ne dispose d’aucun traitement efficace contre le virus. Il faut cependant savoir que le corps humain est équipé d’une intelligence innée qui lui permettrait en théorie d’isoler tout micro-organisme pathogène, l’empêchant ainsi de se multiplier, de se proliférer et même de le pousser au suicide. On l’a déjà remarqué chez certains porteurs de virus tenaces comme le sida. On l’a remarqué dans de nombreux cas de ce que l’on appelle “des guérisons spontanées”, c’est-à-dire qui ne sont pas expliquées par la science.
En effet, c’est la capacité naturelle du corps de s’auto-guérir qui est à l’oeuvre. Mais pour cela il a besoin de certains nutriments essentiels, présents dans les fruits et légumes crus, pas dans les pizzas surgelées ou les crèmes desserts. Un de ces micronutriments quasi-miracle est le chlorure de magnésium, connu pour son action anti-stress, pour le renforcement du système immunitaire et la stimulation de l’organisme. Il a déjà fait ses preuves en 2006.
C’est Marie-France Billi, ancienne conseillère municipale de Nice, qui lors de l’épidémie de chikungunya qui désola la Réunion en 2006, a alerté le corps médical sur l’intérêt du chlorure de magnésium. Le succès ne s’est pas fait attendre et les pharmacies étaient presque en rupture de stock.
C’est le professeur Pierre Delbet, membres des Académies de médecine et de chirurgie, qui découvrit durant la Première Guerre mondiale les vertus thérapeutiques du chlorure de magnésium et qui démontra son efficacité, notamment contre le cancer. Pierre Delbet est un des personnages du 2ème tome du livre “Savants maudits, chercheurs exclus”, de Pierre Lance chez Guy Trédaniel Éditeur.
Aujourd’hui, Marie-France Billi s’est demandée si le chlorure de magnésium ne pourrait pas être une arme efficace contre le virus Ebola. Elle s’est donc mobilisée, ainsi que les membres de son association, pour effectuer sur le terrain un test grandeur nature. Elle écrit à Pierre Lance, le 2 septembre 2014 : “Connaissant le pouvoir exaltant du chlorure de magnésium sur les globules blancs macrophages (les premiers en ligne de défense en cas d’attaque virale de l’organisme), j’ai pensé au chlorure de magnésium dans cette épidémie d’Ebola. J’ai donc envoyé deux infirmiers maliens avec 40 kg de nigari sur le terrain…(Le nigari est le nom japonais du chlorure de magnésium peu raffiné sous forme de poudre blanche ou de cristaux). Là-bas, il y a un black-out total envers les malades, qui sont pris en charge par les “Médecins Sans Frontières”, lesquels refusent de tester le nigari, prétextant le respect des protocoles, et qui refusent l’accès des malades à tout autre médecin. Un soignant de la Croix-Rouge guinéenne donne du nigari à des personnes présentant des symptômes de la maladie, sans les envoyer à l’hôpital. Et tous les symptômes disparaissent !”
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Des chercheurs espagnols ont commencé à travailler sur le développement d'un vaccin qu'ils espèrent pouvoir être efficace contre toutes les souches du virus Ebola, a annoncé leur directeur mercredi à Madrid.
Ces chercheurs de l'hôpital public madrilène du 12 Octobre travaillent depuis des mois, en collaboration avec deux autres établissements de la capitale espagnole, sur des échantillons de sang de trois patients atteints par le virus et soignés en Espagne. Selon Rafael Delgado, directeur de cette équipe de chercheurs, les trois patients ont développé des anticorps "très efficaces" contre la maladie mais en "petite quantité" et seulement efficace contre la souche Zaïre. Le "défi" de ces chercheurs est désormais de "produire ces anticorps à grande échelle, à travers un vaccin" qui puisse être efficace contre toutes les souches du virus, a ajouté Rafael Delgado, responsable du service de microbiologie de cet hôpital.
Selon Rafael Delgado, la difficulté réside dans le fait que le virus Ebola se protège grâce à des protéines faisant office de carapace et expose ses zones vulnérables pendant un court laps de temps, ce qui complique l'action du système immunitaire. Le microbiologiste a indiqué espérer d'ici à un an les résultats des tests effectués sur des souris.
L'épidémie la plus violente de l'histoire
Un vaccin expérimental, portant le nom technique rVSVSV-ZEBOV, a déjà été mis au point à la suite de la terrible épidémie d'Ebola, la plus violente de l'histoire, qui a frappé l'Afrique de l'Ouest entre fin 2013 et 2016, causant plus de 11.300 morts. Administré en mai en RDC, ce vaccin, développé par l'Agence de la santé publique du Canada - sous la licence de NewLink Genetics qui l'a à son tour concédé sous licence au groupe Merck & Co - a été jugé "très efficace" par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) mais il ne l'est que contre la souche Zaïre. Le laboratoire américain Johnson & Johnson développe pour sa part un vaccin expérimental contre deux souches.
L'Espagne avait enregistré en 2014 la première personne contaminée hors d'Afrique. Teresa Romero, une aide-soignante, avait contracté la fièvre hémorragique en Espagne, en soignant dans un hôpital madrilène un missionnaire rapatrié de Sierra Leone et décédé de la maladie.
-AFP-