- Accueil
- Échanger
- Forum
- Forums généraux
- Revue de presse
- Dépakine : des enfants ont été exposés jusqu'en 2010
Dépakine : des enfants ont été exposés jusqu'en 2010
- 86 vues
- 3 soutiens
- 9 commentaires
Tous les commentaires
LadyKat
Bon conseiller
LadyKat
Dernière activité le 13/07/2019 à 08:58
Inscrit en 2013
1 040 commentaires postés | 133 dans le groupe Revue de presse
1 de ses réponses a été utile pour les membres
Récompenses
-
Bon conseiller
-
Contributeur
-
Engagé
-
Explorateur
-
Evaluateur
-
Ami
Du tout façon les grands laboratoires ont des avocats et des beaux parleurs pour se justifier des actes immondes! Et pourtant ils peuvent dire ce qu'ils veulent, le résultat est exactement le même, il y a des enfants qui sont nés avec des malformations dû à la prise de la Dépakine pendant la grossesse. J'espère du tout coeur que les familles qui ont porté plainte gagneront!
Lorkasil
Bon conseiller
Lorkasil
Dernière activité le 24/10/2024 à 12:12
Inscrit en 2014
10 354 commentaires postés | 254 dans le groupe Revue de presse
4 de ses réponses ont été utiles pour les membres
Récompenses
-
Bon conseiller
-
Contributeur
-
Messager
-
Engagé
-
Explorateur
-
Evaluateur
Et un scandale de plus !!! Médiator, les prothèses mammaires et quoi encore ..... On n'est pas encore au bout de nos surprises !!
Y a tellement de fric en question !!!
Voir la signature
Lorkasil
Compte suspendu
.
Voir la signature
Les humains sont si méchants que je préfére me tourner vers les animaux , en sauce avec des petits oignons et des champignons
scoobidoo
Bon conseiller
scoobidoo
Dernière activité le 27/01/2024 à 01:45
Inscrit en 2014
2 713 commentaires postés | 460 dans le groupe Revue de presse
10 de ses réponses ont été utiles pour les membres
Récompenses
-
Bon conseiller
-
Contributeur
-
Messager
-
Engagé
-
Explorateur
-
Evaluateur
Non, ça n'est pas le seul remède, mon fis a pris de la Dépakine pendant des années, plus depuis 4 ans.
Francine
Voir la signature
La vie est belle si on ne lui demande pas plus que ce qu'elle peut donner.
LadyKat
Bon conseiller
LadyKat
Dernière activité le 13/07/2019 à 08:58
Inscrit en 2013
1 040 commentaires postés | 133 dans le groupe Revue de presse
1 de ses réponses a été utile pour les membres
Récompenses
-
Bon conseiller
-
Contributeur
-
Engagé
-
Explorateur
-
Evaluateur
-
Ami
Je pense que quand une femme souffre d'une maladie chronique, qu'elle devrait en discuter avec son gynécologue ou autre spécialiste avant de faire un enfant.
Ce que je conteste avec la Dépakine est le non-transparence par le fabriquant des effets que ce médicament puisse avoir sur un foetus. A cause de cela les mères qui l'ont pris n'ont même pas eu le droit de choisir si oui ou non elles souhaitent prendre le risque que son enfant naisse avec un(des) malformations. Ou encore mieux, trouver un autre médicament pour sa pathologie qui ne fera pas de mal au foetus.
kikoulo
Bon conseiller
kikoulo
Dernière activité le 02/09/2024 à 01:58
Inscrit en 2012
1 056 commentaires postés | 61 dans le groupe Revue de presse
32 de ses réponses ont été utiles pour les membres
Récompenses
-
Bon conseiller
-
Contributeur
-
Engagé
-
Explorateur
-
Ami
-
Posteur
il y a en effet bien d'autres remèdes! mais toujours ces labos etleurs objectifs
cela me revulse
Voir la signature
YLES56
Compte suspendu
.
Voir la signature
Les humains sont si méchants que je préfére me tourner vers les animaux , en sauce avec des petits oignons et des champignons
Utilisateur désinscrit
@lys222 j'ai un peu tendance à penser comme toi. Cependant si un médecin dit à quelqu'un "aucun souci vous pouvez faire un enfant", sans prendre le temps de bien s'informer sur le traitement de son patient et de ses conséquences, c'est grave. Si ce médecin est volontairement mal informé à cause d'une politique mensongère d'un laboratoire il y a tromperie. Les laboratoires doivent vendre, certes, mais ils vendent des produits très sensibles. Ils ne peuvent se permettre de minimiser certaines informations. Ils sont certainement soumis à des tas de réglementations diverses et variées qui ont forcément été négligées.
james42
Bon conseiller
james42
Dernière activité le 08/08/2024 à 15:18
Inscrit en 2013
1 190 commentaires postés | 148 dans le groupe Revue de presse
1 de ses réponses a été utile pour les membres
Récompenses
-
Bon conseiller
-
Contributeur
-
Messager
-
Engagé
-
Explorateur
-
Ami
Bonjour,
un petit article à lire :
cordialement, James42.
Voir la signature
La manière la plus efficace de vaincre la maladie, c'est de se débarrasser des médecins Paul Ferron (1926-2007) médecin, Humaniste, humoriste.
Donnez votre avis
Articles à découvrir...
23/12/2024 | Actualités
Renforcer son périnée : pourquoi c'est essentiel pour les femmes et les hommes ?
21/12/2024 | Nutrition
Les aliments anti-fatigue : comment booster votre énergie naturellement ?
20/12/2024 | Conseils
Faire face à la solitude et à l’isolement pendant les fêtes : tous nos conseils !
09/12/2024 | Actualités
Les différentes graisses corporelles : comprendre leur rôle pour mieux gérer sa santé
09/01/2019 | Nutrition
14/02/2019 | Conseils
La vie amoureuse à l’épreuve de la maladie : comment faire face ?
15/04/2019 | Conseils
S'abonner
Vous souhaitez être alerté des nouveaux commentaires
Votre abonnement a bien été pris en compte
Julien
Bon conseiller
Julien
Dernière activité le 12/06/2024 à 11:32
Inscrit en 2012
10 075 commentaires postés | 815 dans le groupe Revue de presse
25 de ses réponses ont été utiles pour les membres
Récompenses
Bon conseiller
Contributeur
Messager
Engagé
Explorateur
Evaluateur
Une famille a porté plainte contre le laboratoire Sanofi, qui distribue la Dépakine. Cet anticonvulsif prescrit aux patients épileptiques et bipolaires, est responsable de malformations et de retards neurocomportementaux chez les fœtus exposés dans le ventre de leur mère. Les effets sont documentés depuis les années 1980. Mais selon Charles Joseph-Oudin, l’avocat des familles victimes de la Dépakine, qui défend par ailleurs plusieurs victimes du Mediator, le laboratoire aurait sous-évalué ces risques.
- Combien de familles victimes de la Dépakine représentez-vous ?
Me Joseph-Odin. Pour le moment, une seule famille a porté plainte ; deux à trois plaintes devraient suivre d’ici la fin de la semaine. En tout, le dossier Dépakine que je défends se réfère à une trentaine de familles dont les enfants exposés in utero au Valproate de sodium sont nés avec des malformations et/ou ont développé des troubles neurocomportementaux après la naissance.
Ces patients sont nés entre 1990 et 2010. Au moment des grossesses, les mères étaient traitées à la Dépakine contre l’épilepsie essentiellement, et dans une moindre mesure contre des troubles psychiatriques. La plupart des ordonnances proviennent de neurologues. Dans ce dossier, aucune prescription hors AMM n’a été rapportée.
Par ailleurs, nous avons lancé trois procédures civiles contre le laboratoire Sanofi. Les expertises sont en cours.
- Pourquoi pensez-vous que Sanofi a dissimulé les effets secondaires, qui figurent dans le Vidal depuis une trentaine d’années ?
Me Joseph-Odin. Les effets tératogènes (malformation du fœtus) sont connus depuis les années 1980 mais ils sont restés longtemps minimisés dans le Vidal. D’ailleurs, les cas prouvent que le message n’est pas du tout passé, puisque les familles que je représente n’ont jamais été informées des risques liés aux grossesses sous Valproate de sodium. Dans ce dossier, la dernière naissance sous Dépakine date de 2010, alors que l’AMM avait déjà été révisée pour les grossesses et que l’information était censée être claire.
Avant 2006, les notices contenaient une information parcellaire, peu visible et ambiguë. Il était expliqué qu’il n’était pas légitime de déconseiller la conception aux femmes enceintes sous Dépakine. Cette affirmation s’appuyait alors sur des données minorées, avec un surrisque de malformation sous-évalué.
Dans les faits, les effets de l'exposition des foetus au Valproate n’ont pas été communiqués auprès des prescripteurs. Finalement, c’était à la patiente de prendre elle-même conscience du risque et de s’en référer à son médecin si elle souhaitait tomber enceinte ! Ce n’est qu’en 2006 que les autorités ont clairement recommandé de ne pas délivrer ce médicament chez les femmes en âge de concevoir. Les prescripteurs, eux, n’ont été informés par courrier qu’en 2014. Pourquoi avoir attendu tant de temps ?
- Mais la responsabilité n’est-elle pas davantage celle des prescripteurs mal informés et d’une agence qui a tardé à donner l’alerte ?
Me Joseph-Odin. La responsabilité est probablement partagée ; il s’agit justement de déterminer à quel niveau elle se situe. Mais le producteur reste responsable des dégâts causés par sa molécule, et du fait qu’il n’ait pas pris la mesure des risques.
Mais avant tout, il est nécessaire de caractériser le lien de causalité entre l’exposition au Valproate et les malformations fœtales et les retards neurocomportementaux. C’est l’objectif de l’expertise qui est en cours.
Pourquoidocteur.fr