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Consommation de médicaments : des disparités régionales coûteuses pour la collectivité
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scoobidoo
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scoobidoo
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Je pense que le problème n'est pas pris dans le bon sens !
Si la consommation est moins importante en limousin qu'en Ile de France, c'est peut-être aussi qu'il y a moins de pollution, que la vie est plus calme, moins de temps passé serrés dans les transports à attraper tous les microbes des autres. Il y a aussi moins de stress.
Les taux de substitution, ça c'est autre chose. Mais qu'on ne vienne pas me dire que ça induit des dépenses supplémentaires pour la sécu, les différences de prix sont infimes !
A chaque fois on met en cause les malades, si on regardait plutôt leur environnement.
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La vie est belle si on ne lui demande pas plus que ce qu'elle peut donner.
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Euh... Scoobidoo... c'est l'inverse, non ? On consomme davantage de médicaments dans le Limousin qu'en Ile-de-France... C'est d'ailleurs étonnant.
scoobidoo
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scoobidoo
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Et bé oui, autant pour moi. Je devais tellement être convaincue ! Remarque que c'est mieux pour les caisses de la sécu, le Limousin est moins peuplé que l'Ile de France.
Quoi que, je relis et je n'y comprends plus rien ! j'ai l'impression qu'on dit une chose et son contraire. Est ce que tu comprends le sens de cette phrase :
Un résultat qui suggère que plus on consomme, mais les produits consommés sont chers, interprètent les auteurs de l’étude.
Il va falloir qu'ils apprennent à écrire en français !
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La vie est belle si on ne lui demande pas plus que ce qu'elle peut donner.
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Exact, cette phrase ne veut rien dire !!!
scoobidoo
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il faut dire que c'est une étude faite par des américains :
Présente dans 135 pays, IMS Health est une entreprise américaine proposant des études et du conseil pour les industries du médicament et les acteurs de la santé. source Wikipédia
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La vie est belle si on ne lui demande pas plus que ce qu'elle peut donner.
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t'as tout compris, scoobi lol
Utilisateur désinscrit
J'espère que ce n'est pas la sécu qui a payé cette étude !!!
Utilisateur désinscrit
J'ai trouvé un autre article qui parle de la même étude. Il m'a l'air plus complet et plus cohérent !
scoobidoo
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Tu as raison, là on comprend mieux !
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Julien
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Julien
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Une étude menée par IMS Health met en évidence des disparités régionales significatives en matière de consommation de médicaments de prescription génératrices de surcoût pour la collectivité. Ainsi par exemple, la consommation moyenne en volume par habitant est 11 % en dessous de la moyenne nationale en région Ile-de-France et au contraire 21 % au-dessus de la moyenne en région Limousin. En valeur, la consommation par habitant varie de façon inverse, de 9 % sous la moyenne nationale en région Limousin à 11 % au-dessus de la moyenne en région Ile-de-France. Un résultat qui suggère que plus on consomme, mais les produits consommés sont chers, interprètent les auteurs de l’étude.
Par ailleurs, lorsque l’étude s’intéresse aux seuls médicaments génériques, certaines régions paraissent « plus vertueuses » avec des taux de substitution supérieurs à la moyenne nationale (Bretagne, Pays-de-Loire, Basse-Normandie, Poitou-Charentes). Sur la base de ces constats, et selon les projections d’IMS Health, l’alignement sur la moyenne nationale, pathologie par pathologie, du coût moyen du médicament prescrit dans les régions les plus chères permettrait de générer une économie de 560 millions d’euros. Tandis que la seule harmonisation des pratiques vis-à-vis des seuls génériques évalue le potentiel d’économies à plus de 175 millions d’euros.
Source : Le Quotidien du Pharmacien
Une étude menée par IMS Health met en évidence des disparités régionales significatives en matière de consommation de médicaments de prescription génératrices de surcoût pour la collectivité. Ainsi par exemple, la consommation moyenne en volume par habitant est 11 % en dessous de la moyenne nationale en région Ile-de-France et au contraire 21 % au-dessus de la moyenne en région Limousin. En valeur, la consommation par habitant varie de façon inverse, de 9 % sous la moyenne nationale en région Limousin à 11 % au-dessus de la moyenne en région Ile-de-France. Un résultat qui suggère que plus on consomme, mais les produits consommés sont chers, interprètent les auteurs de l’étude.
Par ailleurs, lorsque l’étude s’intéresse aux seuls médicaments génériques, certaines régions paraissent « plus vertueuses » avec des taux de substitution supérieurs à la moyenne nationale (Bretagne, Pays-de-Loire, Basse-Normandie, Poitou-Charentes). Sur la base de ces constats, et selon les projections d’IMS Health, l’alignement sur la moyenne nationale, pathologie par pathologie, du coût moyen du médicament prescrit dans les régions les plus chères permettrait de générer une économie de 560 millions d’euros. Tandis que la seule harmonisation des pratiques vis-à-vis des seuls génériques évalue le potentiel d’économies à plus de 175 millions d’euros.
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