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Cette année, un enfant sur 30 naîtra grâce à l’assistance médicale à la procréation
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lau123
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lau123
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Bravo rien d'anormal quand on veut un enfant,toutes les techniques doivent être permises et les assistances obligatoires.Le contraire est anormal.
Une Maman qui a perdu 3 enfants et en souhaite encore en vie avec son propre mari et c'est possible avec la médecine productive et non destructive.
lau123
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Pas de réaction ça fait froid dans le dos et pourtant le plus beau cadeau dans la vie d'un couple qui s'aime est l'arrivée d'un ou plusieurs enfants nés de leur amour.
Joyeux Noël à tous nos bébés à venir
Anne et Bernard
lau123
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Une bonne nouvelle pour moi qui souhaite un nouvel enfant depuis 30 ans.
Je viens de lire qu'une Maman Hindoue vient de mettre au monde son deuxième enfant à l'âge de 65 ans après un premier 10 ans plutôt et cela NATURELLEMENT.
Je trouve cela Formidable pour les parents et pour moi qui ai perdu 3 enfants mais pas à cause de moi qui en veulent.
Non ce n'est jamais trop vieux ni impossible quand tous les 2 en veulent.
Quoi de plus triste qu'un couple sans enfant(ou qui n'en veulent pas ou plus) et qui essaie de déteindre méchamment sur ceux qui en veulent.
Je suis la 10ème enfant en vie d'une Famille de 13(3 pertes non viables à l'époque ) et je vous assure que mes parents nous ont voulu et par amour des enfants.
Mon père était medecin généraliste et il nous a tous(4) et toutes (6) mis au monde lui-même et dans notre grande maison à la campagne.
Nous leur devons tous et toutes une fière chandelle pour cette famille nombreuse qu'à deux seuls ils ont assumée avec bonheur,grandeur et compétences dans la joie de nous élever avec leurs valeurs de la vie.
Un moment de bonheur que je viens partager avec vous après la lecture de cet article avec la naissance d'un enfant désiré.
Bonne lecture
Lau123
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lau123
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Un enfant qui naît et même naturellement à tout âge c'est toujours formidable.
Je fais référence à la naissance de l'enfant d'une mère de 67 ans en Chine.
Anne et Bernard qui veulent un enfant
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Louise
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Louise
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Dernière activité le 06/10/2020 à 12:05
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Ami
Depuis les années 1980, la technique de fécondation est de plus en plus utilisée pour aider les couples qui ont des difficultés à concevoir.
De plus en plus de couples souffrant d’infertilité ont recours à des techniques d’assistance médicale à la procréation (AMP) en France. En 2018, un enfant sur trente devrait être conçu de cette manière selon une étude publiée lundi par l’Institut national d’études démographiques (Ined), ce qui représente plus de 25.000 naissances. Un bilan - le précédent datait d’il y a dix ans - qui intervient à l’heure où l’ouverture de l’accès à ces techniques aux couples de femmes homosexuelles et aux femmes seules est en discussion. Pour le moment, seuls les couples hétérosexuels en âge de procréer et vivant maritalement depuis au moins deux ans peuvent y prétendre.
Deux techniques: la FIV et l’insémination artificielle
Deux techniques peuvent être utilisées pour remédier à un problème de fertilité. La plus ancienne et la plus simple, l’insémination artificielle, consiste à déposer les spermatozoïdes directement à l’intérieur de l’utérus afin qu’ils fécondent l’ovocyte. Mais la technique la plus utilisée est incontestablement la fécondation in vitro (FIV), puisqu’elle représente actuellement 70% des naissances issues d’une assistance médicale à la procréation. Contrairement à l’insémination artificielle, la FIV se fait en dehors du corps de la femme, en laboratoire. Elle consiste à collecter des ovocytes et des spermatozoïdes et à les mettre en contact dans une éprouvette. Une fois que la fécondation a eu lieu, entre un et trois embryons sont transférés dans l’utérus.
Depuis la naissance du premier bébé né par FIV en France (surnommé «bébé éprouvette») en 1982, la part de conceptions réalisées à l’aide de cette technique n’a cessé de croître. Au total, plus de 300.000 enfants ont été conçus de cette façon entre le début des années 1980 et 2014, dans la majorité des cas avec les gamètes de leurs deux parents. Seuls 5% des couples ont fait appel à un don de spermatozoïdes ou d’ovocytes. «Si la tendance se poursuit, un total de 400.000 sera atteint fin 2019», indique l’Ined. Un phénomène qui s’observe également à l’échelle mondiale: en 2013, il a été estimé que 5 millions d’enfants avaient été conçus par FIV dans le monde, dont la moitié entre 2007 et 2013.
Une demande croissante liée à plusieurs facteurs
Comment expliquer ce succès de la FIV? Pour Élise de La Rochebrochard, chercheuse à l’INED/Inserm et auteure de l’étude, il est le fruit de plusieurs facteurs. Selon elle, il peut d’abord s’expliquer par «l’augmentation de l’âge à la parentalité». En effet, plus l’on vieillit, plus notre fertilité décroît, ce qui réduit les chances de grossesse. D’autre part, les techniques de procréation médicalement assistée sont «mieux connues et mieux acceptées par la société». «Autrefois, on taisait les problèmes d’infertilité, tandis que maintenant, on consulte un médecin rapidement en cas de problème car l’attente est moins bien acceptée», explique-t-elle. Et lorsqu’une femme de 35 ans ou plus a des difficultés à concevoir, le recours à la FIV est fréquent. «Les médecins ont tendance à enclencher rapidement un processus d’aide à la procréation car le taux de succès des FIV diminue rapidement à partir de cet âge», souligne la chercheuse.
De plus, alors que la FIV était initialement prévue pour répondre aux infertilités féminines d’origine tubaire (trompes utérines abîmées ou bouchées), l’arrivée d’une nouvelle technique en 1992 (l’injection intra-cytoplasmique de spermatozoïde) a permis de prendre également en charge les infertilités masculines. «Jusqu’à cette époque, la seule solution était le don de sperme, ce qui pouvait décourager les couples réticents», explique Élise de La Rochebrochard. Désormais, «deux fécondations in vitro sur trois réalisées en France sont réalisées avec cette méthode», indique l’étude.
La chercheuse n’exclut pas non plus l’hypothèse d’une baisse de la fertilité, en précisant que celle-ci n’est, pour l’heure, pas démontrée. «L’augmentation des besoins en assistance médicale à la procréation pourrait aussi s’expliquer en partie par une altération de la fertilité, explique-t-elle. Certaines études suggèrent que le tabagisme et les perturbateurs endocriniens pourraient altérer les capacités reproductives des femmes mais aussi des hommes».
Le Figaro Santé