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Le journal d’un ex-schizophrène de Guy Banni
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Louise
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Louise
Dernière activité le 11/06/2021 à 09:00
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Quatrième de couverture du livre :
SCHIZO GUÉRI
L’auteur rend public dans ce livre de 4 099 pages en version imprimée son journal intime (1962-2019) afin selon lui d’être utile à toutes les personnes concernées par la schizophrénie dont notamment les chercheurs dans ce domaine. Il explique sa structure mentale à ce sujet (névrose obsessionnelle : 1962-1972 et schizophrénie paranoïde : 1966-2007) par ce qu’il a découvert à la suite de son travail sur lui-même à savoir : aussi bien la forclusion du Nom-du-Père de Jacques Lacan que la forclusion du Sein-de-la-Mère de lui-même. Il considère que la guérison aussi bien de sa névrose que la guérison de sa psychose sont dues à un ensemble de plusieurs raisons. Il a travaillé malgré les effets iatrogènes de ses médicaments psychotropes grâce à des aménagements dans son travail tels que prévus alors par la convention collective de son employeur pour cela (1965-1997). Cela lui permit d’une part de s’acheter des actes sexuels (1965-1972) lesquels l'ont alors débloqué psychologiquement vis-à-vis du sexe opposé d’autre part grâce à ce résultat thérapeutique de rencontrer enfin en avril 1973 sa future femme et de se marier avec elle en août 2013. C’est l’amour véritable de celle-ci qui à son avis ensuite lui a permis de parfaire la guérison déjà commencée auparavant par les jeunes prostituées sexy de luxe même si leur mariage n’était toujours pas consommé en 2019. Il a laissé venir ses pensées librement et fait des associations d’idées selon la méthode de Sigmund Freud en psychanalyse mais toutefois non pas alors en parlant allongé sur un divan mais en réalité en écrivant alors assis sur une chaise face à son écran d’ordinateur tous les jours et ensuite il adressait alors ses écrits par la poste ou par Internet aussi bien à son ancienne psychiatre psychanalyste qu’à son ancienne assistante sociale (2002-2012). Cela se traduisit par un transfert œdipien vis-à-vis de celles-ci qui lui fit découvrir aussi bien la forclusion du Nom-du-Père de sa petite enfance que la forclusion du Sein-de-la-Mère de sa toute petite enfance. Il a pu grâce à l’avis du Groupe Information Asiles dont il a été adhérent (1989-2013) commencer à se sevrer de tous ses médicaments à partir de 2005. Enfin il a mis en échec un certificat de complaisance fait par un professeur en psychiatrie (lequel ne l’a jamais vu ni jamais examiné) à la demande du directeur de son hôpital étrangers à ses soins de cette époque mais qui voulaient absolument le faire taire notamment sur Internet parce que celui-ci les dérangeait à la suite de ses nombreuses réponses indésirables aux demandes d’avis de satisfaction de ceux-ci auprès de leurs malades au sujet des soins et des services dans leurs hôpitaux. Ce certificat indiquait entre autres que dans ses courriels en nombre à ceux-ci il était alors désordonné, dangereux, délirant mais sans persécuteur, voire menaçant, etc. Celui-ci les a tous reproduits dans ce livre et vous demande à ce propos : partagez-vous l'avis de ce professeur sur ceux-ci et cela d'autant plus que lui-même écrit aussi beaucoup et est même devenu un vedettariat de la télévision à ce sujet ? Guy Banni est né en 1945 à Paris de parents immigrés de la classe ouvrière. Il a travaillé comme employé de banque de 1965 à 1997 alors qu’il était aussi bien abruti que suicidaire du fait des effets iatrogènes de ses neuroleptiques (dont notamment l’halopéridol 2 ‰ à la dose de 100 gouttes par jour) ou de ses antipsychotiques (dont notamment l’olanzapine à la dose d’un comprimé de 10 mg par jour). Il a eu en tout six ans et demi d’arrêts de travail et seize hospitalisations pour raison de santé psychiatrique. Les deux premières pour schizophrénie en 1966-1967 et la dernière pour dysthymie en 2000. Sa femme et lui vivaient en 2019 une retraite bienheureuse. Ce livre remet en cause le savoir actuel des psys et marquera l’avenir de la psychiatrie. Guy Banni se tient à la disposition de ses lecteurs pour répondre sur ce site d'Amazon à toutes leurs questions éventuelles sur son livre.
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Louise de l'équipe Carenity
Utilisateur désinscrit
SCHIZO GUÉRI DE JACQUES FORCLOS (nouveau pseudonyme) :
Nouvelle version de la quatrième de couverture :
"L’auteur rend public dans ce livre de 4 131 pages en version imprimée son journal intime (1962-2019) afin selon lui d’être utile aux gens concernés par la schizophrénie et sa guérison. Il a travaillé comme employé de banque de 1965 à 1997 alors qu’il était aussi bien abruti que suicidaire du fait des effets iatrogènes de ses neuroleptiques (dont notamment l’halopéridol 2 ‰ à la dose de 100 gouttes par jour) ou de ses antipsychotiques (dont notamment l’olanzapine à la dose d’un comprimé de 10 mg par jour). Il a eu en tout six ans et demi d’arrêts de travail et seize hospitalisations pour raison de santé psychiatrique. Les deux premières pour schizophrénie en 1966-1967 et la dernière pour dysthymie en 2000. Il explique sa schizophrénie paranoïde (1966-2007) aussi bien par la forclusion du Nom-du-Père de Jacques Lacan que par la forclusion du Sein-de-la-Mère de lui-même. Travailler lui permit de s’acheter des actes sexuels réguliers (une fois par semaine au début et une fois tous les trois mois à la fin) auprès de jeunes prostituées sexy de luxe toujours du genre “démonstratrices rayon parfum des Galeries Lafayette” à la sortie de son travail dans un beau quartier de Paris. Celles-ci à sa grande surprise l’ont alors finalement débloqué psychologiquement vis-à-vis du sexe opposé (1965-1972). Auparavant il avait été suivi dans un hôpital psychiatrique justement pour ce problème de timidité excessive vis-à-vis des jeunes adolescentes de son âge par un psychothérapeute futur professeur à la faculté de médecine et futur président de l’Association psychanalytique internationale. Mais celui-ci et ses assistant(e)s n’ont toujours été pour lui en réalité malgré leur psychodrame de groupe et leur psychothérapie individuelle de soutien pendant quatre ans en tout qu’un véritable fiasco médical à ce sujet (1962-1966). Remarquons qu’aux Pays-Bas deux rapports sexuels par mois avec un(e) prostitué(e) formé(e) médicalement pour cela pendant un an et dit(e) assistant(e) sexuel(le) sont remboursés actuellement par la Sécurité sociale. Grâce à ce résultat thérapeutique inattendu pour lui il put rencontrer enfin en avril 1973 sa future femme et se marier avec elle en août 1973. C’est l’amour véritable de celle-ci qui à son avis ensuite lui a permis alors de parfaire la guérison déjà commencée auparavant grâce aux prestations des jeunes prostituées sexy de luxe. Il a laissé venir ses pensées librement et fait des associations d’idées selon la méthode de Sigmund Freud en psychanalyse mais toutefois non pas en parlant allongé sur un divan mais en réalité en écrivant assis sur une chaise face à son écran d’ordinateur tous les jours. Ensuite il postait ses écrits aussi bien à son ancienne psychiatre psychanalyste qu’à son ancienne assistante sociale sur Internet (2002-2012). Cela se traduisit par un transfert œdipien vis-à-vis de celles-ci qui lui fit découvrir grâce à son travail sur lui-même et sur celui-ci aussi bien la forclusion du Nom-du-Père de sa petite enfance que la forclusion du Sein-de-la-Mère de sa toute petite enfance. À la suite de l‘avis d’une association de psychiatrisés en lutte - le Groupe Information Asiles - dont il a été adhérent de 1989 à 2013 il a pu commencer en 2005 à se sevrer de ses médicaments contre l’avis de sa psychiatre psychanalyste laquelle lui avait alors déclaré en 2004 : “Vous n’y arriverez pas !” Enfin il a été victime d’un certificat de complaisance fait par un professeur en psychiatrie sans ne l’avoir jamais vu ni ne l’avoir jamais examiné à la demande d’un directeur d’hôpital qu’il dérangeait à la suite de ses écrits sur Internet. Celui-ci l’a alors signalé à l’Infirmerie psychiatrique de la préfecture de police de Paris comme “désordonné, dangereux, délirant mais sans persécuteur” (2008). Ce diagnostic ne s’est jamais révélé juste jusqu'à ce jour. En 2019 son mariage n’était toujours pas consommé dans la fidélité réciproque (il s’agit d’un record du monde) mais sa femme et lui se déclaraient alors heureux ainsi."
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Utilisateur désinscrit
Le journal d’un ex-schizophrène de Guy Banni
L’auteur en publiant ce livre en dix tomes tous pour adultes désire apporter sa pierre à la solution du problème aussi bien des causes véritables de la schizophrénie que des raisons véritables de sa guérison. Guy Banni prétend avoir commencé à guérir de sa schizophrénie grâce aux prestations des jeunes prostituées sexy de luxe auxquelles il a eu régulièrement affaire de 1965 à 1972 et qu’ensuite il a alors complètement et définitivement guéri de celle-ci grâce à l’amour véritable de sa femme depuis 1973. Il précise, d’une part que cet amour n’est toujours demeuré que sans rapport sexuel, d’autre part que lorsque la télévision a annoncé autrefois au cours d’une émission médicale que le record du monde des mariages non consommés dans la fidélité réciproque était alors de 24 ans, lui et sa femme, à ce moment-là, en étaient déjà en réalité alors à 28 ans à ce sujet. Pour lui, ce ne sont pas les psys qui l’ont guéri de sa schizophrénie. Et il fait remarquer justement à ce sujet que pour débloquer psychologiquement les schizophrènes vis-à-vis du sexe opposé même les psychiatres psychothérapeutes n’y arrivent jamais et que seul(e)s les prostitué(e)s peuvent effectivement y aboutir. Et il fait remarquer encore toujours à ce sujet aussi ceci : aux Pays-Bas deux rapports sexuels par mois avec un(e) prostitué(e) formé(e) médicalement pour cela pendant un an et dit(e) “assistant(e) sexuel(le)” sont remboursés pour ce problème par la sécurité sociale. Pour discuter du contenu de son livre prière de visiter son forum à l’adresse : [...].
ÉCRIVAIN MAUDIT alias Guy BANNI